Nous avons beaucoup d'interventions relatives à la politique internationale ou centrées sur la politique nationale ce qui fait dire parfois que le peuple algérien est l'un des plus politisé.
Soit! Mais est-ce pour autant un peuple citoyen?
A la lecture de l'article ci-après, permettez-moi de me poser des questions.
Décrit-il la réalité? Si oui, où sont les citoyens?
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Larbaâ Nath Irathen
Décharges au cœur des cités
Ce problème de salubrité publique semble être traité par les différents exécutifs au rythme de l’improvisation, parant chaque fois au plus pressé, sans qu’une véritable politique d’évacuation des déchets puisse être définitivement installée.
C’est certes un lieu commun de le dire aujourd’hui, on n’arrive pas à se débarrasser convenablement de nos ordures ménagères. Il n’y a qu’à parcourir les ensembles d’habitations élevés un peu partout autour de la vieille ville de Larbaâ pour s’en rendre compte. Les niches, les bennes et les poubelles collectives, quand il y en a, débordent le plus souvent. Le rythme d’enlèvement par les services de la voirie est en deçà du volume rejeté.
Le civisme des citoyens est aussi souvent à mettre en cause, certains jetant approximativement leurs sachets poubelles au grand bonheur des chats et chiens errants.
Conséquence : ces amas informes, hideux, d’ordures de toutes sortes qui, pareilles à des métastases d’une énorme tumeur, déversent leurs nuisances visuelles et olfactives dans l’environnement urbain.
Ce problème de salubrité publique semble être traité par les différents exécutifs au rythme de l’improvisation, parant chaque fois au plus pressé, sans qu’une véritable politique d’évacuation des déchets puisse être définitivement installée.
A la cité Hamis Mahiout, la benne à ordures a été supprimée à cause du chantier mitoyen. Son remplacement par quatre poubelles collectives, déposées dans une niche, n’a pas résolu pour autant le problème, l’essentiel des rejets ménagers sont déposés par terre.
Une autre aire de dépôt d’ordures se trouve dans un endroit inattendu en face du nouveau lycée, derrière le mur d’enceinte du CEM historique Abdiche.
On se souvient que cette décharge, coincée entre ces deux pépinières du savoir, a miraculeusement disparu, quelque jours avant la visite d’un officiel, pour réapparaître, malheureusement, peu de temps après.
M. Amarouche in "la Dépèche de Kabylie"
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Voulez-vous faire part de votre avis et de vos propositions?
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Larbaâ Nath Irathen
Décharges au cœur des cités
Ce problème de salubrité publique semble être traité par les différents exécutifs au rythme de l’improvisation, parant chaque fois au plus pressé, sans qu’une véritable politique d’évacuation des déchets puisse être définitivement installée.
C’est certes un lieu commun de le dire aujourd’hui, on n’arrive pas à se débarrasser convenablement de nos ordures ménagères. Il n’y a qu’à parcourir les ensembles d’habitations élevés un peu partout autour de la vieille ville de Larbaâ pour s’en rendre compte. Les niches, les bennes et les poubelles collectives, quand il y en a, débordent le plus souvent. Le rythme d’enlèvement par les services de la voirie est en deçà du volume rejeté.
Le civisme des citoyens est aussi souvent à mettre en cause, certains jetant approximativement leurs sachets poubelles au grand bonheur des chats et chiens errants.
Conséquence : ces amas informes, hideux, d’ordures de toutes sortes qui, pareilles à des métastases d’une énorme tumeur, déversent leurs nuisances visuelles et olfactives dans l’environnement urbain.
Ce problème de salubrité publique semble être traité par les différents exécutifs au rythme de l’improvisation, parant chaque fois au plus pressé, sans qu’une véritable politique d’évacuation des déchets puisse être définitivement installée.
A la cité Hamis Mahiout, la benne à ordures a été supprimée à cause du chantier mitoyen. Son remplacement par quatre poubelles collectives, déposées dans une niche, n’a pas résolu pour autant le problème, l’essentiel des rejets ménagers sont déposés par terre.
Une autre aire de dépôt d’ordures se trouve dans un endroit inattendu en face du nouveau lycée, derrière le mur d’enceinte du CEM historique Abdiche.
On se souvient que cette décharge, coincée entre ces deux pépinières du savoir, a miraculeusement disparu, quelque jours avant la visite d’un officiel, pour réapparaître, malheureusement, peu de temps après.
M. Amarouche in "la Dépèche de Kabylie"
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