Ensemble le vendredi 18 février pour une Algérie Libre
Pas de Said Saadi ni de Ali belhadj,seulement le peuple.
Alger :
de la place du 1er Mai vers la place des martyrs, à partir de 14h
Annaba :
14h Cour de la révolution (en face théâtre), à partir de 14h
Béjaia :
14H esplanade de la maison de culture BEJAIA, à partir de 14h
Constantine :
Devant la Grande Poste, à partir de 14h
Oran :
Place d'armes-Place 1 NOVEMBRE, à partir de 14h
Pour les autres Wilaya à vous de voir où vous voulez faire la marche, il faut choisir le centre ville.
NOS REVENDICATIONS EN HUIT POINTS :
1- Redéfinir une nouvelle vision stratégique afin de mette en place une économie hors hydrocarbures compétitive dans le cadre des valeurs internationales si l’on veut créer des emplois durables et atténuer les tensions sociales inévitables. Pour cela un débat national sans exclusive sur le bilan de tous les programmes économiques 2000/2010 afin de déterminer la trajectoire future 2011/2020 de l’Algérie et poser la problématique de la démocratisation de la gestion des hydrocarbures et de l’utilisation des réserves de change.
2- La dissolution des deux chambres du fait que ces députés et sénateurs et bien d’autres organisations satellites vivant du transfert de la rente des hydrocarbures incapables de mobiliser la société, les partis FLN/RND/MSP /PT ayant eu moins de 30% de voix lors des dernières élections par rapport aux nombre d’inscrits. Il s’agit d’agréer de nouveaux partis et associations en évitant d’en faire des structures du pouvoir instrumentalisées lors des élections. Dans ce cadre, revoir les subventions aux Partis et associations qui doivent compter sur leurs adhérents, ainsi que la rémunération des députés/sénateurs disproportionnée par rapport à leur rendement.
3- Le Parti du FLN ne doit plus instrumentaliser le sigle FLN, propriété du peuple algérien de la glorieuse guerre de libération nationale, le restituer à l’Histoire, et trouver une autre dénomination pour une concurrence loyale par rapport aux autres partis. En démocratie, le pouvoir est le pouvoir et l’opposition est l’opposition productive nécessaire au pouvoir lui-même pour corriger ses erreurs et éventuellement préparer l’alternance.
4- Un changement presque intégral du gouvernement par un regroupement de Ministères privilégiant l’efficacité au lieu de la distribution de postes qui se télescopent, composé de techniciens et de la composante de la jeunesse qui prépareront cette transition démocratique pacifique jusqu’à l’échéance présidentielle pour des élections libres, transparentes et démocratiques. Afin d’éviter le fonctionnariat, source d‘inertie et de relations de clientèles y les walis, les grandes entreprises publiques/banques et des postes clefs de l’administration (douane, fiscalité notamment), limiter la durée à cinq années maximum d’exercice.
5- Favoriser le fonctionnement des institutions prévues dans la Loi, tout en procédant à leur amélioration fonction des réformes, non en termes de promesses mais en actes, comme le conseil national de l’Energie, la Cour des comptes, le conseil de la concurrence, car source du développement global parallèlement aux contrepouvoirs économiques, sociaux et politiques en évitant comme par le passé leur gel, le choix dictatorial personnel, étant totalement dépassé et source de dérives nuisibles à l’avenir du pays.
6- Les pratiques sociales contredisant les lois en vigueur, établir, mettre en place des mécanismes de régulation clairs tant politiques, économiques que sociaux, en impliquant la société civile par la promotion de la femme signe la vitalité de toute société, une réelle décentralisation , afin de moraliser tant les institutions que les personnes chargés de gérer la Cité, afin de lutter contre la corruption qui gangrène le corps social et démobilise la population privilégiant la connaissance et le mérite dans la promotion et non les rentes.
7- Revoir la constitution associant l’ensemble des forces politiques, sociales, économiques et des experts en limitant le nombre de mandats présidentiels. Toute révision fondamentale de la constitution devra passer par un référendum et non plus par les deux chambres.
8- Lever l’Etat d’urgence qui n’a pu raison d’être grâce aux efforts méritoires de l’ANP, des services de sécurité et de la mobilisation de la population algérienne, libérer les canaux d’information notamment l’ENTV, en autorisant des chaines de télévision indépendantes et les manifestations pacifiques, car vouloir étouffer comme une cocotte minute la société qui a besoin de respirer, l’explosion violente à terme pourrait être inévitable.
