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Pourquoi des qu'on parle de liberté de la femme on atterit dans la religion ?

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  • Pourquoi des qu'on parle de liberté de la femme on atterit dans la religion ?

    Suite á l intervention d Ambrine sur un autre topic,

    La religion a bon dos ... en fait, on retombe toujours sur les mêmes topics au bout d'un moment et hop un front se forme autour de la religion. C'est tellement prévisible.
    Il faudrait que je compte le nombre de posts après qu'on a abordé le statut de la femme.
    C est vrai qu'á chaque fois qu on parle de liberté de la femme, les hommes pensent qu on veut changer de religion
    et
    des qu on parle du code de la famille ou code de l infamie : idem ...c est issu de l islam donc c est bien !

    Qu en pensez vous ?
    En tant que femme adulte pouvant exercer bcp de professions á responsabilités, on n est pas reellement libre puisque sous tutelle masculine á vie. Je suis une femme, je me sens concernée...et vous ???

  • #2
    c'est la notre seule référence pour établir des arguments dans ce domaine ......et faut dire que cette une référence qui n’accepte aucune concurrence ...faut faire avec (tres facile pour moi de dire ça étant donner que je suis un homme )
    tu tombe je tombe car mane e mane
    après avoir rien fait ...on a souvent le sentiment d'avoir faillie faire ....un sentiment consolateur

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    • #3
      Mais vous avez des meres, des soeurs qui subissent et personne ne reagit ???
      Les arguments ne sont toujours justes, enfin faut etre aveugle pour ne pas voir....

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      • #4
        Moi, j'ai bien aimé les exemples donnés par AAnis ...
        Dernière modification par Ambrine, 31 janvier 2011, 00h17.

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        • #5
          Les amendements du code de la famille

          En voici une liste synthétique :
          • Le mariage : l’âge du mariage, qui était de 21 ans pour l’homme et de 18 ans pour la femme, est uniformisé à 19 ans pour les deux sexes. L’époux ne peut plus donner procuration à une tierce personne pour le représenter lors de la conclusion de son mariage. La procuration a été supprimée dans le but de prévenir les mariages forcés.

          • Le divorce : Le mari est désormais tenu d’assurer un logement à ses enfants mineurs dont la garde est confiée à la mère. L’autorité parentale pour la mère est accordée à la femme divorcée mais pas à la femme mariée. Le droit au divorce pour les femmes, s’il est étendu à trois motifs supplémentaires, est toujours conditionnel. Contrairement au mari, le droit pour la femme de demander le divorce est limité à des situations particulières : infirmité sexuelle de l’époux, absence de plus d’un an sans motif. Enfin, les hommes gardent leur pouvoir de répudiation.

          • Le tutorat : la présence d’un tuteur matrimonial pour le mariage de la femme même majeure est maintenue. Quand une femme n’a pas de tuteur, c’est le juge qui en assume le rôle. La nouveauté est que désormais le tuteur ne peut empêcher une femme de contracter un mariage si elle le désire et il ne peut la contraindre au mariage.

          • La polygamie (jusqu’à 4 épouses) : elle est maintenue mais assortie du consentement préalable de la première épouse (ou des premières épouses) ainsi que de la future épouse. Un juge doit vérifier la réalité de ce consentement. Et l’aptitude de l’époux à assurer "l’équité entre ses femmes et les conditions nécessaires à la vie conjugale".

          • Devoirs de l’épouse : elle est tenue d’obéir à son mari, de respecter les parents de son mari et ses proches… En tant que mère : elle se doit d’allaiter sa progéniture si elle est en mesure de le faire et de l’élever.

          • Droits d’héritage : ils sont inchangés. La femme n’a le droit qu’à la moitié de ce qui revient à l’homme.

          • Transmission de la nationalité : la nationalité algérienne à la naissance sera reconnue par filiation maternelle, alors que jusqu’à présent elle ne résultait que de la filiation paternelle.

          • Nationalité par mariage : la nationalité algérienne pourra s’obtenir de plein droit par le mariage avec un Algérien ou une Algérienne. Auparavant, seule la naturalisation à la discrétion de l’Etat était possible.
          En Algérie, les lois civiles relatives au couple et à la famille sont régies par un code de la famille établi le 9 juin 1984 sous la présidence de Chadli Benjedid. Ce code qui contient des dispositions relatives aux personnes, au mariage, au divorce et à l’autorité parentale, légalise l’infériorité de la femme, la maintenant sous tutelle à vie. Le code de la famille fait des femmes d’éternelles mineures : à leur naissance elles sont sous l’autorité paternelle, et une fois mariées, elles passent sous l’autorité de leur mari. Avant les amendements de 2004, en cas de divorce, les biens du couple, y compris le domicile conjugal, revenaient à l’homme de façon exclusive. En ce qui concerne la tutelle légale des enfants, seul le père la possède

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          • #6
            Liberté et Femme, ces deux mots leur font peur.
            Déjà qu'on respecte nos droits, nos devoirs on les connais.

            @ - Certains de ces amendements ne sont pas appliqués dans la réalité : logement pour la femme et les enfants - polygamie.
            Dernière modification par absente, 31 janvier 2011, 00h12.

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            • #7
              Comme je le disais les disparités sont très importantes suivant les régions...

              Ce qui est pesant et dénué de droits pour les femmes ne l'est pas ou dans une moindre mesure en Kabylie,que je connais bien..........

              Les femmes y sont libres et respectées.......

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              • #8
                Ce qui est pesant et dénué de droits pour les femmes ne l'est pas ou dans une moindre mesure en Kabylie,que je connais bien..........

