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Mafia des généraux

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  • Mafia des généraux

    Larbi BELKHEIR

    Né à Frenda dans l'ouest Algérien en 1937 ce fis de caïd était un enfant de troupe comme son père, il a toujours servi sa mère patrie : la France, il rejoint l'ALN en 1958 ( Promotion Lacoste ) au poste frontière de Garn El Halfaya ( sud de Kef ) en passant par la base de FLN à Tunis; il n'a donc jamais porte les armes contre les troupes coloniale,Belkheir a été affecté au camp d'instruction de Oued Meliz ( près de Ghardimaou).il était charge de former le 45éme Bataillon.
    En compagnie d'un autre enfant de troupe Guenaizia il a tenu la fameuse réunion avec les officiers de l' ALN à la frontière Tuniso-algérienne destiné a repartir les tâches a la tête du commandement de l'armée.
    A l'indépendance il est capitaine et chef de sous groupement stationné à Constantine, on l'envoie s'instruire à l'école d'état-major en URSS et devient directeur de l'infanterie

    1965- 1975 : chef d'état- major à Ouargla et enfin chef d'état-major à la 2e région militaire pendant dix ans. région militaire commandée par Chadli Bendjedid

    1975 - 1979 : il obtint le grade de Commandant, et dirige l'ENITA ( l'École National des Ingénieurs et Technicien d'Algérie ) la ou fut tenu le conclave ou il a été décide l'intronisation de Chadli Benjdid a la tête de l'état Algérien et non au siége du Conseil de la Révolution, comme on a laisse croire.

    Larbi Belkheir a fait l'essentiel de sa carrière sous l'ombre de Chadli qui est également ancien officier de l'armée Française , il le rejoint logiquement a la présidence et obtint le poste de chef du haut conseil de sécurité et de la défense (HCS )en 1979.Pendant dix ans,( 1979 - 1990 ) il occupe les postes suivants : Chef du HCS, secrétaire générale de la présidence et enfin directeur de cabinet du président Chadli.
    Il s'occupe a diviser les services secret Algériens, la S.M, commandé par Kasdi Merbah, car Belkheir savait qu'il fallait diviser pour régner, il commence par saboter puis dissoudre la DCSM ( Direction central de la sécurité Militaire ) grâce au soutiens de ses hommes place aux postes stratégique des services, il crée la DRS ( Département des Renseignements et de la Sécurité ) et met a sa tête son homme de main a l'époque le Colonel Tewfik en 1990.
    Juin 1991 : en prévision de coup d'état contre Chadli, il se proclame ministre de l'intérieur dans le gouvernement de Sid Ahmed Ghozali pour ne pas éveiller les soupçons et charge le ministre de la défense Khalled Nezzar d'organiser le coup d'état.
    Après l'assassinat de Mohamed Boudiaf a Annaba en Juin 1992, Larbi Belkheir qui était parmi les instigateurs soupçonner du meurtre de président, se retire de la scène politique, en juillet, pour se consacrer entièrement à ses affaires.
    Mais il reste en contacte permanent avec les autre décideurs ces derniers organisent en Juin 1998 l'assassinat du chantre de la cause Berbére Matoub Lounes pour chasser Zeroual de la présidence de la république
    Fin 1998, sa résidence à Hydra est le siége des tractations entre Bouteflika et les généraux pour la désignation de celui ci à la présidence de l'état.
    En décembre 2000; il devient le chef de cabinet de Bouteflika malgré le refus de ce dernier de le nommer officiellement a ce poste, il a du céder sous les pression de si Larbi.
    Larbi BELKHEIR est l'homme araignée, il est le proche confident des islamistes et des soit disant éradicateurs, il a ses pions dans tous les camps. Il a mené les négociations avec le FIS en 1991.
    Il est l'agent de l'Elysée ( la France ) par excellence, c'est l'homme de main de Jacque ATTALi , le conseiller politique de françois MITTERAND, il a appuyé la France sur maintes et un dossier délicat concernant sa politique algérienne. Un de ses frères est d'ailleurs un militaire haut gradé dans les services se sécurités de l'armée française, ce dernier a jouer un rôle important pendant le règne de Mitterand.
    C'est aussi, l'homme de la" déboumedianisation". Il a activement contribué à effacer, tous ce qui avait attrait à l'Algérie de Boumédienne alors qu'il a fait l'essentiel de sa carrière en prêtant allégeance a ce dernier.

