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Une enveloppe totale de 120 milliards de dollars sera dégagée pour produire 22*000 mégawatts d’électricité à partir des énergies renouvelables durant les vingt prochaines années.*«*A peu près 60 milliards de dollars seront orientés vers le marché local d’ici 2030. Il faut trouver les partenaires pour le restant de l’enveloppe. Il n’est pas question de développer le marché de l’exportation à partir de ressources locales. II faut d’abord trouver *le*marché, les partenaires et les financements extérieurs*»,*a déclaré Noureddine Bouterfa,*PDG*de Sonelgaz, invité mardi de la chaîne III de la radio nationale.
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Il a indiqué que la production de l’électricité se fait à partir du gaz.*«*En 25 ans, il faut à peu près 300 milliards de mètres cube de gaz pour produire 1*.000 mégawatts destinés au marché local. Cette quantité est l’équivalent de 80 à 100 milliards de dollars. Pour les énergies renouvelables, cela fait de 60 à 70 milliards de dollars. Le fait de pouvoir exporter permet de financer ce programme. C’est une vision à long terme*»,*a‑t‑il indiqué plaidant pour la contribution des industriels et des citoyens à cet effort.
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Il a rappelé l’adoption récente par le gouvernement d’un plan de développement des énergies renouvelables qu’il a qualifié de réaliste.*«*L’Algérie affiche d’une manière claire que sans le développement industriel et technologique national, les énergies renouvelables n’ont pas d’avenir dans le pays*»,*a‑t‑il noté. Il a indiqué que sur les 22*000 mégawatts qui seront produits, 10*000 mégawatts seront exportés.*«*Mais ce n’est pas un programme destiné exclusivement à l’exportation. Si nous avons des partenaires, on fera la vente en extérieur. Il faut trouver des débouchés et trouver des contrats à long terme La priorité est accordée au marché national*»,*a‑t‑il souligné.
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Il a précisé que 2000 mégawatts seront produits à partir de l’énergie éolienne, 2800 mégawatts à partir du solaire photovoltaïque et 7200 mégawatts à partir du solaire thermique (stockage).*«*Nous aurons donc un bon mixte qui nous permettra de tirer l’avantage du vent et*du soleil pour économiser l’énergie dans les sites isolés et des centrales thermiques qui seront injectées dans le réseau, conçues pour fonctionner pendent les heures de non ensoleillement, les heures de pointe*»,*a*t*il expliqué soulignant qu’il s’agit du schéma retenu dans le plan adopté par le gouvernement.
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Il a indiqué que d’ici 2013, comme première étape, 650 mégawatts seront produits, pour aller à plus de 2500 mégawatts après 2015.*«*En 2030, nous aurons 12*000 mégawatts de renouvelable pour une capacité installée d’environ 35*000 mégawatts. Il n’est jamais trop tard pour bien faire. L’Algérie a énormément investi en terme de formation et d’expertise. Il faut libérer les initiatives et croire à ce qu’on fait. Si nous voulons être leader dans 20 à 25 ans, c’est maintenant qu’il faut commencer*», a‑t‑il noté. Il a pris soin de relever que le contrat négocié avec le groupement allemand Centrotherme et Kinetics pour la*réalisation de la future usine de modules photovoltaïques de Sonelgaz a été entièrement négocié par des experts algériens qualifiés.*«*Je suis satisfait du résultat car le produit sera très compétitif en Europe et aux Etats-Unis*»,*a‑t‑il confié.
TSA
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Il a indiqué que la production de l’électricité se fait à partir du gaz.*«*En 25 ans, il faut à peu près 300 milliards de mètres cube de gaz pour produire 1*.000 mégawatts destinés au marché local. Cette quantité est l’équivalent de 80 à 100 milliards de dollars. Pour les énergies renouvelables, cela fait de 60 à 70 milliards de dollars. Le fait de pouvoir exporter permet de financer ce programme. C’est une vision à long terme*»,*a‑t‑il indiqué plaidant pour la contribution des industriels et des citoyens à cet effort.
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Il a rappelé l’adoption récente par le gouvernement d’un plan de développement des énergies renouvelables qu’il a qualifié de réaliste.*«*L’Algérie affiche d’une manière claire que sans le développement industriel et technologique national, les énergies renouvelables n’ont pas d’avenir dans le pays*»,*a‑t‑il noté. Il a indiqué que sur les 22*000 mégawatts qui seront produits, 10*000 mégawatts seront exportés.*«*Mais ce n’est pas un programme destiné exclusivement à l’exportation. Si nous avons des partenaires, on fera la vente en extérieur. Il faut trouver des débouchés et trouver des contrats à long terme La priorité est accordée au marché national*»,*a‑t‑il souligné.
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Il a précisé que 2000 mégawatts seront produits à partir de l’énergie éolienne, 2800 mégawatts à partir du solaire photovoltaïque et 7200 mégawatts à partir du solaire thermique (stockage).*«*Nous aurons donc un bon mixte qui nous permettra de tirer l’avantage du vent et*du soleil pour économiser l’énergie dans les sites isolés et des centrales thermiques qui seront injectées dans le réseau, conçues pour fonctionner pendent les heures de non ensoleillement, les heures de pointe*»,*a*t*il expliqué soulignant qu’il s’agit du schéma retenu dans le plan adopté par le gouvernement.
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Il a indiqué que d’ici 2013, comme première étape, 650 mégawatts seront produits, pour aller à plus de 2500 mégawatts après 2015.*«*En 2030, nous aurons 12*000 mégawatts de renouvelable pour une capacité installée d’environ 35*000 mégawatts. Il n’est jamais trop tard pour bien faire. L’Algérie a énormément investi en terme de formation et d’expertise. Il faut libérer les initiatives et croire à ce qu’on fait. Si nous voulons être leader dans 20 à 25 ans, c’est maintenant qu’il faut commencer*», a‑t‑il noté. Il a pris soin de relever que le contrat négocié avec le groupement allemand Centrotherme et Kinetics pour la*réalisation de la future usine de modules photovoltaïques de Sonelgaz a été entièrement négocié par des experts algériens qualifiés.*«*Je suis satisfait du résultat car le produit sera très compétitif en Europe et aux Etats-Unis*»,*a‑t‑il confié.
TSA