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Selon "The Observer", al-Qaïda n'a tenu aucun rôle dans les attentats du 7 juillet 2005 à Londres!
Selon Ce magazine, des informations récupérées sur internet montreraient que les attentats ont été planifiés à peu de frais.
Les enquêteurs britanniques en sont venus à conclure qu'ils sont le fruit d'un complot "simple et peu onéreux" imaginé par quatre hommes rêvant de mourir en martyrs et non d'un réseau terroriste international.
Les conclusions du gouvernement doivent être publiées intégralement dans plusieurs semaines.
Selon une source gouvernementale à l'hebdomadaire, "les attaques de Londres étaient une opération simple et peu ambitieuse réalisées par quatre hommes apparemment normaux, utilisant internet".
Mohammad Sidique Khan, Shehzad Tanweer, Hasib Hussain et Germaine Lindsay sont soupçonnés d'avoir fait sauter trois métros et un bus à impériale, le 7 juillet 2005, dans la capitale britannique en déclenchant des explosifs cachés dans leurs sacs à dos.
Selon les enquêteurs, la fabrication de ces armes ne coûte que quelques centaines de livres.
L'enquête a également rejeté l'hypothèse d'un éventuel soutien d'al-Qaïda, estimant qu'une vidéo montrant Khan, le cerveau présumé du groupe, et un dirigeant d'Al-Qaïda, Ayman al-Zawahiri, avait été éditée après les explosions et non avant, selon l'"Observer".
Cependant, les voyages au Pakistan de Khan pourraient avoir donné des idées aux quatre terroristes, conclu-t-elle.
Les quatre hommes ont été poussés à lancer leurs attaques parce qu'ils étaient inquiets de la politique étrangère de la Grande-Bretagne et avaient le sentiment qu'elle était délibérément hostile aux musulmans, selon le magazine.
Selon l'hebdomadaire dominical "The Sunday Times", la police et les services secrets britanniques estiment qu'au moins 400 personnes suspectes de terrorisme - le double des estimations précédentes - se promènent en liberté en Grande-Bretagne.
Eliza Manningham-Buller, directeur général des services secrets intérieurs MI5, estime pour sa part que le nombre des suspects pourrait s'élever à 600 en comptant les personnes qui reviennent des camps d'entraînement au Pakistan et en Afghanistan, notamment.
- AP
Selon Ce magazine, des informations récupérées sur internet montreraient que les attentats ont été planifiés à peu de frais.
Les enquêteurs britanniques en sont venus à conclure qu'ils sont le fruit d'un complot "simple et peu onéreux" imaginé par quatre hommes rêvant de mourir en martyrs et non d'un réseau terroriste international.
Les conclusions du gouvernement doivent être publiées intégralement dans plusieurs semaines.
Selon une source gouvernementale à l'hebdomadaire, "les attaques de Londres étaient une opération simple et peu ambitieuse réalisées par quatre hommes apparemment normaux, utilisant internet".
Mohammad Sidique Khan, Shehzad Tanweer, Hasib Hussain et Germaine Lindsay sont soupçonnés d'avoir fait sauter trois métros et un bus à impériale, le 7 juillet 2005, dans la capitale britannique en déclenchant des explosifs cachés dans leurs sacs à dos.
Selon les enquêteurs, la fabrication de ces armes ne coûte que quelques centaines de livres.
L'enquête a également rejeté l'hypothèse d'un éventuel soutien d'al-Qaïda, estimant qu'une vidéo montrant Khan, le cerveau présumé du groupe, et un dirigeant d'Al-Qaïda, Ayman al-Zawahiri, avait été éditée après les explosions et non avant, selon l'"Observer".
Cependant, les voyages au Pakistan de Khan pourraient avoir donné des idées aux quatre terroristes, conclu-t-elle.
Les quatre hommes ont été poussés à lancer leurs attaques parce qu'ils étaient inquiets de la politique étrangère de la Grande-Bretagne et avaient le sentiment qu'elle était délibérément hostile aux musulmans, selon le magazine.
Selon l'hebdomadaire dominical "The Sunday Times", la police et les services secrets britanniques estiment qu'au moins 400 personnes suspectes de terrorisme - le double des estimations précédentes - se promènent en liberté en Grande-Bretagne.
Eliza Manningham-Buller, directeur général des services secrets intérieurs MI5, estime pour sa part que le nombre des suspects pourrait s'élever à 600 en comptant les personnes qui reviennent des camps d'entraînement au Pakistan et en Afghanistan, notamment.
- AP