N'en déplaise… ça ne marchera pas
Par Samir Méhalla
N'en déplaise à ces médias étrangers, «voyeurs» en quête d'audience, en quête d'être vus, de vengeance sur l'histoire et de déstabilisation des peuples, avides, tels des vautours, de chair humaine et de charognes…
N'en déplaise ensuite aux guetteurs de l'intérieur qui, au moment où les uns battent les tambours pour effrayer un peuple déjà échaudé par tant de drames et de secousses pour être dupe aujourd'hui au traquenard politique, dressé comme une potence à l'adresse de nos enfants…
N'en déplaise aux faux artisans du gribouillage des lois et des
dresseurs des procès-verbaux préétablis qui souhaitent ébaucher déjà l'intention de semer ce peuple…
N'en déplaisent aux violeurs du passé, les revenants inattendus qui, aujourd'hui, osent sortir les pièces à conviction de leur crime et les slogans de leur génocide…
N'en déplaise au petit déprimé de la ville et de l'idiot du village qui par manque d'occupation et de loisir espéraient bien s'approprier le capot d'une vieille camionnette ou le toit d'un bus de l'ETUSA pour sublimer les derniers pas du dernier tube de la dernière production du studio soleil…
N'en déplaise à la petite nana de Didouche, de Hydra ou d'El-Biar
sortie pour flamber et impressionner, accent aiguisé, de quelque verlan que ce soit les quelques caméras étrangères et de se tailler une liberté à la mesure de son adolescence…
N'en déplaise aux quelques milliers d'étrangers et leurs relais présents sur notre sol à la recherche de sensations d'exotisme politique, d'intox certifiée ou de bulletin diplomatique pour alimenter les cercles et les salons restreints des capitales occidentales pour enrichir des différentes action psychologique à travers leur relais pour chambrer encore et encore notre peuple…
N'en déplaise à toutes ces coordinations possibles et impossibles, réelles ou imaginaires, qui ont pu croire l'ombre d'un instant que la place des Martyrs pouvait, ne serait-ce qu'un instant, être la place Tahrir… La révolution algérienne s'est faite et se fera sans la tutelle et le paternalisme de ce gentil monde qui a déplu et a qui le peuple n'a répondu que par : ça ne marchera pas… cette fois.
S. M.
Par Samir Méhalla
N'en déplaise à ces médias étrangers, «voyeurs» en quête d'audience, en quête d'être vus, de vengeance sur l'histoire et de déstabilisation des peuples, avides, tels des vautours, de chair humaine et de charognes…
N'en déplaise ensuite aux guetteurs de l'intérieur qui, au moment où les uns battent les tambours pour effrayer un peuple déjà échaudé par tant de drames et de secousses pour être dupe aujourd'hui au traquenard politique, dressé comme une potence à l'adresse de nos enfants…
N'en déplaise aux faux artisans du gribouillage des lois et des
dresseurs des procès-verbaux préétablis qui souhaitent ébaucher déjà l'intention de semer ce peuple…
N'en déplaisent aux violeurs du passé, les revenants inattendus qui, aujourd'hui, osent sortir les pièces à conviction de leur crime et les slogans de leur génocide…
N'en déplaise au petit déprimé de la ville et de l'idiot du village qui par manque d'occupation et de loisir espéraient bien s'approprier le capot d'une vieille camionnette ou le toit d'un bus de l'ETUSA pour sublimer les derniers pas du dernier tube de la dernière production du studio soleil…
N'en déplaise à la petite nana de Didouche, de Hydra ou d'El-Biar
sortie pour flamber et impressionner, accent aiguisé, de quelque verlan que ce soit les quelques caméras étrangères et de se tailler une liberté à la mesure de son adolescence…
N'en déplaise aux quelques milliers d'étrangers et leurs relais présents sur notre sol à la recherche de sensations d'exotisme politique, d'intox certifiée ou de bulletin diplomatique pour alimenter les cercles et les salons restreints des capitales occidentales pour enrichir des différentes action psychologique à travers leur relais pour chambrer encore et encore notre peuple…
N'en déplaise à toutes ces coordinations possibles et impossibles, réelles ou imaginaires, qui ont pu croire l'ombre d'un instant que la place des Martyrs pouvait, ne serait-ce qu'un instant, être la place Tahrir… La révolution algérienne s'est faite et se fera sans la tutelle et le paternalisme de ce gentil monde qui a déplu et a qui le peuple n'a répondu que par : ça ne marchera pas… cette fois.
S. M.
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