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Des ultras espagnols à la rescousse d'un ramassis de séparatistes au FSM de Dakar

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  • Des ultras espagnols à la rescousse d'un ramassis de séparatistes au FSM de Dakar

    Des ultras espagnols à la rescousse d'un ramassis de séparatistes au FSM de Dakar


    Dakar, 11/02/11- Les activistes espagnols pro-polisario offrent un spectacle désolant depuis l'ouverture du 11ème Forum social mondial (FSM), dimanche à Dakar.


    Débarqués au Sénégal, certainement avec l'argent du peuple algérien qui vient de se soulever contre la misère et l'oppression, ces ultras font preuve d'une conduite quotidienne éhontée, aux antipodes de l'esprit de la Charte du FSM.
    Jeudi, ils étaient une cinquantaine à prendre part à un simulacre de manifestation en faveur de la mauvaise cause du "Polisario", dans l'enceinte de l'université Cheikh Anta Diop de Dakar.
    Une cinquantaine d'Espagnols pour une procession qui n'a rassemblé au finish que 80 personnes. C'est le ridicule!!!
    Pour prêter main forte à la minorité de séparatistes venus de Tindouf, ce sont les mêmes ibériques qui vont distribuer les tracts, encadrer la marche et porter les banderoles. Et la presse espagnole est là pour la mise en scène.
    Les images de ce montage vont passer sûrement en boucle sur les chaînes de télévision espagnoles, particulièrement aux îles Canaries, faisant croire à un raz de marée des militants du Polisario, alors qu'il n'en fut rien en réalité.
    Le citoyen espagnol lambda mérite certainement autre chose, en ces moments de vache maigre où le système financier espagnol est au bord de la faillite.
    C'est l'eurodéputé espagnol, Willy Meyer, en mal de publicité, qui joue les premiers rôles dans cette pièce de théâtre de mauvais aloi.
    Après ses premiers dérapages mardi, le sieur Meyer a été rappelé à l'ordre par les organisateurs du FSM qui lui ont conseillé de quitter les lieux et d'aller s'exprimer ailleurs, précisément au Forum des parlementaires organisé en marge de ce rassemblement des mouvements sociaux.
    Hargneux envers le Maroc, ce boutefeux député ne va pas laisser seul celui qui dirige la caisse de résonance des revendications chimériques du "Polisario" en Europe, Pierre Galand. Et les deux vont devenir les chouchous de la presse espagnole.
    Surpris à la fin de cette surenchère des séparatistes, en train de déverser sa bile sur le Maroc, le tristement célèbre tortionnaire Bachir Sghir, sera conspué par plusieurs marocains pour ses violations massives des droits de l'Homme dans les camps de Tindouf. L'une de ses milliers de victimes, Mohamed Cherif, se trouve lui aussi à Dakar.
    Confondu par une journaliste française sur ses origines algériennes, ce bourreau a esquivé la question avant d'appeler à la rescousse une milice privée, payée à grands frais par l'Algérie pour venir aux petits soins des séparatistes et de leurs soutiens espagnols.
    Le chef de file de la propagande du "polisario" au FSM n'a en effet aucune attache avec le Sahara, étant né à Tindouf, en Algérie, et n'ayant jamais mis les pieds dans les provinces du sud.
    La présence de ce tortionnaire et les gesticulations des fauteurs de troubles espagnols constituent la principale fausse note du FSM, un rassemblement de milliers d'hommes et de femmes qui luttent pour "un autre monde" respectueux des droits de l'Homme et des valeurs de paix et de tolérance.



    Quand la victime rencontre son bourreau


    Dakar, 11/02/11- Mohamed Cherif ne croyait pas ses yeux lorsqu'il rencontra, mardi à l'université Cheikh Anta Diop de Dakar, celui qui l'a sauvagement torturé durant sept longues et douloureuses années dans la prison Arrachid de sinistre mémoire, à Tindouf.


