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Que se passerait-il si Bouteflika mourrait ?

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  • Que se passerait-il si Bouteflika mourrait ?

    Je me pose la question, et je pense qu'elle mérite d'être posée vu l'état de santé du président, et au vu aussi, des évènements qui se déroulent tant au niveau national, qu'international
    Objectivement, serait-ce une bonne ou une mauvaise chose pour l'Algérie ?


    PS:La question, n'est posée, qu'aux Algériens !!!

  • #2
    khlaaate
    le premier ministre prendra sa place jusqua des elections surement mais le system restera meme si boutef part....
    myst wach bik chetiha wola wach...?

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    • #3
      C'est une mauvaise chose car il y aura la guéguérre des assoiffés du pouvoir qui va se déclencher...

      Le pays n'est pas encore stable suite à toutes les années qu'on a passé, le peuple veut la paix, il faut du temps pour soigner ses blessures....

      Quand à l'éventuel successeur , normalement la constitution prévoit le passage du pouvoir au président du Sénat ou du parlement

      constitution :

      Art. 88
      - Lorsque le Président de la République, pour cause de maladie grave et durable, se trouve dans l'impossibilité totale d'exercer ses fonctions, le Conseil Constitutionnel, se réunit de plein droit, et après avoir vérifié la réalité de cet empêchement par tous moyens appropriés, propose, à l'unanimité, au Parlement de déclarer l'état d'empêchement.
      Le Parlement siégeant en chambres réunies déclare l'état d'empêchement du Président de la République, à la majorité des deux tiers (2/3) de ses membres et charge de l'intérim du Chef de l'Etat, pour une période maximale de quarante cinq (45) jours, le Président du Conseil de la Nation, qui exerce ses prérogatives dans le respect des dispositions de l'article 90 de la Constitution.
      En cas de continuation de l'empêchement à l'expiration du délai de quarante cinq (45) jours, il est procédé à une déclaration de vacance par démission de plein droit, selon la procédure visée aux aliénas ci-dessus et selon les dispositions des alinéas suivants du présent article.
      En cas de démission ou de décès du Président de la République, le Conseil Constitutionnel se réunit de plein droit et constate la vacance définitive de la Présidence de la République.
      Il communique immédiatement l'acte de déclaration de vacance définitive au Parlement qui se réunit de plein droit.
      Le Président du Conseil de la Nation assume la charge de Chef de l'Etat pour une durée maximale de soixante (60) jours, au cours de laquelle des élections présidentielles sont organisées.
      Le Chef de l'Etat, ainsi désigné, ne peut être candidat à la Présidence de la République.
      En cas de conjonction de la démission ou du décès du Président de la République et de la vacance de la Présidence du Conseil de la Nation, pour quelque cause que ce soit, le Conseil Constitutionnel, se réunit de plein droit et constate à l'unanimité la vacance définitive de la Présidence de la République et l'empêchement du Président du Conseil de la Nation.
      Dans ce cas, le Président du Conseil Constitutionnel assume la charge de Chef de l'Etat dans les conditions fixées aux alinéas précédents du présent article et à l'article 90 de la Constitution.
      Il ne peut être candidat à la Présidence de la République.
      Dernière modification par Tamedit n-was, 15 février 2011, 14h32.

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      • #4
        On veut pas qu'il meurt, ça c'est dieu qui décide, on veut juste qu'il se barre et laisse la place a quelqu'un de plus compétant !

        Le mandat a vie doit être proscrit quelque part, comme une insulte au peuple, sauf si le peuple lui même décide de garder le même président pendant plusieurs mandat (chose que je ne pense pas faisable) !

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        • #5
          Depuis sa maladie, l'Algérie est presque sans président!
          Donc rien ne changera si Boutef mourrait.
          Le président de la constitution prendra sa place le temps d'organiser des élections.
          "If you can't say anything nice, don't say anything at all."

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          • #6
            Normalement, yaghesslouh apres ils vont déclarer el Hidad el Wattani, thouma rebama, ils vont l'exposer pour que le peuple viennent se receuillir , et après El Allia .

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            • #7
              Ana aussi , franchement je veux pas qu'il meurt .

