Je cite :" l'Algérie a ses hommes" un discours de Abassi Madani à l'égard de sa troupe galvanisée pendant l’âge d'or du Front Islamique de Salut.
Que reste-il de ses années de démocratie?.
A part une certaine liberté de la presse le reste est bâillonné.
Les algériens sont blessés dans leur amour propre. Quand tu interpelles l'algérien sur le syndrome tunisien au Maghreb. Ce dernier te répond avec fierté que les algériens ont été les premiers en octobre 1988 a déclenché ce mouvement de protestation.
Tu trouves même des journalistes qui avancent que Chadli a devancé la Perestroïka de Gorbatchev.
Seulement, la révolution tunisienne et égyptienne ont enfanté un changement à la tète du sommet et un effritement du système. Par contre les émeutes d'octobre ont enfanté une souris.
La DRS est toujours la source du pouvoir . C'est elle qui fait le président et qui tire sur les jeunes.
On a vu en Tunisie et en Egypte une communion entre les manifestants plébéiens et la société civile. Contrairement à la rue algérienne qui reste orpheline.
Le jeune d'octobre avait utilisé des cailloux pour affronter la police. Celui d'aujourd'hui préfère le sabre" Boussaadi " comme moyen de protestation.
Y' a t-il des hommes en Algérie pour sauver la face?
SNP 1975
Que reste-il de ses années de démocratie?.
A part une certaine liberté de la presse le reste est bâillonné.
Les algériens sont blessés dans leur amour propre. Quand tu interpelles l'algérien sur le syndrome tunisien au Maghreb. Ce dernier te répond avec fierté que les algériens ont été les premiers en octobre 1988 a déclenché ce mouvement de protestation.
Tu trouves même des journalistes qui avancent que Chadli a devancé la Perestroïka de Gorbatchev.
Seulement, la révolution tunisienne et égyptienne ont enfanté un changement à la tète du sommet et un effritement du système. Par contre les émeutes d'octobre ont enfanté une souris.
La DRS est toujours la source du pouvoir . C'est elle qui fait le président et qui tire sur les jeunes.
On a vu en Tunisie et en Egypte une communion entre les manifestants plébéiens et la société civile. Contrairement à la rue algérienne qui reste orpheline.
Le jeune d'octobre avait utilisé des cailloux pour affronter la police. Celui d'aujourd'hui préfère le sabre" Boussaadi " comme moyen de protestation.
Y' a t-il des hommes en Algérie pour sauver la face?
SNP 1975
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