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Bonjour, les travaux avancent... malgré quelques probléme de financement des pays frontaliers.
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Le ministre a précisé que ce chantier, intégré dans le schéma directeur routier et autoroutier 2005-2025 de son ministère, est pris en charge dans le temps, soit 2005-2007. Pour un meilleur entretien de ces infrastructures, il a aussi souligné que son ministère a prévu l’implantation de 7 parcs régionaux pour le matériel et 70 maisons cantonnières.
Une enveloppe de 27 milliards de dinars — c’est l’équivalent de 600 millions de dollars — est dégagée par l’Algérie pour finaliser les travaux de son tronçon de route, soit 3 000 km de la route transsaharienne, que ce soit pour l’axe principal ou ses branches. C’est Amar Ghoul, ministre des Travaux publics, qui en a fait l’annonce hier à Djenane El-Mithaq (Alger) à l’occasion de la cérémonie d’ouverture de la 45e session du Comité de liaison de la route transsaharienne (CLRT), dont les travaux s’achèveront aujourd’hui. Ont pris part à cette cérémonie d’ouverture Abdelkader Messahel, ministre délégué chargé des Affaires maghrébines et africaines, M. Ayadi, secrétaire général du CLRT et d’autres personnalités dont des ambassadeurs ainsi qu’un représentant de la Banque islamique du développement. Cette cagnotte est contenue dans les différents programmes de développement lancés par l’Algérie (programme quinquennal du président de la République, dans ceux consacrés au développement du Sud et des Hauts-Plateaux ou enfin dans celui du grand chantier de la réhabilitation et de la modernisation de 25 000 km de route). Le ministre a précisé que ce chantier, intégré dans le schéma directeur routier et autoroutier 2005-2025 de son ministère, est pris en charge dans le temps, soit 2005-2007.
Pour un meilleur entretien de ces infrastructures, Amar Ghoul a aussi souligné que son ministère a prévu l’implantation de 7 parcs régionaux pour le matériel et 70 maisons cantonnières. En mettant en exergue l’effort financier fait par l’Algérie pour concrétiser la transsaharienne que M. Messahel a qualifiée de “projet structurant”, Amar Ghoul, sachant que ce n’est pas tout le monde qui dispose des mêmes moyens financiers que l’Algérie, invite indirectement les 6 autres pays africains à mettre, eux aussi, la main à la poche. Bien qu’il ait annoncé que l’Algérie a pris en charge le coût de l’étude technique pour la réalisation d’un tronçon de 200 km au Niger, sa réalisation est lancée et Amar Ghoul a insisté pour qu’elle soit achevée avant la fin de l’année en cours. À écouter les explications et les projets de M. Ghoul, il ressort que l’Algérie table beaucoup sur cette transsaharienne pour permettre à l’Algérie une ouverture sur les pays africains.
Il a, en outre, invité les autres pays à profiter utilement des espaces comme le Congrès africain de la route et le Congrès mondial de la route pour attirer d’éventuels investisseurs. Surtout que les travaux au niveau de certains tronçons d’autres pays, à l’exemple du Mali, accusent un retard certain. Il est à souligner que le projet de la route transsaharienne, longue de 10 000 km, a été lancé il y a 40 ans.
Aussi la présente session a-t-elle pour objectif de faire le point sur tout ce qui a été réalisé dans chaque pays.
Par Arab Chih
13 Avril 2006 Liberté
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Le ministre a précisé que ce chantier, intégré dans le schéma directeur routier et autoroutier 2005-2025 de son ministère, est pris en charge dans le temps, soit 2005-2007. Pour un meilleur entretien de ces infrastructures, il a aussi souligné que son ministère a prévu l’implantation de 7 parcs régionaux pour le matériel et 70 maisons cantonnières.
Une enveloppe de 27 milliards de dinars — c’est l’équivalent de 600 millions de dollars — est dégagée par l’Algérie pour finaliser les travaux de son tronçon de route, soit 3 000 km de la route transsaharienne, que ce soit pour l’axe principal ou ses branches. C’est Amar Ghoul, ministre des Travaux publics, qui en a fait l’annonce hier à Djenane El-Mithaq (Alger) à l’occasion de la cérémonie d’ouverture de la 45e session du Comité de liaison de la route transsaharienne (CLRT), dont les travaux s’achèveront aujourd’hui. Ont pris part à cette cérémonie d’ouverture Abdelkader Messahel, ministre délégué chargé des Affaires maghrébines et africaines, M. Ayadi, secrétaire général du CLRT et d’autres personnalités dont des ambassadeurs ainsi qu’un représentant de la Banque islamique du développement. Cette cagnotte est contenue dans les différents programmes de développement lancés par l’Algérie (programme quinquennal du président de la République, dans ceux consacrés au développement du Sud et des Hauts-Plateaux ou enfin dans celui du grand chantier de la réhabilitation et de la modernisation de 25 000 km de route). Le ministre a précisé que ce chantier, intégré dans le schéma directeur routier et autoroutier 2005-2025 de son ministère, est pris en charge dans le temps, soit 2005-2007.
Pour un meilleur entretien de ces infrastructures, Amar Ghoul a aussi souligné que son ministère a prévu l’implantation de 7 parcs régionaux pour le matériel et 70 maisons cantonnières. En mettant en exergue l’effort financier fait par l’Algérie pour concrétiser la transsaharienne que M. Messahel a qualifiée de “projet structurant”, Amar Ghoul, sachant que ce n’est pas tout le monde qui dispose des mêmes moyens financiers que l’Algérie, invite indirectement les 6 autres pays africains à mettre, eux aussi, la main à la poche. Bien qu’il ait annoncé que l’Algérie a pris en charge le coût de l’étude technique pour la réalisation d’un tronçon de 200 km au Niger, sa réalisation est lancée et Amar Ghoul a insisté pour qu’elle soit achevée avant la fin de l’année en cours. À écouter les explications et les projets de M. Ghoul, il ressort que l’Algérie table beaucoup sur cette transsaharienne pour permettre à l’Algérie une ouverture sur les pays africains.
Il a, en outre, invité les autres pays à profiter utilement des espaces comme le Congrès africain de la route et le Congrès mondial de la route pour attirer d’éventuels investisseurs. Surtout que les travaux au niveau de certains tronçons d’autres pays, à l’exemple du Mali, accusent un retard certain. Il est à souligner que le projet de la route transsaharienne, longue de 10 000 km, a été lancé il y a 40 ans.
Aussi la présente session a-t-elle pour objectif de faire le point sur tout ce qui a été réalisé dans chaque pays.
Par Arab Chih
13 Avril 2006 Liberté