              Et Boutef n'est pas vraiment le souci , puisque c'est le système , en gros si il meurt ça serai la même chose ...rien ne va changer , c'est des dictateurs qui vont le remplacé et ainsi de suite ...

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              • #8
                constitution :

                Art. 88
                - Lorsque le Président de la République, pour cause de maladie grave et durable, se trouve dans l'impossibilité totale d'exercer ses fonctions, le Conseil Constitutionnel, se réunit de plein droit, et après avoir vérifié la réalité de cet empêchement par tous moyens appropriés, propose, à l'unanimité, au Parlement de déclarer l'état d'empêchement.
                Le Parlement siégeant en chambres réunies déclare l'état d'empêchement du Président de la République, à la majorité des deux tiers (2/3) de ses membres et charge de l'intérim du Chef de l'Etat, pour une période maximale de quarante cinq (45) jours, le Président du Conseil de la Nation, qui exerce ses prérogatives dans le respect des dispositions de l'article 90 de la Constitution.
                En cas de continuation de l'empêchement à l'expiration du délai de quarante cinq (45) jours, il est procédé à une déclaration de vacance par démission de plein droit, selon la procédure visée aux aliénas ci-dessus et selon les dispositions des alinéas suivants du présent article.
                En cas de démission ou de décès du Président de la République, le Conseil Constitutionnel se réunit de plein droit et constate la vacance définitive de la Présidence de la République.
                Il communique immédiatement l'acte de déclaration de vacance définitive au Parlement qui se réunit de plein droit.
                Le Président du Conseil de la Nation assume la charge de Chef de l'Etat pour une durée maximale de soixante (60) jours, au cours de laquelle des élections présidentielles sont organisées.
                Le Chef de l'Etat, ainsi désigné, ne peut être candidat à la Présidence de la République.
                En cas de conjonction de la démission ou du décès du Président de la République et de la vacance de la Présidence du Conseil de la Nation, pour quelque cause que ce soit, le Conseil Constitutionnel, se réunit de plein droit et constate à l'unanimité la vacance définitive de la Présidence de la République et l'empêchement du Président du Conseil de la Nation.
                Dans ce cas, le Président du Conseil Constitutionnel assume la charge de Chef de l'Etat dans les conditions fixées aux alinéas précédents du présent article et à l'article 90 de la Constitution.
                Il ne peut être candidat à la Présidence de la République.

                Commentaire


                • #9
                  Je me pose la question, et je pense qu'elle mérite d'être posée vu l'état de santé du président, et au vu aussi, des évènements qui se déroulent tant au niveau national, qu'international
                  Objectivement, serait-ce une bonne ou une mauvaise chose pour l'Algérie ?


                  Rien de spécial, il sera juste remplacé.

                  Bonne ou mauvaise chose pour l'Algérie, seul l'avenir nous le dira.

                  Commentaire


                  • #10
                    à mon avis il a tout calculer lui et c' généraux , il sait qu'il est âgé est malade ....il va passer la main à un de ses semblables ....
                    "N'imitez rien ni personne. Un lion qui copie un lion devient un singe." Victor Hugo

                    Commentaire


                    • #11
                      Je crois que mourir au pouvoir est la meilleure chose qui puisse lui arriver en ces temps de changement et d'éveil !

                      Bouteflika doit quitter le pouvoir et pour le moment on se dirige plutôt vers une sortie par la petite porte vu l'état du pays et la contestation qui couve un peu partout à travers le territoire national.

                      Par contre, s'il meurs, les algériens iront à ses obsèques, non pas parce qu'ils l'aiment, mais c'est parce qu'on est comme ça ! Devant la mort, on laisse tous les calculs politiciens de côté pour accompagner l'homme à sa dernière demeure et le laver de ses pêchés ! Son clan ne ratera pas l'occasion d'exploiter un tel évènement pour se donner une vitrine de légitimité aux yeux du monde et de ce fait pourra encore rester aux affaires !

                      Voilà, donc je ne souhaite pas qu'il meurs au pouvoir pour ces raisons.
                      Jeûner c'est bien. Manger c'est mieux.