    C'est le serviteur attentionné de la famille du président Chadli . Il se rapproche de la seconde épouse de Chadli, Hlima Bendjedid, et devient ainsi un intermédiaire influent. Un "Chayate" ( servile laudateur ) par excellence, Il a été le point nodale des familles Chadli / Bourekba / Lahouel .

    Il nomme et il gomme les gens qui font partie du système. Avec Hlima, Larbi forme un duo terrible qui sévira pendant longtemps jusqu'as ce que Chadli somme sa femme de ne plus s'immiscer dans la politique.
    Belkheir à toujours su profiter des occasions qui se présentait, c'est lui qui a repêché Smain LAMARIi (qui est actuellement un des décideurs ) quand le général Betchine l'avait viré en 1990. L'actuel patron des services secrets, Mediene dit Tewfik, a une dette envers lui, Belkheir l'a mis à la tête de ce département.
    Il est connu d'être le parrain de la Mafia politico-financière algérienne, en 1992 il prend sa retraite pour s'occuper de ses affaires entre Alger et les grandes capitales occidentales. Pendant cette période, il a su se faire petit et faire oublier les doutes qui entaché ses mains sur l'assassinat de Boudiaf.
    Son retour en force actuellement avec son poulain Bouteflika, prouve que sa retraite fut intentionnelle et rentre dans le cadre d'une stratégie élaboré par un cabinet noir qui préside aux destinées du pays.
    Tous le monde sait sur Alger, que c'est lui le principal ciment et jointure entre Bouteflika et les généraux Algériens.

    Comme par enchantement, le général fait un revirement total de position et apporte sa caution au candidat Bouteflika, Belkheir était passé auparavant beaucoup de temps pour convaincre Nezzar, de la nécessité de l'avoir comme président de la république.
    Après quelque « gaffes » du président Bouteflika, Belkheir décide de s'approcher de la présidence pour mieux surveiller son poulain qu'il a imposé aux décideurs et faire la jonction entres le président et le pouvoir réel Algérien. Belkheir est actuellement directeur du cabinet du président Bouteflika Il a tissé un réseau de relation extrêmement puissant et efficace dans le monde entier, surtout en France.


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  • #2
    Général Major Mohamed Lamine MEDIENE dit "Tewfik"
    Chef de la D.R.S



    Le plus énigmatique de nos généraux mafieux, c'est normal le général major Médienne dit Toufik a passé toute sa vie dans les services secrets Algériens.
    Né en 1939 à Gueznet dans la petite Kabylie, il grandit à saint Eugène ( Bologhine ) il rejoint les rangs de l'ALN en 1961 dans l'est algérien quelques mois avant la signature du Cessez le feu, a l'indépendance il intègre la direction des services secrets ou on l'envoie en stage de formation en URSS au sein du KGB.
    De retour il nous d'exélentes relations avec le futur président de la république Chadli Benjdid et son chef de cabinet Larbi Belkheir dans la 2 eme Region militaire. en 1978 il est capitaine et homme de confiance de Chadli, il réintègre la direction central de la SM et prend la tête de la sous direction de la sécurité de l'armée sous le commandement du général Lakehal Ayat directeur Central de la sécurité militaire.
    en 1987, sous l'influence de sa belle famille, le président Chadli signe un décret pour lequel le sous lieutenant - colonel Tewfik est désigné pour la succession du général Hocine benmalem a la tête de la DADS ( département des affaires de défense et de sécurité ) il aura sous a coupole tous les services de sécurité du pays ( police, Gendarmerie, sécurité militaire )
    Après le départ ( mutation ) de Lakhal Ayat, il devient directeur central de la sécurité de l'armée en remplacement du général Betchine, la démission de ce dernier en octobre 1990 lui permet de mettre sous sa coupe tous les services de sécurité en créant la D.R.S ( Direction du renseignement et de la sécurité ).
    Le général Major Mediene toufik est le patron des patron des services secret Algérien depuis plus de douze ans, il a détourné des milliards de dollars et a orchestre plusieurs opération de "nettoyage" , il s'est occupé entre autres d'organiser l'assassinat de Boudiaf en juin 1992 et de Kasdi Merbah un an plus tard avec son adjoint a l'époque le général Smain
    complément d'information sur ...
    MOHAMED MEDIENE
    Directeur du Département renseignements et sécurité

