Etre seil
Vouloir combattre l’ennui.
Forcer la vie
En compagnie d’un stylo,
D’amis lointains,
souvent absents
Quand elle se perd
Et que l’on souffre
En pleurant dans ses mains.
Vivre seule
Dans son mal-être.
Trop besoin d’écouter
Où c’est la vie.
Vouloir crever le silence
Et sans dire pourquoi,
Sentir le cœur s’affoler,
Et ne plus aimer personne !
C’est se faire gifler le cœur.
Tout jeter ! Tout casser !
c’est aussi perdre la foi en tout d’un seul coup.
Agir à l’opposé de ce qu’on devrait faire.
Mais on veut tant se revaloriser aussi,
Vous avait-elle, un jour, aimé un peu ?
Sait-elle combien aimer veut dire ?,
Qui n’aime pas vivre , refuse d’aimer,
moi, je veux vivre.
Je veux aimer.
Je veux donner
Tout ce qui est en mon pouvoir.
Mais le dois-je ?
Saurai-je jamais le faire bien ?
Et à qui, comment ?
Vouloir combattre l’ennui.
Forcer la vie
En compagnie d’un stylo,
D’amis lointains,
souvent absents
Quand elle se perd
Et que l’on souffre
En pleurant dans ses mains.
Vivre seule
Dans son mal-être.
Trop besoin d’écouter
Où c’est la vie.
Vouloir crever le silence
Et sans dire pourquoi,
Sentir le cœur s’affoler,
Et ne plus aimer personne !
C’est se faire gifler le cœur.
Tout jeter ! Tout casser !
c’est aussi perdre la foi en tout d’un seul coup.
Agir à l’opposé de ce qu’on devrait faire.
Mais on veut tant se revaloriser aussi,
Vous avait-elle, un jour, aimé un peu ?
Sait-elle combien aimer veut dire ?,
Qui n’aime pas vivre , refuse d’aimer,
moi, je veux vivre.
Je veux aimer.
Je veux donner
Tout ce qui est en mon pouvoir.
Mais le dois-je ?
Saurai-je jamais le faire bien ?
Et à qui, comment ?
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