Après le rassemblement du 12 février
Le Parti communiste français (PCF) a exprimé dimanche "sa pleine solidarité avec l'ensemble des démocrates et progressistes qui ont manifesté" la veille en Algérie pour "exprimer leur rejet d'un système de pouvoir sclérosé, autoritaire, corrompu et violent". Dans un communiqué, le PCF "condamne les interpellations policières en grand nombre et la répression brutale dont ont été victimes les manifestants" et "demande la libération de toutes les personnes détenues".
Le PCF "réaffirme son soutien aux revendications et aux droits des citoyens d'Algérie, en particulier le droit de manifester –systématiquement bafoué par le régime d'Abdelaziz Bouteflika–, la levée immédiate de l'état d'urgence, le respect du pluralisme et des pratiques les plus élémentaires d'un État de droit" et demande à Paris "d'intervenir dans ce sens auprès du gouvernement algérien".
Le Parti communiste français (PCF) a exprimé dimanche "sa pleine solidarité avec l'ensemble des démocrates et progressistes qui ont manifesté" la veille en Algérie pour "exprimer leur rejet d'un système de pouvoir sclérosé, autoritaire, corrompu et violent". Dans un communiqué, le PCF "condamne les interpellations policières en grand nombre et la répression brutale dont ont été victimes les manifestants" et "demande la libération de toutes les personnes détenues".
Le PCF "réaffirme son soutien aux revendications et aux droits des citoyens d'Algérie, en particulier le droit de manifester –systématiquement bafoué par le régime d'Abdelaziz Bouteflika–, la levée immédiate de l'état d'urgence, le respect du pluralisme et des pratiques les plus élémentaires d'un État de droit" et demande à Paris "d'intervenir dans ce sens auprès du gouvernement algérien".
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