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Un cahier de revendications ne remplace pas un projet de société»

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  • Un cahier de revendications ne remplace pas un projet de société»

    «Un cahier de revendications ne remplace pas un projet de société»

    Après avoir abordé la portée et l’impact de la lutte du peuple algérien contre l’occupation française, le conférencier a rappelé les différentes activités liés à l’association précitée, dont l’entretien et la sauvegarde de la mémoire collective, via l’écriture de l’histoire. Ceci étant, M. Mostefa tout en portant son regard sur les différentes phases traversées par le peuple algérien, depuis l’indépendance à nos jours, sur les plans économique, politique, social et culturel, indiquera que «des avancés sont, certes, à enregistrer mais beaucoup reste à faire». Ce qui l’amène à aborder les questions marquant l’actualité nationale au regard de ce qui se passe dans le monde, notamment les évènements en Egypte. Même si l’orateur a mis l’indexe sur les besoins et les inquiétudes de la jeunesse algérienne quant à son avenir, M. Boudina déclare que «la colère de la jeunesse n’est pas à exploiter ni à manipuler». Avertissant dans cet même ordre d’idée contre «les risques de dérapages et d’instabilité pour le pays», tout en rappelant que «le peuple algérien a trop souffert durant la décennie rouge».

    Invitant toutes les forces politiques et organisations de la société civile du pays à « dialoguer et débattre des problèmes». Ce qui l’amène à saluer les dernières mesures prises par le chef de l’Etat, relatives à l’élaboration de lois pour la levée de l’état d’urgence ainsi que l’ouverture des médias lourds à l’ensemble des acteurs politiques agréés sans aucune exclusion.

    Si les jeunes lycéens présents à cette rencontre étaient attentifs à l’allocution deM. Mostefa, bon nombre d’entre eux prenaient notes pour l’élaboration de leurs questions. Parmi eux, un lycéen qui a porté son interrogation sur le pourquoi de la non-adoption de la loi incriminant les crimes commis par le système coloniale français… Par ailleurs, au moment où l’orateur évoquait la période du parti unique (FLN) et l’adoption par celui-ci de l’article 120 et dont M. Boudina a rappelé son opposition à cette mesure, des lycéens se sont interrogées entre eux : «C’est quoi l’article120 ?»…

    S’agissant des problèmes rencontrés par les jeunes d’aujourd’hui : chômage, manque de logements, drogue, absence d’espace culturel, M. Mostefa a rappelé les projets réalisés et ceux en cours n’omettant pas d’indiquer «la nécessité de rehausser aussi les pratiques et les comportements au sein des administrations».

    Pour celui qui a été condamné à mort et qui a révélé dans son livre Un rescapé de la guillotine que dans la prison de Fort Montluc (France) qu’il a vécu l’exécution de trois militants de la Fédération FLN de France, les martyrs, Bouguendoura Miloud, Lekhlifi Abderrhamane et Makhlouf Abdelkader, l’Algérie «est riche par sa jeunesse». Ce qui l’amène à avertir quant aux risques qui planent sur ces jeunes et de fustiger ceux qui appellent à marcher le 12 février, en leur déclarant «un cahier de revendications ne remplace pas un projet de société». K. B. nouvelle république

  • #2
    «Un cahier de revendications ne remplace pas un projet de société»
    Comme il en a fallu un pour les rues tunisienne et egyptienne! N'importe quoi!

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    • #3
      Comme il en a fallu un pour les rues tunisienne et egyptienne! N'importe quoi! beta

      regarde et ecoute cet homme mais tu ne rspecte rien
      Pour celui qui a été condamné à mort et qui a révélé dans son livre Un rescapé de la guillotine que dans la prison de Fort Montluc (France) qu’il a vécu l’exécution de trois militants de la Fédération FLN de France, les martyrs, Bouguendoura Miloud, Lekhlifi Abderrhamane et Makhlouf Abdelkader

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