    Le général-major Mohamed Mediene est issu d’une famille kabyle originaire de Guenzet dans l’est Algérien. Plus connu sous le surnom de « Toufik », il n'émarge pas au MALG – ancêtre des services de renseignements algériens – dans les années 50, à la différence de la plupart des patrons du renseignement algérien.
    A l'Indépendance M. Mediene fait partie de la promotion « tapis rouge » qui suit ses premières classes dans les écoles du KGB. Affecté, avec le grade de lieutenant, à la deuxième région militaire, dirigée depuis l'Indépendance par le colonel Chadli Bendjedid, Mohamed Mediene est nommé officier de sécurité de cette zone frontalière du Maroc. Sous le commandement du colonel Bendjedid, il effectue un long chemin de compagnonnage avec un capitaine influent, Larbi Belkheir, alors chef d'état-major de la deuxième région militaire.
    Sous la direction de Medjdoub Lakehal Ayat, patron de la Sécurité militaire (SM), qui le trouve encombrant, il est nommé attaché militaire à Tripoli en 1983. De retour de son « exil » diplomatique, il dirigera brièvement la Direction centrale du génie militaire. En 1986, il devient chef du Département défense et sécurité à la présidence de la République, où Larbi Belkheir occupe la fonction de directeur de cabinet du président Chadli Bendjedid.
    Lorsque la Délégation militaire de prévention et de sécurité (DGPS) est créée en mai 1987, il y devient directeur de la Sécurité de l'armée (SA), la police politique de l'Armée nationale populaire. À la dissolution de la DGPS en septembre 1990, il prend la tête du Département de recherches et de sécurité (DRS) qu'il dirige à ce jour.
    Sa carrière démarre réellement avec la destitution du président Chadli Bendjedid en janvier 1992 et la montée de la menace islamiste. Dirigeant à la fois la sécurité intérieure, les renseignement extérieurs et la SA, Mohamed Mediene a un poids considérable dans le système politico-militaire algérien.
    Cet amateur de cigares qui apparaît rarement en public possède, par le biais de ses réseaux et de sa fonction, un puissant ascendant sur les médias, les partis politiques, les lobbies d’affaires et les différents courants de l’armée.
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    • #3
      Mohammed LAMARI
      Général des corps d'Armée


      Le plus " Fou " des généraux mafieux, il doit son ascension a sa grande gueule et a son audace mais sûrement pas a ses compétences et sa bravoure.
      Mohamed Lamari est né a Alger le 7 juin 1939, mais il est originaire de Biskra, avant de rejoindre l'ALN en 1961 au Maroc quelques mois avant la signature des accords de cessez le feu, il avait suivi une formation à l'école de cavalerie de Saumur en Françe.
      A l'indépendance, il a été officier instructeur, avant d'occuper le poste de chef d'état major dans les différentes unités opérationnelles qu'a eu a diriger l'Ex président Liamine Zeroual.
      feu président Boudiaf se méfiant de lui ordonna sa mise en retraite en mars 1992, mais son ordre n'a jamais été exécute, au contraire les généraux putschiste lui ont confie le commandement du COLAS ( Centre Opérationnel de la lutte Anti- subversifs ) dans la foulée il est promu Général de corps d'armée le 1er Novembre 1993.
      Mohammed Lamari se distingua lors de la réunion des chef d'états majors et des commandants des régions militaires a la fin du mois de décembre 1991 juste après l'annulation des résultats du premier tour des élections législative, en approuvant les idées du ministre de la défense a l'époque Khalled NEZZAR, sa loyauté fut très vite récompense.
      Aujourd'hui il est l'un des décideurs du sort de tous le peuple Algérien.
      on l'appel " l'éradicateur" car il prône l'éradication total des groupes armés islamiste alors que d'autres généraux majors comme Belkheir et Touati préfèrent utiliser ces cellules terroristes pour se maintenir au pouvoir et continuer a utiliser le prétexte du terrorisme islamique.
      complément d'informations sur
      MOHAMED LAMARI
      Chef d'état-major de l'ANP