                Les femmes y sont libres et respectées.......
                Tu n'y connais rien, oui. C'est le même code partout, et les mêmes traditions aussi, des traditions ancestrales, je ne parle pas de ce qui arrive depuis l'arrivée de l'intégrisme mais de ce qui se fait bien avant ..
                Tadjére ouala Hadjére ouala rédjline Madjer...

                Vive Tayri, Vive JSK

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                • #9
                  Les femmes y sont libres et respectées.......

                  STP EN KABYLIE LES FEMMES SONT ECRASEES DU MOINS SUR LES QUESTIONS D HERITAGE
                  CHEZ NOUS ON DIT SEMHENT

                  merde aux mentalites kabyles
                  et zaama on se la joue democrate
                  The truth is incontrovertible, malice may attack it, ignorance may deride it, but in the end; there it is.” Winston Churchill

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                  • #10
                    Comme je le disais les disparités sont très importantes suivant les régions...
                    Ce qui est pesant et dénué de droits pour les femmes ne l'est pas ou dans une moindre mesure en Kabylie,que je connais bien..........

                    Les femmes y sont libres et respectées.......
                    Cela dépend de ce qu'on appelle moindre mesure!
                    Je suis en constante communication avec ma soeur qui vit en Kabylie: Ceinture noir en Karaté.... pour se défendre des aggressions: Depuis 1998 elle a abandonné son appartement à Tizi suite:
                    insultes quotidiennes
                    solliciation (vous savez ce que je veux dire....)
                    Vols multiple de sa saccoche
                    Tentative de hijacking de sa voiture...
                    Menace de mort parce qu'elle ne fait pas le carême....
                    Manque de respect de ses collègue de travail....
                    Et pourtant:
                    Ce sont mes soeurs qui ont hérité des bien de nos parents (les garçons ont renoncé d'un commun accord)
                    Et j'ajoute que jamais dans ma famille nous nous sommes soumis au code de la famille.... ni l'histoire du tutorat...

                    Aujourd'hui mon ami Mahdi... en tant que kabyle, j'ai le regret et même honte de te dire que le niveau de respect de la femme chez nous... est tombé bien bas....

                    Je m'empresse d'ajouter que ma soeur à remisé sa voiture... et prends le bus... et même connaissant presque tous les voyageurs... elle reste sur ses gardes....

                    Je suis kabyle, fier de l'être ... mais il faut avoir le courage à défaut d'humilité pour avouer que les kabyles, c'est comme partout ailleurs... nous avons nos qualités et nos tares!!! Nous ne pouvons échapper aux lois de la Nature!!!
                    Dernière modification par Avucic, 31 janvier 2011, 02h10.
                    L'homme parle sans réféchir...Le miroir réfléchit sans parler!

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                    • #11
                      CHEZ NOUS ON DIT SEMHENT
                      Et pas que ça, on connais tous la phrase "netta d-argaz" (lui c'est un homme) qu'on nous jette à la figure pour justifier toutes les bêtises pardonnées aux hommes mais qui sont durement punis chez les femmes.

                      ps. bien sur je ne cherche pas à ce que les bétises soient permises, mais plutôt à appliquer la même lois pour tout le monde. Ce qui devrait être le cas selon la religion en plus.
                      Dernière modification par mimi, 31 janvier 2011, 00h46.
                      Tadjére ouala Hadjére ouala rédjline Madjer...

                      Vive Tayri, Vive JSK

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                      • #12
                        pour l instant je me bagarre avec mon pere pour que mes soeurs aient la meme part

                        je suis avec mes cousins maternels qui reclament la part de tata
                        mais leurs pere est contre
                        et ca c dans un milieu intellectuel
                        la betise dans sa magnificience
                        The truth is incontrovertible, malice may attack it, ignorance may deride it, but in the end; there it is.” Winston Churchill

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                        • #13
                          Solas, pour ce point de l'héritage, je pense qu'à l'époque ce n'était pas bête comme règle vu comment la societé de l'époque est organisée. Les femmes héritaient que de l'argent, et les bijoux de la maman et les hommes héritent les maisons et les terres. C'est fait pour garder les terres de la famille à travers les générations comme c'etait leur source de vie. Mais à coté de ça, si une femme revient de chez son mari (décorcée) ses frères ont l'obligation de la prendre en charge, car elle fait tjrs parti de la grande famille et a tjrs des droits sur la maison familiale. Mais tout ça n'a plus de sens maintenant puisque la société a changé depuis.
                          Tadjére ouala Hadjére ouala rédjline Madjer...

                          Vive Tayri, Vive JSK

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                          • #14
                            Mais tout ça n'a plus de sens maintenant puisque la société a changé depuis.
                            c pour ca que c retrograde
                            meme les trucs de l islam ces histoires de demi parts (modernistes)
                            sont balayees
                            The truth is incontrovertible, malice may attack it, ignorance may deride it, but in the end; there it is.” Winston Churchill

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                            • #15
                              Pourquoi des qu'on parle de liberté de la femme on atterit dans la religion ?
                              Pour ne pas parler de liberté de la femme tout simplement!

                              Je l'ai déjà dis je pense, je n'aime pas les extrêmismes que ce soit des féministes ou des machistes, cette guerre des genres est au niveau de l'humain, c'est à dire fleurtant avec le 0, des gens n'ont pas encore compris qu'on s'en fou des hommes et des femmes parceque c'est des hommes et des femmes mais qu'il faut regarder les individualités, un homme descend en partie d'une femme et une femme descend en partie d'un homme, il n'y a pas de secret, la religion est mêlée à toutes les sauces et insultée partout, alors qu'elle est plus noble que ces discours byzantins.

                              Maintenant les VRAIES règles Islamiques sont connues, et doivent être maintenues pour un pays Musulman.
                              Dernière modification par absent, 31 janvier 2011, 03h43.

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