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La fondation Sonatrach Tassili, a pour missions : la protection de la nature en termes de suivi, la lutte contre la pollution multiforme, la préservation de la faune et la flore ainsi que la préservation des patrimoines culturels matériels et immatériels.
Elle intervient également et sutout sur l’ensemble du territoire national, dans les vastes régions sahariennes et dans les régions de l’extrême Sud, dans les régions du Tassili.
Une rencontre consacrée à la manifestation d’intérêt pour la préservation et la valorisation du patrimoine national du Tassili qui s’étant sur 80 000 km2 et vieux de 380 millions d’années a eu lieu hier au siège de Sonatrach.
Organisée par la fondation Sonatrach Tassili, cette manifestation a eu lieu en présence du ministre de l’Energie et des Mines, Chakib Khelil, Khalida Toumi, ministre de la Culture, ainsi que celle du PDG de Sonatrach, Mohamed Meziane.
Saisissant cette occasion, Chakib Khelil, en sa qualité de président de la fondation Sonatrach Tassili, a déclaré que la fondation «veut à travers cette rencontre, non seulement réaffirmer sa disponibilité et son engagement à apporter sa contribution et son soutien moral et matériel à l’Office du parc national du Tassili, mais contribuer aussi à fédérer les efforts, pour accueillir les moyens matériels, financiers et humains nécessaires à la préservation et la promotion du patrimoine du Parc national du Tassili». «Un appel est lancé aux compagnies pétrolières, à leurs partenaires ainsi qu’à toutes les autres entreprises privées ou publiques, exerçant en Algérie ou à l’étranger pour qu’elles apportent leurs concours, en participant, sous la forme qu’elles jugeront utile, à l’œuvre de préservation et de valorisation de ce riche patrimoine naturel et culturel, classé par l’Unesco patrimoine de l’Humanité dès 1982, et admis comme réserve de l’Homme et de la Biosphère en 1986 dans le réseau Man and Biosphère», a-t-il déclaré.
A travers cette rencontre, ajouta-t-il, «la fondation Sonatrach Tassili s’engage davantage à protéger de l’érosion la biodiversité faunistique et floristique du désert algérien, à contribuer à protéger ses patrimoines culturels et matériels, et à contribuer enfin et surtout au développent socio-économique des populations sahariennes, isolées et démunies, qui y vivent».
Pour lui, «il est nécessaire d’apporter notre soutien moral et matériel à l’Office du Parc national du Tassili pour
qu’il puisse engager d’urgence les actions nécessaires pour endiguer le processus de dégradation et faire démarrer la prise en charge en commun pour la promotion de ce patrimoine universel». «Les objectifs visés nécessitent, dira-t-il, des ressources dont le niveau sera de plus en plus important au fur et à mesure de la mise en œuvre du programme d’action envisagé». Il ajoutera également que «pour parvenir à des résultats substantiels et durables, des efforts soutenus et l’implication permanente de tous les acteurs économiques et sociaux, des associations, des communautés locales et des autorités sont indispensables». «nous espérons aussi que ces efforts au niveau national seront appuyés par des apports extérieurs dans le cadre des nombreux programmes de protection de l’environnement, de la préservation de la diversité des espèces végétales et animales ainsi que de la préservation et de la valorisation des patrimoines culturels», a-t-il indiqué.
- La nouvelle république
Elle intervient également et sutout sur l’ensemble du territoire national, dans les vastes régions sahariennes et dans les régions de l’extrême Sud, dans les régions du Tassili.
Une rencontre consacrée à la manifestation d’intérêt pour la préservation et la valorisation du patrimoine national du Tassili qui s’étant sur 80 000 km2 et vieux de 380 millions d’années a eu lieu hier au siège de Sonatrach.
Organisée par la fondation Sonatrach Tassili, cette manifestation a eu lieu en présence du ministre de l’Energie et des Mines, Chakib Khelil, Khalida Toumi, ministre de la Culture, ainsi que celle du PDG de Sonatrach, Mohamed Meziane.
Saisissant cette occasion, Chakib Khelil, en sa qualité de président de la fondation Sonatrach Tassili, a déclaré que la fondation «veut à travers cette rencontre, non seulement réaffirmer sa disponibilité et son engagement à apporter sa contribution et son soutien moral et matériel à l’Office du parc national du Tassili, mais contribuer aussi à fédérer les efforts, pour accueillir les moyens matériels, financiers et humains nécessaires à la préservation et la promotion du patrimoine du Parc national du Tassili». «Un appel est lancé aux compagnies pétrolières, à leurs partenaires ainsi qu’à toutes les autres entreprises privées ou publiques, exerçant en Algérie ou à l’étranger pour qu’elles apportent leurs concours, en participant, sous la forme qu’elles jugeront utile, à l’œuvre de préservation et de valorisation de ce riche patrimoine naturel et culturel, classé par l’Unesco patrimoine de l’Humanité dès 1982, et admis comme réserve de l’Homme et de la Biosphère en 1986 dans le réseau Man and Biosphère», a-t-il déclaré.
A travers cette rencontre, ajouta-t-il, «la fondation Sonatrach Tassili s’engage davantage à protéger de l’érosion la biodiversité faunistique et floristique du désert algérien, à contribuer à protéger ses patrimoines culturels et matériels, et à contribuer enfin et surtout au développent socio-économique des populations sahariennes, isolées et démunies, qui y vivent».
Pour lui, «il est nécessaire d’apporter notre soutien moral et matériel à l’Office du Parc national du Tassili pour
qu’il puisse engager d’urgence les actions nécessaires pour endiguer le processus de dégradation et faire démarrer la prise en charge en commun pour la promotion de ce patrimoine universel». «Les objectifs visés nécessitent, dira-t-il, des ressources dont le niveau sera de plus en plus important au fur et à mesure de la mise en œuvre du programme d’action envisagé». Il ajoutera également que «pour parvenir à des résultats substantiels et durables, des efforts soutenus et l’implication permanente de tous les acteurs économiques et sociaux, des associations, des communautés locales et des autorités sont indispensables». «nous espérons aussi que ces efforts au niveau national seront appuyés par des apports extérieurs dans le cadre des nombreux programmes de protection de l’environnement, de la préservation de la diversité des espèces végétales et animales ainsi que de la préservation et de la valorisation des patrimoines culturels», a-t-il indiqué.
- La nouvelle république