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Khalida toumi critique ahmed ouyahia sans le citer

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  • Khalida toumi critique ahmed ouyahia sans le citer

    [B]KHALIDA TOUMI CRITIQUE AHMED OUYAHIA SANS LE CITER
    « Je n’ai jamais résumé les Algériens à manger, boire et dormir ! »




    « Je ne considère pas que l’Algérien soit un tube digestif. Je n’ai jamais résumé les Algériens et les Algériennes à manger, boire et dormir. Les Algériens sont une conscience, une identité, une culture, une dignité et un combat pour liberté [/COLOR][/I]», a déclaré Khalida Toumi, ministre de la Culture, samedi à Alger, lors d’une conférence de présentation duprogramme des festivités de Tlemcen, capitale de la culture islamique.

    Sans citer son nom, cette déclaration semble être une réplique aux récents propos du premier Ahmed Ouyahia, à l’APN. Interrogé par un journaliste sur l’éventualité d’un remaniement ministériel, il a lancé : « apprenez à faire la différence entre les lentilles et les haricots secs ».

    Plusieurs autres responsables, dont le ministre de l’Intérieur, Dahou Ould Kablia, ont tenté de réduire les émeutes de début janvier 2011 à un soulèvement de la faim contre la hausse des prix de l’huile et du sucre. « Les jeunes Algériens, comme tous les jeunes du monde, ont des besoins de formation et d’emploi. Je n’ai pas le même rapport que Camus à l’Algérie. L’Algérie est d’abord le peuple algérien. Je ne rêve pas d’une Algérie vide où il y a le soleil et la mer et pas d’Algériens ! », a ajouté Khalida Toumi qui a dit avoir une haute idée de l’Algérie et de son peuple.

    « J’ai le regret de constater que la majorité de la pluralité qui s’exprime considère que la culture n’est pas importante et qu’elle est pire que secondaire. Certains poussent le bouchon jusqu’à dire que l’argent de la culture relève du gaspillage. Je me bats contre ces idées. Nous travaillons donc dans un environnement fait de solitude et d’adversité », a‑t‑elle souligné.

    L’adversité serait liée à un profond différend entre Khalida Toumi et Ahmed Ouyahia en raison, entre autres, à des divergences de points de vue sur la situation actuelle dans le pays et sur les fortes restrictions budgétaires imposées au secteur de la culture par le Premier ministère.


    TSA

  • #2
    Ca sent la fin de règne!

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    • #3
      elle est dégoutante cette femme..
      « Puis-je rendre ma vie
      Semblable à une flûte de roseau
      Simple et droite
      Et toute remplie de musique »

      Commentaire


      • #4
        « J’ai le regret de constater que la majorité de la pluralité qui s’exprime considère que la culture n’est pas importante et qu’elle est pire que secondaire............
        Heuuuu la je suis entièrement d'accord : la ministre de la culture n'est pas importante et pire que secondaire !!!!!!!

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        • #5
          Alors quelles perspectives ?

          Il n’y a pas de perspective qui donne envie de se lever le matin pour aller travailler, au moins pour ceux qui ont du travail. Quand on importe de la main d’œuvre sous des prétextes pseudo-économiques (chinoise et autres) comment voulez-vous que les jeunes diplômés puissent espérer en un avenir meilleur ? Le rêve d’un nombre incalculable d’Algériens est de mettre les voiles au sens propre et figuré. Il n’y a pas de projet rassembleur, de règles communes qui permettent de tendre vers la réalisation d’un authentique projet national. L’injustice règne. La souffrance morale affecte la nation.
          Presque personne n’y échappe : celui qui travaille, le chômeur, le détenu, le riche, le pauvre et même les hauts cadres de l’Etat qui passent leur temps à se lamenter. Quel espoir quand le pays est entre les mains d’une sorte de secte de parvenus, incultes et violents, qui vit depuis 15 ans dans des espaces clos (Club des Pins, Moretti, Sidi Fredj) ou qui bouclent tout un quartier par mesure de sécurité. Ces gens ne sont même pas des coopérants techniques, à peine des agents d’exécution. La population n’en n’a pas forcément conscience, mais elle ressent vivement le mépris, la condescendance des représentants de ce système qu’incarne le tandem Bouteflika-Médiène. Dans de telles conditions, les jeunes qui débordent d’énergie continueront à traverser la Méditerranée avec des moyens de fortune ; ils seront contraints de verser aussi dans la délinquance et la consommation de la drogue qui fait des ravages ou bien ils basculeront dans la violence. Pas nécessairement celle de « l’AQMI » (Al-Qaida au Maghreb islamique), aussi nébuleuse que le GSPC, et qui sert surtout à justifier le maintien de l’état d’urgence depuis 1992 pour perpétuer le contrôle sur la société et disposer des richesses du pays sans le moindre contrôle

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