                      Commentaire


                      • #12
                        sbah el khir

                        serait-ce une bonne ou une mauvaise chose pour l'Algérie ?
                        pour l'Algerie, tant que ca ne sera pas un pire... ca sera la meme chose, c est qui qui sera le remplaçant potentiel ?
                        sinon je lui souhaite un bon rétablissement, il a besoin de repos.

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                        • #13
                          Que dit la loi ?

                          juste pour répondre à cette question : en cas de décès du président ou de maladie ? Que dit la loi ?

                          Art. 88 - Lorsque le Président de la République, pour cause de maladie grave et durable, se trouve dans l’impossibilité totale d’exercer ses fonctions, le Conseil Constitutionnel, se réunit de plein droit, et après avoir vérifié la réalité de cet empêchement par tous moyens appropriés, propose, à l’unanimité, au Parlement de déclarer l’état d’empêchement.

                          Le Parlement siégeant en chambres réunies déclare l’état d’empêchement du Président de la République, à la majorité des deux tiers (2/3) de ses membres et charge de l’intérim du Chef de l’Etat, pour une période maximale de quarante cinq (45) jours, le Président du Conseil de la Nation, qui exerce ses prérogatives dans le respect des dispositions de l’article 90 de la Constitution.

                          En cas de continuation de l’empêchement à l’expiration du délai de quarante cinq (45) jours, il est procédé à une déclaration de vacance par démission de plein droit, selon la procédure visée aux alinéas ci-dessus et selon les dispositions des alinéas suivants du présent article.

                          En cas de démission ou de décès du Président de la République, le Conseil Constitutionnel se réunit de plein droit et constate la vacance définitive de la Présidence de la République.

                          Il communique immédiatement l’acte de déclaration de vacance définitive au Parlement qui se réunit de plein droit.

                          Le Président du Conseil de la Nation assume la charge de Chef de l’Etat pour une durée maximale de soixante (60) jours, au cours de laquelle des élections présidentielles sont organisées.

                          Le Chef de l’Etat, ainsi désigné, ne peut être candidat à la Présidence de la République.

                          En cas de conjonction de la démission ou du décès du Président de la République et de la vacance de la Présidence du Conseil de la Nation, pour quelque cause que ce soit, le Conseil Constitutionnel, se réunit de plein droit et constate à l’unanimité la vacance définitive de la Présidence de la République et l’empêchement du Président du Conseil de la Nation. Dans ce cas, le Président du Conseil Constitutionnel assume la charge de Chef de l’Etat dans les conditions fixées aux alinéas précédents du présent article et à l’article 90 de la Constitution. Il ne peut être candidat à la Présidence de la République.

                          Art. 89 - .............

                          Art. 90 - Le Gouvernement, en fonction au moment de l’empêchement, du décès ou de la démission du Président de la République, ne peut être démis ou remanié jusqu’à l’entrée en fonction du nouveau Président de la République.

                          Dans le cas où le Chef du Gouvernement en fonction, est candidat à la Présidence de la République, il démissionne de plein droit. La fonction de Chef du Gouvernement est assumée par un autre membre du Gouvernement désigné par le Chef de l’Etat.

                          Pendant les périodes des quarante cinq (45) jours et des soixante (60) jours prévus aux articles 88 et 89, il ne peut être fait application des dispositions prévues aux alinéas 7 et 8 de l’article 77 et aux articles 79, 124, 129, 136, 137, 174, 176 et 177 de la Constitution.

                          Pendant ces mêmes périodes, les dispositions des articles 91, 93, 94, 95 et 97 de la Constitution ne peuvent être mis en œuvre qu’avec l’approbation du Parlement siégeant en chambres réunies, le Conseil Constitutionnel et le Haut Conseil de Sécurité préalablement consultés.

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                          • #14
                            on serais débarrassée d'un dictateur !!!
                            et j'espère que celui qui le remplacerait n'en serais pas un .
                            "sauvons la liberté , la liberté sauve le reste"

                            Commentaire


                            • #15
                              Que se passerait-il si Bouteflika mourrait ?
                              laissons sa mort entre les mains d'ALLAH.......

                              Pour le reste, nul ne le sait........on ne peut que spéculer!

                              On sait ce que l'on perd,mais pas ce que l'on retrouve...........

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