      Né le 7 juin 1939, à Alger, dans une famille originaire de Biskra, dans le sud-est algérien, Mohamed Lamari est un homme massif au regard autoritaire et aux manières cassantes. Issu de l'armée française durant la guerre d'Algérie, il a été formé dans la cavalerie à l’Ecole de guerre de Saumur en France.
      Il rejoint l’Armée de libération nationale (ALN) en 1961. Il suivra plus tard une formation d'artilleur à l'Académie militaire de Frounze (ex-URSS), puis d'officier d'état-major à l'Ecole de guerre de Paris.
      Tour à tour officier d'instruction, directeur d'école, commandant d'unités opérationnelles, chef de région militaire, Mohamed Lamari se distingue tout particulièrement en janvier 1992 lors d'un conclave réunissant prés de 200 officiers, où il demande, de façon tonitruante, au président Chadli Bendjedid de démissionner. Il estimait, après la victoire du FIS aux législatives de décembre 1991, que la gestion du « péril islamiste» passait avant tout par le départ du président.
      Écarté un moment par le président Boudiaf en 1992, il est chargé de la création d'une « task-force » anti-terroriste de 15 000 hommes. Le commandement de celle-ci lui vaudra de prendre la direction de l'état-major en juillet 1993 dans la foulée de la nomination du général Liamine Zeroual au poste de ministre de la Défense.
      Depuis, il est au centre de toutes les promotions militaires. Il est promu au grade de général de corps d’armée et devient de fait le ministre de la Défense lorsque Liamine Zeroual est désigné à la présidence de la République
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      • #4
        Général Major
        Smain LAMARI
        Chef de la DCE

        L'artisan du plan de l'assassinat du président Boudiaf, Smain LAMARI est avec Mohamed Lamari, Fodil Cherif et Abdelmajid, l'exécutant des décideurs.
        Né en 1941 originaire de Beni Slimane dans la région de Titteri, en 1961 il s'engage dans l'ALN a l'indépendance il fait un court passage dans la police puis s"engage dans la marine national.
        en 1973 il suit une formation spécial pour obtenir le grade de sous-lieutenant, il a toujours évolue dans les service opérationnel.
        En 1989 le général Betchine, qui ne le porte pas dan son coeur, le limoge sans raison apparente, le lieutenant-colonel Smain LAMARI va se plaindre a Larbi Belkheir, chef du cabinet du président Chadli, quelques jours plus tard, il est nommé inspecteur général de la direction de la sécurité de l'Armée, passé sous le contrôle de Tewfik.
        après le départ a la retraite de Betchine, Smain est nomme chef du département du contre-espionnage, sous les ordre direct du général Tewfik, un poste qu'il occupe jusqu'a aujourd'hui.
        Smain fut chargé par Larbi Belkheir d'organiser l'assassinat du président Boudiaf en juin 1992.
        En 1999 il est charge par Belkheir d'organiser la reddition des éléments de l'armée Islamique du Salut ( AIS ) dirigé par Madani MERZAG, et faire passe le projet officiellement sous le nom de la nouvelle politique du président Bouteflika, les algériens qui ont voté naïvement ne savaient pas que cette accord avec les terroristes du parti dissous est en réalité le retour au bercail des centaines d'agents de la DRS infiltrés dans les maquis islamistes pour contrôler les groups islamiques armées, ce que Bouteflika ignore aussi d'ailleurs, l'accord signe avec les "terroristes" n'est que la signature de fin de mission pour ces agents des services secret dirigé aujourd'hui par Tewfik et Smain.
        Aujourd'hui c'est l'homme de liaison entre la DST ( service secrets Française ) et la DRS / DCE.
        complément d'informations sur :

        Gle SMAIN LAMARI


        Chef de la Direction de contre-espionnage (DCE)
        Homonyme du chef d'état-major Mohamed Lamari, Smaïn Lamari est né à Belfort en 1937 dans la banlieue est d'Alger. Fils d'un chauffeur de taxi originaire de Sour el Ghozlane, il fréquente le lycée d'El Harrach avant de rejoindre l'Armée de libération nationale dans la wilaya (zone) IV. En 1962, au moment de la crise qui frappe la wilaya, il rejoint le corps de la police comme contractuel et entreprend un stage pour devenir officier. Après quelques mois, il est récupéré par l'armée avant d'être envoyé en Égypte, où il poursuit des études militaires.
        Il fait l'essentiel de sa carrière dans les services opérationnels de la Sécurité militaire (SM), de la Délégation militaire de prévention et de sécurité (DGPS) et du Département recherches et sécurité (DRS). Depuis 1992, il dirige la Direction de la sécurité intérieure (DSI), chapeautant, notamment, la lutte contre le terrorisme islamiste et le contre-espionnage.
        Homme de l’infiltration de nombreux réseaux islamistes en Algérie et à l'étranger, Smaïn est par excellence une synthèse de l'homme de renseignement et de l'homme d'action. Il a été l’interlocuteur privilégié de la DST française et notamment du général Philippe Rondot, coordinateur des renseignement français au ministère de la Défense à Paris.
        Il a eu en charge les dossiers des GIA et des islamistes exilés en Europe, et dirige de fait la Sûreté nationale (police) algérienne, durant les premières années du terrorisme urbain. Il a été au centre de négociations qui ont conduit l’Armée islamique du Salut (AIS) à déposer les armes, en octobre 1997.
        Dernière modification par Nomad7, 08 février 2011, 16h55.
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        • #5
          Général Major
          Khaled NEZZAR


