Après l’Algérie, c’est à l’étranger que la personnalité de Saïd Sadi commence à susciter des interrogations. Malgré ses efforts de communication en direction de la presse internationale, le leader du RCD peine visiblement à convaincre. En cause*: sa stratégie et sa personnalité.
Le magazine Jeune Afrique, dans sa dernière édition de ce lundi 31 janvier, consacre un article au président du RCD. Intitulé «*Docteur Saïd et Mister Sadi*», l’article revient sur «*l’échec de la marche du 22 janvier*» qui a obligé le président du RCD à «*rectifier le tir*» en amorçant un rapprochement avec la société civile et les syndicats à l’occasion de la marche du 12 février prochain.
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Pour Jeune Afrique, l’échec de la marche du 22 janvier n’est pas seulement dû à la forte mobilisation policière dans la capitale. «*La faiblesse de la mobilisation du RCD est à l’image de son poids réel sur l’échiquier politique algérien*», note le magazine. «*Autre handicap de Saïd Sadi*: sa personnalité controversée*», poursuit Jeune Afrique. «*Président du RCD depuis sa création en 1989, Sadi a fait le vide autour de lui. Ses compagnons, cofondateurs du parti, ainsi que ses rivaux internes ont été broyés par un appareil dont le fonctionnement est fortement centralisé*».
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Jeune Afrique revient également sur le communiqué «*peu amène*» du RCD à l’égard de TSA et de son fondateur. Le magazine souligne que le journal lui a seulement reproché d’avoir lancé son appel à la marche sur France Info et La Provence. *
Le magazine Jeune Afrique, dans sa dernière édition de ce lundi 31 janvier, consacre un article au président du RCD. Intitulé «*Docteur Saïd et Mister Sadi*», l’article revient sur «*l’échec de la marche du 22 janvier*» qui a obligé le président du RCD à «*rectifier le tir*» en amorçant un rapprochement avec la société civile et les syndicats à l’occasion de la marche du 12 février prochain.
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Pour Jeune Afrique, l’échec de la marche du 22 janvier n’est pas seulement dû à la forte mobilisation policière dans la capitale. «*La faiblesse de la mobilisation du RCD est à l’image de son poids réel sur l’échiquier politique algérien*», note le magazine. «*Autre handicap de Saïd Sadi*: sa personnalité controversée*», poursuit Jeune Afrique. «*Président du RCD depuis sa création en 1989, Sadi a fait le vide autour de lui. Ses compagnons, cofondateurs du parti, ainsi que ses rivaux internes ont été broyés par un appareil dont le fonctionnement est fortement centralisé*».
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Jeune Afrique revient également sur le communiqué «*peu amène*» du RCD à l’égard de TSA et de son fondateur. Le magazine souligne que le journal lui a seulement reproché d’avoir lancé son appel à la marche sur France Info et La Provence. *
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