Le journal britannique The Guardian publie dimanche 6 février une enquête menée par des experts du Moyen-Orient sur la fortune des Moubarak. Elle serait évaluée, selon une enquête menée par des experts du Moyen-Orient, entre 40 et 70 milliards de dollars.
Le pactole serait réparti entre les membres de la famille ainsi : 15 milliards de dollars pour Hosni Moubarak, un milliard pour son épouse Suzanne, huit milliards pour son fils aîné, Alaa et 17 milliards pour son second fils Gamal.
Selon le journal algérien Al Khabar, une bonne partie de l'argent serait déposé dans les banques, notamment dans la banque suisse UBS et la Bank of Scotland qui fait partie de Lloyds Banking Group, mais également investi dans l'immobilier comme en France, aux Etats-Unis, en Grande-Bretagne, en Suisse, en Allemagne, en Espagne, à Dubaï et le long des côtes de la mer Rouge. Al Khabar a également nommé une série de grandes entreprises occidentales qui, en partenariat avec la famille Moubarak, ont généré un montant estimé de plusieurs milliards par an de profits.
Toujours selon le journal Al Khabar, Gamal Moubarak, celui qui devait lui succéder, aurait commencé son business dans les années 80 en en spéculant sur la dette de son pays sur le marché financier international. La livre égyptienne s’échangeait à 25 % de sa valeur et était garantie par l’État égyptien ! Puis, avec les bénéfices réalisés, acquérait des terrains militaires du « désert d’Ismaïlia » à des prix défiant toute concurrence qu’il revendit à des investisseurs venus s’installer dans la nouvelle zone industrielle. Le programme de privatisation lancé par son père assurera la suite de la fortune.
D'après le journal algérien DNA l'auteur du livre Le dernier Pharaon : Moubarak et l’avenir incertain de l’Egypte à l’ère Obama, Aladdin Elaasar, a déclaré que Hosni Moubarak lui-même possède plusieurs résidences en Egypte, certaines héritées des anciens présidents égyptiens et la monarchie, et d’autres voulues par le président. Il possède également des hôtels et des terrains autour de la station touristique de Sharm el-Sheikh, qui sont une source de richesse pour la famille Moubarak.
La fortune des Ben Ali qui ne représente "que" cinq milliards de dollars, fait "riquiqui" à côté de celle des Moubarack.
Quand à celle de l'homme le plus riche des Etats-Unis, Bill Gates, qui s'élève à 54 milliards de dollars, elle est équivalente sinon même inférieure si les estimations arrivent à 70 milliards de dollars, pour celle du président égyptien et sa famille.
Quand on se souvient de la vie des chiffonniers du Caire qui vivent "sur" et "de" la montagne de détritus dans le bidonville Batn al-baära (ventre de la vache), qui se situe au cœur de la ville., on est emplit de colère et de dégoût envers ce dictateur militaire.
les petits chiffonniers du Caire
Source: lepost
*******************************************
Sacré Moubarak,il va nous manquer, un ami de la paix au Proche-Orient (enfin surtout en Israel, Gaza un peu moins), et un philanthrope qui aura rendu riche les Egyptiens (enfin surtout sa famille, pas trop les chiffoniers)
Le pactole serait réparti entre les membres de la famille ainsi : 15 milliards de dollars pour Hosni Moubarak, un milliard pour son épouse Suzanne, huit milliards pour son fils aîné, Alaa et 17 milliards pour son second fils Gamal.
Selon le journal algérien Al Khabar, une bonne partie de l'argent serait déposé dans les banques, notamment dans la banque suisse UBS et la Bank of Scotland qui fait partie de Lloyds Banking Group, mais également investi dans l'immobilier comme en France, aux Etats-Unis, en Grande-Bretagne, en Suisse, en Allemagne, en Espagne, à Dubaï et le long des côtes de la mer Rouge. Al Khabar a également nommé une série de grandes entreprises occidentales qui, en partenariat avec la famille Moubarak, ont généré un montant estimé de plusieurs milliards par an de profits.
Toujours selon le journal Al Khabar, Gamal Moubarak, celui qui devait lui succéder, aurait commencé son business dans les années 80 en en spéculant sur la dette de son pays sur le marché financier international. La livre égyptienne s’échangeait à 25 % de sa valeur et était garantie par l’État égyptien ! Puis, avec les bénéfices réalisés, acquérait des terrains militaires du « désert d’Ismaïlia » à des prix défiant toute concurrence qu’il revendit à des investisseurs venus s’installer dans la nouvelle zone industrielle. Le programme de privatisation lancé par son père assurera la suite de la fortune.
D'après le journal algérien DNA l'auteur du livre Le dernier Pharaon : Moubarak et l’avenir incertain de l’Egypte à l’ère Obama, Aladdin Elaasar, a déclaré que Hosni Moubarak lui-même possède plusieurs résidences en Egypte, certaines héritées des anciens présidents égyptiens et la monarchie, et d’autres voulues par le président. Il possède également des hôtels et des terrains autour de la station touristique de Sharm el-Sheikh, qui sont une source de richesse pour la famille Moubarak.
La fortune des Ben Ali qui ne représente "que" cinq milliards de dollars, fait "riquiqui" à côté de celle des Moubarack.
Quand à celle de l'homme le plus riche des Etats-Unis, Bill Gates, qui s'élève à 54 milliards de dollars, elle est équivalente sinon même inférieure si les estimations arrivent à 70 milliards de dollars, pour celle du président égyptien et sa famille.
Quand on se souvient de la vie des chiffonniers du Caire qui vivent "sur" et "de" la montagne de détritus dans le bidonville Batn al-baära (ventre de la vache), qui se situe au cœur de la ville., on est emplit de colère et de dégoût envers ce dictateur militaire.
les petits chiffonniers du Caire
Source: lepost
*******************************************
Sacré Moubarak,il va nous manquer, un ami de la paix au Proche-Orient (enfin surtout en Israel, Gaza un peu moins), et un philanthrope qui aura rendu riche les Egyptiens (enfin surtout sa famille, pas trop les chiffoniers)
Commentaire