          C'est le porte parole des décideurs, c'est une grande gueule ! il multiplie les conférences de presse et les déclarations officiels pour justifier la position de l'armée Algérienne a l'égard de l'interruption du processus électorale et ses conséquences sur le pays depuis dix ans.
          Khaled Nezzar est né en 1937 à Seriana dans les Aurès, son père sous-officier est retraité de l'Armée Française il est issu donc d'une famille aisé, contrairement a ce qu'il prétend dans ses mémoires, au lieu de rejoindre le maquis comme ses camarades pour combattre l'occupant. comme l'a fait son camarade de classe Benaceer Abdelwahab a l'age de 15 ans.
          Il intègre, par contre,dés son jeune age, l'école militaire des enfants de troupe puis en 1956 il rejoint le 13émé régiment de tirailleur algérien à Landeau ( en Allemagne ), comme Larbi Belkheir et Mohammed Touati il "rejoint" l'armée de libération national avec le grade de sous officier de l'armée Française, aujourd'hui on sait que l'enfant de la "promotion Lacoste" a infiltré les rangs des moudjahiddine pour occuper des postes stratégique à la tête de l'armée Algérienne après l'indépendance.
          en 1988 il est commandant chargée des forces terrestres ( CFT ) , il réprime durement les manifestations et émeutes d'octobre 88 en ordonnant aux forces de sécurité d'ouvrir le feu sur les jeunes manifestants, ( plus de500 morts), il est nommée juste après ministre de la défense national, après l'interruption du processus électorale dont il fut l'un des artisans il est membre du HCE ( Haut Comité d'Etat ) présidé par Boudiaf jusqu' a son assassinat en Juin 1992 par les généraux putschiste.
          Khaled Nezzar est officiellement en retraite depuis juillet 1993, il s'occupe de gérer sa grosse fortune qui est estimé a plusieurs milliard de francs, prélever sur la rente pétrolière du pays, les ventes des produits industriels et sur les commissions de vente des armes pour l'Algérie.
          il s'est découvert dernièrement une âme d'auteur il a rédiger en trois ans quatre livres, a défaut d'écrire un best seller le général Nezzar est un bien un sériel keller !
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          • #6
            Général Major
            Mohamed TOUATI
            Chef du conseil de Sécurité à la Présidence


            Mohammed Touati est un homme lettré, sans aucun doute, le conseiller diabolique du cabinet noir on le surnomme "el -Mokh" ou le cerveau.
            Il est né en 1936 en Kabylie, il intègre l'école militaire des enfants de troupe et se distingue entre 1957 et 1958 alors qu'il était sous officier dans l'armée française, en commandant a Tadmait des massacres sanglants contre les populations civils en représailles aux embuscades tendu par les maquisards de l'ALN contre les soldats français.
            Trente ans après en 1985, pendant l'inauguration d' un C.E.M dans son village natal ,il a été reconnu par des anciens maquisards de la région, il a faillit être lynché par la population local si ce n'est l'intervention des sages du village.
            A l'indépendance, il est chef d'état major de la gendarmerie national puis chef d'état major de la troisième région militaire sous le commandement d'un autre sous officier de l'armée Française, khaled Nezzar et enfin conseiller du ministre de la défense national puis conseiller du chef d'état major Mohamed LAMARI.
            En 1989 il met un pied sur la scène politique en fondant le R.C.D ( Rassemblement pour la Démocratie et la Culture ) et installe mettant le Dr said Saadi a la tête du partie, Touati est l'artisan de l'assassinat du chantre de la cause berbère Matoub LOUNES, il a charge le députe R.C.D Nouredine Ait Hamouda ( le fils du colonel Amirouche )et sa milice d'exécuter l'ignoble tâche pour déstabiliser le président Zeroual et le pousser a la démission.
            Depuis trois ans Touati est le Chef du Conseil de sécurité à la présidence de la république un poste crée spécialement pour lui par son ami Larbi Belkheir.
            complément d'informations sur :
            MOHAMED TOUATI
            Conseiller militaire du président Bouteflika