    Par Mohamed Touzani
    Son corps frêle a tremblé et il a failli s'effondrer, si ce n'est l'endurance forgée dans cette geôle lors des séances quotidiennes de torture par les impitoyables geôliers du "Polisario", sous la supervision des non moins redoutables services de renseignements algériens.
    Le comble c'est que son bourreau, le dénommé Bachir Sghir, alias Kissinger, dirige lui-même la délégation des séparatistes au 11ème Forum social mondial, un rassemblement dédié à la construction d'"un autre monde" qui respecte justement les droits de l'Homme et les valeurs de paix et de tolérance.
    Né en 1959 à Dakhla, Mohamed Cherif est entraîné dès sa tendre jeunesse dans l'aventure séparatiste, appâté par la propagande du Polisario et de leurs maîtres à penser algériens, qui n'ont jamais avalé, plus que les colonisateurs espagnols, qu'un peuple désarmé puisse récupérer le Sahara grâce à la formidable Marche verte.
    Une fois débarqué dans les camps de Tindouf, il rejoint la milice du Polisario avant d'être envoyé en Libye, en 1979, pour parfaire son instruction militaire durant trois années. De retour à Lahmada, il est promu officier.
    Patriote, il commença à exprimer des remords pour son engagement aux côtés d'une bande de mercenaires venus de différents pays.
    Le cœur est également brisé par des années d'éloignement de la famille restée à Dakhla.
    Un jour, il a osé crier haut et fort son ras-le-bol en oubliant qu'à Tindouf, il n'y a point de place aux voix discordantes et que quiconque s'aventura à dénoncer la supercherie du siècle, il le paiera cher de sa peau. Trop cher même.
    "Un soir, j'ai été embarqué dans un jeep pour un endroit inconnu", se souvient-il.
    En réalité, il a été embarqué dans le tristement célèbre bagne Arrachid où il sera emmuré près de sept pénibles années.
    Les yeux bandés, il est jeté comme un rat dans une fosse en sable.
    Sadiques, les tortionnaires du Polisario trouvaient du plaisir à écraser les mégots de cigarette sur sa peau, qui porte, 30 ans après, les séquelles de ces sévisses.
    "Au bout de chaque heure, de jour comme de nuit, en hiver comme en été, je suis réveillé par les gardiens pour dire +présent+ sinon la bastonnade", confie-t-il à la MAP.
    Comble de la barbarie. Lors d'une terrible séance de torture, la bande noire placée sur les yeux tombe et c'est à ce moment que Mohamed Cherif a reconnu son tortionnaire.
    Sorti de prison en 1988, il est affecté à l'"ambassade" de la république du sable à Alger en tant que chargé des relations extérieures du "croissant rouge sahraoui", l'incarnation même de l'arnaque et de l'escroquerie.
    Car c'est cette institution qui collecte les aides envoyées par les organisations internationales, mais au lieu de les distribuer aux personnes séquestrées à Tindouf, elle en fait profiter en premier lieu la hiérarchie du "Polisario" qui les écoule sur les marchés de Nouadhibou et de Bamako.
    Et ceux qui doutent encore de l'implication honteuse et très coûteuse du pouvoir algérien dans le conflit du Sahara peuvent demander à Mohamed Cherif qui paie les salaires des "diplomates" du Polisario, leurs frais de mission et toutes leurs autres dépenses.
    La réponse est toute simple puisque l'argent du pétrole, au lieu d'être utilisé pour la satisfaction des besoins du peuple algérien qui vient de se soulever contre la misère et les privations, il est mobilisé pour nuire à un pays frère et voisin pour un chimérique leadership au Maghreb.
    "C'est l'Algérie qui tire les ficelles et personne au Polisario n'ose faire la moindre chose sans l'autorisation et le consentement de l'Algérie", affirme-t-il.
    Profitant d'une mission en Espagne en 1991, M. Cherif prend la poudre d'escampette pour humer l'air de la liberté dans son pays, le Maroc, où l'attendaient son père, malade, et sa mère.
    Quant à son tortionnaire, et pour les services rendus à la mauvaise cause, il est promu représentant à l'ONU.
    Le comble de cette supercherie algérienne, c'est que le sieur Sghir n'a aucune relation avec l'affaire du Sahara, étant né à Tindouf, en Algérie, et n'ayant jamais mis les pieds dans les provinces du Sud.
    Confondu jeudi par une journaliste française sur ses origines algériennes, ce propagandiste en chef des séparatistes au Forum social mondial de Dakar, et après avoir esquivé la réponse, a appelé à la rescousse la milice privée payée à grands frais par l'Algérie pour être aux bons soins des séparatistes et de leurs soutiens espagnols.
    Autre insulte à la dignité des sahraouis séquestrés à Tindouf, ce geôlier sanguinaire a été nommé conseiller du président de la république du sable, chargé des droits de l'Homme. La honte !!!
    Le sieur Sghir doit en effet sa place au sein de la hiérarchie du Polisario aux liens de famille avec Khadija, l'épouse du président de la chimérique "RASD", Mohamed Abdelaziz.
    Cette femme, qui fait le bon et le mauvais temps à Tindouf, est la fille d'un député algérien, très proche du pouvoir. Tout un symbole!!!
    Quant à sa victime, elle a réussi à se forger une vie nouvelle parmi les siens, sans jamais oublier ceux qui sont encore retenus contre leur gré dans les camps de Tindouf.
    Mohamed Cherif a créé plusieurs associations, dont "Luimière et justice", qui militent pour la libération de ces personnes séquestrées et enchaîne les déplacements pour dénoncer partout dans le monde les violations de leurs droits.
    Le rêve de ce rescapé miraculeux, dont l'histoire rocambolesque aura été la principale attraction du FSM de Dakar, est de voir la fin du calvaire des milliers de familles séparées par le conflit du Sahara.


    MAP

  • #2
    Des ultras espagnols à la rescousse d'un ramassis de séparatistes au FSM de Dakar
    avec la crise en espagne ,des cheques en petrodinars sont les bienvenue ,pour ces ONG espagnoles dont les adérant sont :chomeurs ou retraités de misére
    Dernière modification par oukil salah, 11 février 2011, 15h13.

