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Révolution sociale au Maroc: réunion de crise autour d’Abbas El Fassi

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  • Révolution sociale au Maroc: réunion de crise autour d’Abbas El Fassi

    Le Premier ministre marocain Abbas el Fassi, dont le départ est réclamé depuis plusieurs jours par les diplômés chômeurs, a rassemblé lundi 14 février les chefs des partis politiques pour discuter des prochaines élections mais aussi des révolutions sociales tunisienne et égyptienne.

    Une dizaine de leaders de formations politiques a été convoquée à cette réunion dont Hassan Benaddi, membre du parti Authenticité et Modernité (PAM), qui explique à RFI qu’aucun pays n’est à l’abri des évènements de ces dernières semaines et que le Maroc ne faisait pas exception.

    Une manifestation "pour un Maroc différent" est d’ailleurs prévue dimanche 20 février prochain dans toutes les villes du Maroc. Celle-ci est organisée à l’initiative d’un groupe Facebook qui réunit quelque 8000 personnes.

    la vie eco

  • #2
    Maroc, le gouvernement lâcherait-il du lest ?

    Maroc, le gouvernement lâcherait-il du lest ?


    Dans un contexte régional très tendu et alors que des revendications se font de plus en plus entendre dans les grandes viles du Royaume, le Maroc est-il en train de prendre la mesure des actions urgentes à mener ? Certaines demandes commencent à attirer l’attention des autorités. Au sein des partis politiques, certains appellent à plus de reformes.


    L’évolution récente de la situation des diplômés-chômeurs illustre, notamment, cet assouplissement. Ils n'ont cessé de défiler devant le parlement dans l’espoir que les autorités prêtent, un jour, attention à leurs revendications. Le dialogue a été renoué aujourd’hui.

    Jeudi 10 février, le gouvernement, à travers la commission tripartite, a signé un accord avec les diplômés-chômeurs. Un communiqué conjoint de 8 groupes de diplômés-chômeurs indique que le gouvernement devrait « annoncer une solution définitive » pour ce dossier d’ici le 1er Mars. L’accord a repoussé le délai initial de 10 février pour « une intégration global et directe » au sein de la fonction publique.

    Des partis politiques qui appellent à des reformes majeurs
    Ne voulant pas être dépassés par les événements qui secouent actuellement le monde arabe, les partis politiques nationaux, de coalition comme de l'opposition, évoquent de plus en plus l'urgence des réformes institutionnelles.
    Abdelhadi Khairat du bureau politique du parti de l'Union socialiste des forces populaires (USFP), a affirmé, vendredi, à Safi, lors d’une rencontre sur « les réformes politiques: interrogations et défis », que les réformes politiques revêtent une importance cruciale pour le parachèvement de l'édifice démocratique. Selon lui, les reformes souhaitées par le parti passent par l'ouverture d'un dialogue national de tous les acteurs de la vie politique et des forces syndicales et associatives. Ces reformes doivent permettre d’être à l'écoute de la population pour éviter les erreurs du passé.
    Au même moment, le Parti du Progrès et du Socialisme (PPS), à travers l’intervention de M. Abdessalam Seddiki, membre du bureau politique, parle d’« une nouvelle génération de réformes » pour consolider le processus démocratique du pays.

    Tous ces débats et cette réflexion devraient avoir trouvé écho dans la réunion entre le gouvernement et l’opposition parlementaire qui a eu lieu lundi 14 février, dans l’après midi, selon l'AFP. D’après Lahcen Daoudi, président du groupe parlementaire et de l'opposition islamiste Parti Justice et Développement, « l'impact des événements en Égypte sur le Maroc sera évidemment très présent ». La réunion portera sur les réformes politiques liées aux élections législatives prévues dans un an, précise le chef de file du Parti du Progrès et du Socialisme qui est membre de la coalition gouvernementale.

    L’idée de réformes et de la prise en compte du nouveau contexte politique de la région semble faire son chemin.

    Sekouba Diack Diakité
    Copyright ********.com

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    • #3
      Les diplômés chômeurs réclament la démission de Abbas El Fassi

      Le gouvernement marocain a promis d’employer plus de 4000 diplômés chômeurs, à partir du premier mars prochain, pour mettre fin aux grèves devant le Parlement à Rabat.

      Cette promesse, faite lors d’une réunion qui a rassemblé des représentants du gouvernement et des diplômés chômeurs à la Wilaya de Rabat, fait suite à l’ultimatum posé par les diplômés chômeurs selon lequel le premier ministre, Abbas El Fassi, se devait d’assurer environ 1000 emplois à des diplômés chômeurs depuis le 10 février dernier, en contrepartie de leur silence.

      Le Premier ministre avait en effet demandé le 20 janvier dernier, une trêve aux diplômés chômeurs, en les priant d’arrêter toute forme de manifestations dans les rues de Rabat. Abbas El Fassi n’ayant pas tenu sa promesse, les manifestants ont ré-envahi les grandes artères de Rabat, réclamant la démission du chef du gouvernement.

      ALM

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      • #4
        réunion de crise autour d’Abbas El Fassi

        Si le parti d Allal El Fassi TOMBE , le père de la thèse pernicieuse du GRAND -MAROC et ce meme parti signataire du 1ier protocole néo-colonialiste dans la region ....Sera un bon signe pour les relations entre le Maroc et l Algérie ( y aura plus de provoc sur la question des frontières (dixit Abbas et Yazghi ) !
        A qui sait comprendre , peu de mots suffisent

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        • #5
          houari je n y crois pas du tout a tout ce soulevement tout ca c est fomente par les sionistes je ne sais pas pourquoi qu ils font ca car les dictateurs leurs servent toujours alors pourquoi tout ce boucan !

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          • #6
            houari je n y crois pas du tout a tout ce soulevement tout ca c est fomente par les sionistes je ne sais pas pourquoi qu ils font ca car les dictateurs leurs servent toujours alors pourquoi tout ce boucan !.
            @chene
            Le boucan ça sert à rien ?
            Cette ère de communication avait joué un très grand rôle pour une prise de conscience collective .
            C est les peuple qui écriront leur histoire et mémoires , et non un clan ou la falsification dirigée par les français et les conseils des sionistes
            A qui sait comprendre , peu de mots suffisent

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            • #7
              entre 1958 et 2007 le PI n'a jamais dirigé un gouvernement ce qui n'a pas empêché l'animosité entre Maroc et Algérie depuis bien avant.
              Alors Houari que Abbas tombe ou pas ça revient au même.

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              • #8
                Alors Houari que Abbas tombe ou pas ça revient au même. …
                @ Beidawi ?
                NON ! j ai insinué le PARTI !!!!!

                Tu n avais pas encore compris , c est ces deux revolutions contre les parties néo …Tunisie , Égypte ..
                Pout ta gouverne : notre révolution a été faite , y avait PAS d internet , ni Facebook !
                A qui sait comprendre , peu de mots suffisent

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