            On le surnomme El Moukh. Un "cerveau" sous la casquette d'un des généraux les plus influents de l'armée algérienne. Cette réputation d'"intellectuel", le général-major Mohamed Touati, la doit à son profil à facettes multiples de militaire, d'analyste politique et de juriste.
            L’image de "militaire qui réfléchit", cet ancien officier de gendarmerie, issu des rangs de l'armée française, qu'il a quittée en 1961, la doit aussi au fait d'être l'un des rares généraux en exercice à publier ses réflexions politiques. La première fois, fait inédit dans les annales de l’armée algérienne, au lendemain des émeutes d'octobre 1988: il publie alors dans le quotidien gouvernemental El Moudjahid une réflexion sur la Constitution et le rapport de l'armée à la politique. Cette opinion avait précédé le retrait de l'ANP du FLN, alors parti unique, et l'adoption d'une constitution consacrant le multipartisme, en 1989.

            Les attentats du 11 septembre 2001 aux Etats-unis ont inspiré sa dernière intervention médiatique. C'est en sa triple qualité de conseiller militaire du chef de l'Etat, de président du Haut Conseil de Sécurité et de "représentant du ministère de la Défense", qu'il livre sa vision du rôle de l'Algérie dans la lutte internationale contre les réseaux terroristes islamistes. Une implication productive dans le domaine du renseignement.

            Kabyle, originaire de Achouba (région d'Azzefoun), le général-major Touati a fait sa carrière militaire dans la gendarmerie, l'administration du ministère de la Défense, et l'État-major. Il a la réputation d'être l'idéologue par excellence de la politique d'éradication du terrorisme islamiste, appliquée après l'interruption du processus électoral, en janvier 1992. Alors conseiller du ministre de la Défense Khaled Nezzar, poste qu’il occupe après avoir été directeur des opérations à l'état-major (1989-1991), il prend une part active dans la destitution du président Chadli Bendjedid, l'arrêt du processus démocratique et l'interdiction du Front islamique du salut (FIS).
            Cette réputation de chef de file des "éradicateurs", courant politique opposé par principe à l'existence de forces politiques d'essence religieuse et à la requalification du FIS, semble pourtant surfaite. Elle est en fait tout en nuances. C'est, en effet, le même Touati qui sera la figure de proue de la CDN, la Commission de dialogue national, mise en place par le HCE pour définir les modalités d'une transition politique avec la participation du FIS interdit. À ce titre, il rendra notamment visite en prison à Abdelkader Hachani, assassiné à Alger en 1999.
            Paradoxalement, cet ancien magistrat militaire, qui a défini avec l'actuel patron de l'ANP, le général de corps d'armée Mohamed Lamari et le général Abdelmadjid Taright, aujourd'hui à la retraite, l'alternative politique à l'islamisme, a appuyé la politique de "concorde civile" qui a permis de neutraliser quelque 6000 islamistes armés depuis son entrée en vigueur, en 1999. C'est ce même "éradicateur" qui souligne, en 1993 dans El Djeïch, revue interne de l'armée: « (...) le phénomène islamiste apparaît comme un nouveau choix de société et non comme un accès de fièvre sociale, culturelle et économique gérable par des remèdes superficiels, aussi violents soient-ils, ou par des antalgiques politiques (...). »
            Partisan d'une recomposition autoritaire de la scène politique, le général Touati reste un des principaux "décideurs politico-militaires". Partisan d'un islamisme modéré, intégré dans le jeu du Pouvoir, il défend en petit comité l'idée d'un "rôle à la turque" pour l'ANP. Dans son esprit comme dans l'idée d'autres chefs militaires, il s'agit pour elle d'être "le garant de la constitution". En clair, d'être l'ultime maître du jeu politique.
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            • #7
              Général Major
              FODIL CHERIF
              Chef de la 1ére Région Militaire