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    • #3
      Débarqués au Sénégal, certainement avec l'argent du peuple algérien

      ________________________________


      et les pro makhzenistes avec quel argent ont ils debarque labas !

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      • #4
        Si je comprends bien vous avez un problème avec les Espagnols, les Algériens, les Sahraouis, les Sénégalais, les habitants des Iles Canaries ....
        osons une hypothèse ; et si le problème c'était vous ?
        "Quand le dernier arbre aura été abattu - Quand la dernière rivière aura été empoisonnée - Quand le dernier poisson aura été péché - Alors on saura que l'argent ne se mange pas." Geronimo

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        • #5
          les espagnols sont des ultras et les sahraouis un ramassis

          que sont les sous fifres du makhzen?

          Réponse : des salopards.
          « Great minds discuss ideas; average minds, events; small minds, people. » Eleanor ROOSEVELT

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          • #6
            Surpris à la fin de cette surenchère des séparatistes, en train de déverser sa bile sur le Maroc, le tristement célèbre tortionnaire Bachir Sghir, sera conspué par plusieurs marocains pour ses violations massives des droits de l'Homme dans les camps de Tindouf. L'une de ses milliers de victimes, Mohamed Cherif, se trouve lui aussi à Dakar.
            Confondu par une journaliste française sur ses origines algériennes, ce bourreau a esquivé la question avant d'appeler à la rescousse une milice privée, payée à grands frais par l'Algérie pour venir aux petits soins des séparatistes et de leurs soutiens espagnols.
            et certains ont le culot de parler de sahraouis..............

            l'algérie a depensé plus de 200 milliards de dollars pour les polisariens....avec le resultat qu'on sait:
            -le maroc est dans son sahara,
            - le peuple algérien vit dans une misère indescriptible,
            - le pays est sur la voie de l'explosion.......

            j'espère que le peuple algérien trouvera le moyen d'éliminer la junte qui l'a mis dans cette situation peut enviable.

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            • #7
              FSM. Nervis marocains contre Sahraouis

              FSM. Nervis marocains contre Sahraouis
              Des militants du Sahara occidental pris
à partie au Forum social par des sbires du roi.

              Envoyée spéciale. Inimaginable confrontation, dans un forum dédié à l’émancipation des peuples. Depuis le début du Forum social mondial à Dakar, des nervis liés au gouvernement marocain multiplient les agressions physiques et verbales visant la cinquantaine de participants sahraouis venus témoigner de leurs luttes sociales et de leur combat pour l’indépendance. Dès dimanche, lors de la marche d’ouverture, les marcheurs sahraouis ont été violemment pris à partie et bousculés. Le lendemain, deux cents membres de la délégation marocaine, qui en compte plus de sept cents en partie grâce aux largesses des autorités de Rabat, ont empêché la tenue d’un débat consacré au thème « Sahara occidental, dernière colonie d’Afrique ». Mardi, même scénario. Des agitateurs ont tenté d’étouffer l’expression des organisations féminines sahraouies. Dans un communiqué distribué aux participants, un « conseil national des Marocains du Sénégal » fustige « les séparatistes » et s’en prend à l’eurodéputé espagnol Willy Meyer (Gauche unitaire européenne), très engagé dans la solidarité avec le peuple sahraoui. « À la différence des participants liés aux associations marocaines de défense des droits de l’homme, avec lesquels nous travaillons, ces gens n’ont rien à voir avec l’altermondialisme », se désole Bachir Moutik, de l’Association des familles de prisonniers et disparus sahraouis. Choquantes sur la forme, ces méthodes contredisent, sur le fond, la charte de Porto Alegre qui pose, parmi les principes du FSM, celui de la « souveraineté des peuples ».

              R. M.
              The truth is incontrovertible, malice may attack it, ignorance may deride it, but in the end; there it is.” Winston Churchill

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              • #8
                Des militants du Sahara occidental pris
à partie au Forum social par des sbires du roi.
                solas, je vais pleurer........ces méchants marocains doivent être sanctionnés..........

                il parait qu'il n y avait que des algériens qui se faisaient passer pour sahraouis...............


                Surpris à la fin de cette surenchère des séparatistes, en train de déverser sa bile sur le Maroc, le tristement célèbre tortionnaire Bachir Sghir, sera conspué par plusieurs marocains pour ses violations massives des droits de l'Homme dans les camps de Tindouf. L'une de ses milliers de victimes, Mohamed Cherif, se trouve lui aussi à Dakar.
                Confondu par une journaliste française sur ses origines algériennes, ce bourreau a esquivé la question avant d'appeler à la rescousse une milice privée, payée à grands frais par l'Algérie pour venir aux petits soins des séparatistes et de leurs soutiens espagnols.

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                • #9
                  vous etes pas credible les voleurs d'aide humanitaires

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