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Au terme de l’accord signé avec la firme indienne et validé par le laboratoire Hoffman La Roche, le groupe pharmaceutique Saïdal a lancé, hier, la production de l’antiviral Saiflu (Tamiflu). Le premier stock de Saiflu sera fabriqué au sein de sa filiale Biotic, située à Gué de Constantine. L’Algérie est, ainsi, le premier pays africain autorisé à fabriquer ce médicament en plus des 11 pays en Asie et en Amérique Latine.
Par cet accord, signé le 15 février dernier avec le partenaire indien Hetero Labs Limited, le groupe pharmaceutique Saïdal compte produire 6 millions de boîtes de Tamiflu avant la fin de l’année qui seront destinées à la couverture sanitaire de la population en cas de pandémie de grippe aviaire. Ce stock est en mesure de couvrir 25% des besoins de la population. Ce qui constitue un stock de sécurité répondant aux recommandations de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) sans oublier les 7 millions de doses de Tamiflu acquises par le ministère de la Santé, de la Population et de la Réforme hospitalière pour 8 milliards de dinars.
Selon le président-directeur général du groupe, M. Aoun, cité par l’APS, un premier stock de 50.000 boîtes sera mis à la disposition de la Pharmacie centrale des hôpitaux (PCH) d’ici à la fin avril. Le Saiflu, d’une durée de vie de 60 mois (5 ans), sera vendu à 1375,00 dinars l’unité. Cette production de Saïdal sera mise entre les mains des autorités sanitaires pour qu’elle soit distribuée gratuitement à la population en cas de pandémie.
En plus de la fabrication de ce médicament, l’accord porte également sur le transfert de la technologie, le savoir-faire et le dossier technique, ainsi que sur l’achat de la matière première (princeps).
Le premier responsable de Saïdal a tenu à préciser, d’autre part, que «même s’il n’y aura pas de pandémie, nous serons en mesure d’écouler le stock, soit en officine, soit en l’exportant, avec l’autorisation du ministère de la Santé».
Après l’antiviral, Saïdal va se lancer dans un autre chantier aussi important que la production du Saiflu et toujours avec le même partenaire indien. Saïdal compte, en effet, se lancer dans la fabrication de la trithérapie pour le traitement des sidéens d’ici au 2ème semestre de l’année en cours, a annoncé son PDG. Par cet accord, un marché énorme s’ouvrira à Saïdal et par conséquent à l’Algérie dans un continent qui enregistre un nombre de cas de sida inquiétant.
Source: Le quotidien d'oran. (11/4/06).
Par cet accord, signé le 15 février dernier avec le partenaire indien Hetero Labs Limited, le groupe pharmaceutique Saïdal compte produire 6 millions de boîtes de Tamiflu avant la fin de l’année qui seront destinées à la couverture sanitaire de la population en cas de pandémie de grippe aviaire. Ce stock est en mesure de couvrir 25% des besoins de la population. Ce qui constitue un stock de sécurité répondant aux recommandations de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) sans oublier les 7 millions de doses de Tamiflu acquises par le ministère de la Santé, de la Population et de la Réforme hospitalière pour 8 milliards de dinars.
Selon le président-directeur général du groupe, M. Aoun, cité par l’APS, un premier stock de 50.000 boîtes sera mis à la disposition de la Pharmacie centrale des hôpitaux (PCH) d’ici à la fin avril. Le Saiflu, d’une durée de vie de 60 mois (5 ans), sera vendu à 1375,00 dinars l’unité. Cette production de Saïdal sera mise entre les mains des autorités sanitaires pour qu’elle soit distribuée gratuitement à la population en cas de pandémie.
En plus de la fabrication de ce médicament, l’accord porte également sur le transfert de la technologie, le savoir-faire et le dossier technique, ainsi que sur l’achat de la matière première (princeps).
Le premier responsable de Saïdal a tenu à préciser, d’autre part, que «même s’il n’y aura pas de pandémie, nous serons en mesure d’écouler le stock, soit en officine, soit en l’exportant, avec l’autorisation du ministère de la Santé».
Après l’antiviral, Saïdal va se lancer dans un autre chantier aussi important que la production du Saiflu et toujours avec le même partenaire indien. Saïdal compte, en effet, se lancer dans la fabrication de la trithérapie pour le traitement des sidéens d’ici au 2ème semestre de l’année en cours, a annoncé son PDG. Par cet accord, un marché énorme s’ouvrira à Saïdal et par conséquent à l’Algérie dans un continent qui enregistre un nombre de cas de sida inquiétant.
Source: Le quotidien d'oran. (11/4/06).
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