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Elle simule une menace terroriste pour empêcher son compagnon de prendre l'avion
Zigonet
Une jeune Chilienne qui ne supportait pas le départ de son compagnon a décidé de simuler une attaque terroriste pour empêcher son avion de décoller.
Le week-end dernier, une jeune Chilienne qui ne supportait pas de voir son petit ami partir loin d'elle a décidé d'appeler l'aéroport international à partir duquel le vol 6830 d'Iberia était sur le point de décoller. "La femme, Francisca Galleguillos, a appelé l'aéroport international pour empêcher que son compagnon ne voyage", a déclaré une source policière auprès de l'AFP.
L'homme de 39 ans devait en effet se rendre en Espagne pour ensuite travailler sur un bateau de croisière pendant huit mois. Pour le retenir, la jeune femme a d'abord passé un coup de téléphone prétextant que le père du jeune homme était hospitalisé après un grave accident. Ce n'était pour autant pas suffisant pour faire descendre son compagnon de l'avion. Conséquence, elle a décidé d'utiliser les grands moyens en faisant croire à une menace terroriste.
Le chef de la sécurité Eduardo del Canto a expliqué ce que cet appel a engendré : "Le processus d'évacuation (des passagers) a duré trois heures durant lesquelles l'équipage puis les passagers sont descendus, et la soute a été explorée". Les 312 passagers n'ont pu partir que lundi dans la soirée.
Une jeune Chilienne qui ne supportait pas le départ de son compagnon a décidé de simuler une attaque terroriste pour empêcher son avion de décoller.
Le week-end dernier, une jeune Chilienne qui ne supportait pas de voir son petit ami partir loin d'elle a décidé d'appeler l'aéroport international à partir duquel le vol 6830 d'Iberia était sur le point de décoller. "La femme, Francisca Galleguillos, a appelé l'aéroport international pour empêcher que son compagnon ne voyage", a déclaré une source policière auprès de l'AFP.
L'homme de 39 ans devait en effet se rendre en Espagne pour ensuite travailler sur un bateau de croisière pendant huit mois. Pour le retenir, la jeune femme a d'abord passé un coup de téléphone prétextant que le père du jeune homme était hospitalisé après un grave accident. Ce n'était pour autant pas suffisant pour faire descendre son compagnon de l'avion. Conséquence, elle a décidé d'utiliser les grands moyens en faisant croire à une menace terroriste.
Le chef de la sécurité Eduardo del Canto a expliqué ce que cet appel a engendré : "Le processus d'évacuation (des passagers) a duré trois heures durant lesquelles l'équipage puis les passagers sont descendus, et la soute a été explorée". Les 312 passagers n'ont pu partir que lundi dans la soirée.
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