Mesdames, messieurs de la coordination ;
Vous en appelez au peuple pour qu’il soit l’artisan de son histoire. Cela vous honore !
Vous en appelez avec justesse à la mobilisation pacifique des citoyens en faveur du changement démocratique et de la réappropriation des institutions par le peuple. Vous avez mille fois raison !
Mais comme tout navire a besoin d’un phare pour arriver à bon port ; la dynamique de changement que vous avez engagé a besoin de clarté pour convaincre et gagner.
Au-delà de leurs divisions apparentes dans le quotidien, les forces du changement démocratique sont indissociablement liées par l’objectif qu’elles n’ont de cesse d’atteindre. Il faut l’affirmer avec force, simplicité.
Aujourd’hui, tout de suite, maintenant, il est un besoin impérieux : celui d’une proclamation des libertés. Une déclaration qui soit une base pour l’établissement d’une seconde République Algérienne. Démocratique, sociale et séculière. Une république du mérite, de la justice et de l’équité. Une république qui place la raison au-dessus de tout.
Ce n’est pas d’un pacte entre parti qu’il doit s’agir. Ni d’un consensus sur des questions politiques de l’heure, nécessairement, niveleur et réducteur. Non, c’est d’un texte fédérateur, claire, et sans équivoque, qui résume l’essence de l’engagement de générations de militants, qui traduise la quintessence des épopées de notre peuple dans son long parcourt vers de la Libération.
Un texte qui tout en étant un instrument d’étape à l’image de la plate-forme de la glorieuse Etoile Nord-Africaine, de la proclamation du 1er Novembre 1954, ou des résolutions du Congrès de la Soummam, traduise l’unité stratégique des forces républicaines et démocratiques.
La légitimité de ce texte n’est pas à rechercher dans des formalismes liés à sa rédaction ou à son adoption ; elle est dans sa capacité à garantir la cohésion et l’adhésion des forces du changement démocratique dans le sens du progrès.
Donnez-nous ce texte. C’est une urgence.
Vous en appelez au peuple pour qu’il soit l’artisan de son histoire. Cela vous honore !
Vous en appelez avec justesse à la mobilisation pacifique des citoyens en faveur du changement démocratique et de la réappropriation des institutions par le peuple. Vous avez mille fois raison !
Mais comme tout navire a besoin d’un phare pour arriver à bon port ; la dynamique de changement que vous avez engagé a besoin de clarté pour convaincre et gagner.
Au-delà de leurs divisions apparentes dans le quotidien, les forces du changement démocratique sont indissociablement liées par l’objectif qu’elles n’ont de cesse d’atteindre. Il faut l’affirmer avec force, simplicité.
Aujourd’hui, tout de suite, maintenant, il est un besoin impérieux : celui d’une proclamation des libertés. Une déclaration qui soit une base pour l’établissement d’une seconde République Algérienne. Démocratique, sociale et séculière. Une république du mérite, de la justice et de l’équité. Une république qui place la raison au-dessus de tout.
Ce n’est pas d’un pacte entre parti qu’il doit s’agir. Ni d’un consensus sur des questions politiques de l’heure, nécessairement, niveleur et réducteur. Non, c’est d’un texte fédérateur, claire, et sans équivoque, qui résume l’essence de l’engagement de générations de militants, qui traduise la quintessence des épopées de notre peuple dans son long parcourt vers de la Libération.
Un texte qui tout en étant un instrument d’étape à l’image de la plate-forme de la glorieuse Etoile Nord-Africaine, de la proclamation du 1er Novembre 1954, ou des résolutions du Congrès de la Soummam, traduise l’unité stratégique des forces républicaines et démocratiques.
La légitimité de ce texte n’est pas à rechercher dans des formalismes liés à sa rédaction ou à son adoption ; elle est dans sa capacité à garantir la cohésion et l’adhésion des forces du changement démocratique dans le sens du progrès.
Donnez-nous ce texte. C’est une urgence.
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