              Ancien de l'armée coloniale, il était membre des S.A.S (Service Administrative de Surveillance) mise en place après les accord d'Evian sur le cessez le feu, comme le reste des généraux du cabinet noir, le maintient de Fodil Cherif dans le club très ferme des généraux décideurs, est la preuve incontestable, de la solidarité des anciens sous officiers de l'armée Française
              Originaire de sidi Bel Abbes , dans l'Oranie, il commande la première région militaire depuis 1998, après le dépoart du général Said Bey accuse de négligence grave par Zeroual, il est pressenti au poste de chef d'état Major après le départ éventuel en retraite de son mentor le général major Mohamed Lamari.
              quoi de dire de plus sur cette homme, c'est l'un des exécutants du cabinet noir, ce n'est pas vraiment un cerveau ni un stratagème comme Belkheir, Touati ou Tewfik


              Général Major
              Saheb Abdelmajid
              Commandant 4éme Région


              Le général Major Abdelmajid est originaire de la grande Kabylie, lui aussi est un enfant de l'armée Française, il a "rejoint" l'ALN comme les autres généraux harkis en 1961 a quelque mois de l'indépendance, il a toujours occupes des fonctions stratégiques pour veiller aux intérêts des décideurs.
              Il suit une carrière militaire conventionnel, chef d'état major de la 4 éme région militaire( le Sahara ) puis chef de département à l'état major avant de retrouver la 4éme région militaire au remplacement du général Major Abdelhamid Saidi mort dans un accident de voiture suspect.
              C'est l'homme qui surveille l'or noir ( le pétrole ) pour les généraux Mafieux et affairistes


              Général Major
              Abdelmalek GUENAIZIA



              C'est le meilleur ami de Nezzar, ils ont fait les quatre cents coups ensemble, des coups bien sûr portés contre le peuple Algérien.
              Ancien sous- officier de l'armée Française, il rejoint l'ALN en 1958, dans le cadre de sa mission ( Promotion Lacoste ) d'ou sa discrétion maladive sur son passé. A l'indépendance, il occupe différentes fonctions dans l'armée :
              Chef de bataillon, chef de groupement, adjoint chef de la 2éme région militaire sous Chadli Benjdid, c'est la ou il revoit son ancien camarade de la promotion Lacost, un certain Larbi Belkheir, puis il devient directeur central du matériel, commandant des forces aériennes et enfin chef d'état major de l'armée
              Entre 1990 et 1999, il est ambassadeur d'Algérie en Suisse, ou il s'occupait de préparer une retraite dorée pour les généraux mafieux en vaillant sur leurs comptes aux banques dans la capital Helvétique, aujourd'hui il est officiellement en retraite.
              Dernière modification par Nomad7, 08 février 2011, 16h59.
              "If you can't say anything nice, don't say anything at all."

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              • #8
                Mafieux d'outre-tombe, faut-il le mentionner, pour la plupart d'entre eux.

                Quel est le motif de ce topic, nomade?

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                • #9
                  Quel est le motif de ce topic, nomade?
                  C'est juste pour dire par qui on est gouverné! La majorité d'entre eux est issu de l'armée Française.
                  Il y a juste un petit espoir, c'est qu'ils sont tous d'un certain âge donc peut être on aura du changement avec la nouvelle génération des officiers!
                  "If you can't say anything nice, don't say anything at all."

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                  • #10
                    Nomade.....même depuis leurs tombes?

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                    • #11
                      Nomade.....même depuis leurs tombes?
                      Il y a que Belkhir qui est mort, non?
                      "If you can't say anything nice, don't say anything at all."

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                      • #12
                        propagande marocaine

                        vous chercher a déstabiliser l'Algérie lamentable

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                        • #13
                          Belkheir, Fodil, Smain Lamari sont morts.
                          Les autres à la retraite. Y a sue Toufik qui est encore à son poste

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                          • #14
                            la moindre des choses c'est de savoir au moins qui est mort qui est vivant qui est en exercice qui est a la retraire qui est poursuivit en justice etc....

                            comme koi on peut lire n'importe quel sujet,ne rien y connaitre et y adhérer pleinement ,il suffit d'avoir la motivation de vouloir y croire et le tour et joué

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                            • #15
                              Mafia des généraux

                              NOMAD ,un fin connaisseur de notre armée ,il te reste plus qu'a écrire un livre .
                              Tu en connais plus que les Algériens...!

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