VIDÉO: DÉBAT POUR LA PRÉPARATION DE LA MARCHE A ALGER ,LE 12 FÉVRIER 2011
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Vidéo:débat pour la préparation de la marche a alger ,le 12 fevrier 2011
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ha mince ...on peut rien faire ...ils parlent en français......catastrophe ......on est foutu pour au moins les cinquante prochaine années ...yekhi yekhi batatatu tombe je tombe car mane e mane
après avoir rien fait ...on a souvent le sentiment d'avoir faillie faire ....un sentiment consolateur
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Initiative
Moi, je dirai que cette délégation est a revoir ormis ce grand avocat connu par son franc parlé. Mais ce n'est pour ca qu'il ne faut pas setenir cette marche ( régime dégage). l'aisse place à une Algérie meilleur, dans chaqu'un trouve son compte.
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Le cerveau algérien est la solution pour l'Algérie
La solution pour l'Algérie
La fuite des cerveaux algériens est un problème auquel sont confrontées les instances étatiques. Une stratégie mise en oeuvre comprend en premier lieu, la création d’une base de données qui regroupe les coordonnées des compétences algériennes dans les pays étrangers et permet d’être en contact avec elles. Selon un rapport publié par le Cnes, au mois de juillet 2005, sur un total de 10 000 médecins étrangers immigrés en France, plus de 7 000 sont de nationalité algérienne, dont 2 000 uniquement pour la région parisienne.
Un autre rapport indique qu’entre 1994 et 2006, 71 500 diplômés algériens se sont exilés en France. Par ailleurs, l’Institut de la statistique et des études économiques a recensé 9 900 chefs d’entreprise d’origine algérienne en Europe dont une majorité en France. Aux Etats-Unis d’Amérique par exemple, la communauté algérienne est composée de 18 000 personnes dont 3 000 chercheurs et scientifiques de très haut rang.
Le Canada, est devenu également un pays d’accueil pour des cerveaux algériens. De 1992 à 1996, l’Algérie a subi au moins, une perte de 40 milliards de dollars. Il y a quelque temps, la Sonatrach avait perdu entre 30 et 40% de ses cadres au profit des sociétés étrangères, particulièrement celles du Golfe. La fuite des cerveaux algériens constitue, aujourd’hui, un véritable problème.
Les dégâts occasionnés à l’économie nationale par cette décérébration du pays, sont difficiles à évaluer. Le coût moyen pour former un diplômé serait d’environ 100 000 dollars. Selon certaines informations, cela représenterait une perte de plus de 40 milliards de dollars dans le cas de l’Algérie. Si l’on ajoute à cela la plus-value qu’aurait pu créer chaque individu en termes de progrès, d’intelligence et de richesses, cette estimation s’écarte de la réalité. Quand on sait que l’exode a commencé au début des années 1992, on devine aisément les investissements perdus au profit des pays d’accueil, notamment les États-Unis, le Canada, la France et le Royaume-Uni. Amorcée à la fin des années 1970, l’émigration des scientifiques algériens a pris une ampleur telle que l’Algérie est aujourd’hui considérée comme un réservoir d’élites à la disposition des pays développés ou seulement émergents, capables de mettre à leur disposition les conditions de travail requises
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