La sortie du chef du Rassemblement pour la culture et la démocratie (RCD), Saïd Sadi, samedi dernier, lors de la marche organisée à Alger, a étonné plus d’un. L’homme manifestait contre le régime mais était entouré de quatre agents de la sûreté nationale (garde rapprochée).
En plus de cela, Sadi a agressé des agents des forces de l’ordre*; il a frappé une policière et cogné un autre. Il a aussi tenté de déchirer les tenues de deux policiers devant tout le monde. Il se trouvait dans la foule, entouré de ses gardes du corps assignés par les autorités publiques. Le résultat*; Sadi a frappé et humilié tout le monde. Il a appelé à renverser le régime et a incité à la rébellion. Malgré tout cela, il a été bien protégé par ses gardes du corps du régime auquel il s’oppose. Contrairement au FIS dans les années quatre-vingt dix, qui a été réprimé par l’usage de la force et les gaz lacrymogènes.
Les deux partis*; le FIS et le RCD étaient dans l’opposition. Le premier s’opposait au régime de Chadli Bendjedid, le second combat le régime de Bouteflika. Mais les marches du FIS ont été réprimée par les forces de l’ordre alors que la marche de samedi dernier a été accueillie avec douceur. On a même remarqué la présence de femmes agents de sûreté.
Dans les années quatre-vingt dix, beaucoup de manifestants ont été arrêtés, plusieurs parmi eux ont été accusés de troubles à l’ordre public et jugés. Aujourd’hui, personne n’a été arrêté ni jugé bien que le chef du RCD ait appelé au renversement du régime en public. Il a dirigé en personne la marche interdite et a agressé et insulté des gens.
Quelle aurait été la réaction du régime si les résidus du FIS, ou des islamistes organisaient une marche pareille*?
*
Ennahar/ Ismaïl Fellah
En plus de cela, Sadi a agressé des agents des forces de l’ordre*; il a frappé une policière et cogné un autre. Il a aussi tenté de déchirer les tenues de deux policiers devant tout le monde. Il se trouvait dans la foule, entouré de ses gardes du corps assignés par les autorités publiques. Le résultat*; Sadi a frappé et humilié tout le monde. Il a appelé à renverser le régime et a incité à la rébellion. Malgré tout cela, il a été bien protégé par ses gardes du corps du régime auquel il s’oppose. Contrairement au FIS dans les années quatre-vingt dix, qui a été réprimé par l’usage de la force et les gaz lacrymogènes.
Les deux partis*; le FIS et le RCD étaient dans l’opposition. Le premier s’opposait au régime de Chadli Bendjedid, le second combat le régime de Bouteflika. Mais les marches du FIS ont été réprimée par les forces de l’ordre alors que la marche de samedi dernier a été accueillie avec douceur. On a même remarqué la présence de femmes agents de sûreté.
Dans les années quatre-vingt dix, beaucoup de manifestants ont été arrêtés, plusieurs parmi eux ont été accusés de troubles à l’ordre public et jugés. Aujourd’hui, personne n’a été arrêté ni jugé bien que le chef du RCD ait appelé au renversement du régime en public. Il a dirigé en personne la marche interdite et a agressé et insulté des gens.
Quelle aurait été la réaction du régime si les résidus du FIS, ou des islamistes organisaient une marche pareille*?
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Ennahar/ Ismaïl Fellah
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