Nous ne sommes plus à une débilité près et puis le ridicule ne tue pas encore...
Pas besoin de se laisser pousser la barbe ou de camper devant le 16 rue de la Loi..
Alors que les actions citoyennes face à l’absence de gouvernement ne semblent pas porter leurs fruits, une sénatrice sp.a, gynécologue de formation, propose ce lundi une nouvelle façon de réclamer un gouvernement… sans pour autant afficher sa pilosité, d'après Het Nieuwsblad. Marleen Temmerman invite toutes les femmes à "garder leurs jambes fermées" tant qu’il n’y a pas de gouvernement : "Les négociations pourraient bien aboutir plus vite", a-t-elle déclaré au quotidien néerlandophone. Il va de soi que les femmes des négociateurs sont invitées à participer…
Une "grève du sexe" inspirée du Kenya
La socialiste flamande s’est inspirée d’une action d’un groupe de femmes kényanes alors que la formation du gouvernement s’éternisait dans leur pays, en 2008-2009. "Elles ont fait leur propre 'Shame'. Elles ont entamé une action de grève du sexe en avril 2009 pour réclamer une solution politique, en appelant les femmes du président et du premier ministre à participer. Une compensation financière a été offerte aux prostituées kényanes si elles participaient à cette grève. L’impact n’a jamais été prouvé scientifiquement, mais après à peine une semaine, un gouvernement stable était mis en place", a-t-elle expliqué à nos confrères.
RTL Info
Pas besoin de se laisser pousser la barbe ou de camper devant le 16 rue de la Loi..
Alors que les actions citoyennes face à l’absence de gouvernement ne semblent pas porter leurs fruits, une sénatrice sp.a, gynécologue de formation, propose ce lundi une nouvelle façon de réclamer un gouvernement… sans pour autant afficher sa pilosité, d'après Het Nieuwsblad. Marleen Temmerman invite toutes les femmes à "garder leurs jambes fermées" tant qu’il n’y a pas de gouvernement : "Les négociations pourraient bien aboutir plus vite", a-t-elle déclaré au quotidien néerlandophone. Il va de soi que les femmes des négociateurs sont invitées à participer…
Une "grève du sexe" inspirée du Kenya
La socialiste flamande s’est inspirée d’une action d’un groupe de femmes kényanes alors que la formation du gouvernement s’éternisait dans leur pays, en 2008-2009. "Elles ont fait leur propre 'Shame'. Elles ont entamé une action de grève du sexe en avril 2009 pour réclamer une solution politique, en appelant les femmes du président et du premier ministre à participer. Une compensation financière a été offerte aux prostituées kényanes si elles participaient à cette grève. L’impact n’a jamais été prouvé scientifiquement, mais après à peine une semaine, un gouvernement stable était mis en place", a-t-elle expliqué à nos confrères.
RTL Info
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