Pas de Said Saadi ni de Ali belhadj,seulement le peuple.
Alger :
de la place du 1er Mai vers la place des martyrs, à partir de 14h
Annaba :
14h Cour de la révolution (en face théâtre), à partir de 14h
Béjaia :
14H esplanade de la maison de culture BEJAIA, à partir de 14h
Constantine :
Devant la Grande Poste, à partir de 14h
Oran :
Place d'armes-Place 1 NOVEMBRE, à partir de 14h
Pour les autres Wilaya à vous de voir où vous voulez faire la marche, il faut choisir le centre ville.
NOS REVENDICATIONS EN HUIT POINTS :
1- Redéfinir une nouvelle vision stratégique afin de mette en place une économie hors hydrocarbures compétitive dans le cadre des valeurs internationales si l’on veut créer des emplois durables et atténuer les tensions sociales inévitables. Pour cela un débat national sans exclusive sur le bilan de tous les programmes économiques 2000/2010 afin de déterminer la trajectoire future 2011/2020 de l’Algérie et poser la problématique de la démocratisation de la gestion des hydrocarbures et de l’utilisation des réserves de change.
2- La dissolution des deux chambres du fait que ces députés et sénateurs et bien d’autres organisations satellites vivant du transfert de la rente des hydrocarbures incapables de mobiliser la société, les partis FLN/RND/MSP /PT ayant eu moins de 30% de voix lors des dernières élections par rapport aux nombre d’inscrits. Il s’agit d’agréer de nouveaux partis et associations en évitant d’en faire des structures du pouvoir instrumentalisées lors des élections. Dans ce cadre, revoir les subventions aux Partis et associations qui doivent compter sur leurs adhérents, ainsi que la rémunération des députés/sénateurs disproportionnée par rapport à leur rendement.
3- Le Parti du FLN ne doit plus instrumentaliser le sigle FLN, propriété du peuple algérien de la glorieuse guerre de libération nationale, le restituer à l’Histoire, et trouver une autre dénomination pour une concurrence loyale par rapport aux autres partis. En démocratie, le pouvoir est le pouvoir et l’opposition est l’opposition productive nécessaire au pouvoir lui-même pour corriger ses erreurs et éventuellement préparer l’alternance.
4- Un changement presque intégral du gouvernement par un regroupement de Ministères privilégiant l’efficacité au lieu de la distribution de postes qui se télescopent, composé de techniciens et de la composante de la jeunesse qui prépareront cette transition démocratique pacifique jusqu’à l’échéance présidentielle pour des élections libres, transparentes et démocratiques. Afin d’éviter le fonctionnariat, source d‘inertie et de relations de clientèles y les walis, les grandes entreprises publiques/banques et des postes clefs de l’administration (douane, fiscalité notamment), limiter la durée à cinq années maximum d’exercice.
5- Favoriser le fonctionnement des institutions prévues dans la Loi, tout en procédant à leur amélioration fonction des réformes, non en termes de promesses mais en actes, comme le conseil national de l’Energie, la Cour des comptes, le conseil de la concurrence, car source du développement global parallèlement aux contrepouvoirs économiques, sociaux et politiques en évitant comme par le passé leur gel, le choix dictatorial personnel, étant totalement dépassé et source de dérives nuisibles à l’avenir du pays.
6- Les pratiques sociales contredisant les lois en vigueur, établir, mettre en place des mécanismes de régulation clairs tant politiques, économiques que sociaux, en impliquant la société civile par la promotion de la femme signe la vitalité de toute société, une réelle décentralisation , afin de moraliser tant les institutions que les personnes chargés de gérer la Cité, afin de lutter contre la corruption qui gangrène le corps social et démobilise la population privilégiant la connaissance et le mérite dans la promotion et non les rentes.
7- Revoir la constitution associant l’ensemble des forces politiques, sociales, économiques et des experts en limitant le nombre de mandats présidentiels. Toute révision fondamentale de la constitution devra passer par un référendum et non plus par les deux chambres.
8- Lever l’Etat d’urgence qui n’a pu raison d’être grâce aux efforts méritoires de l’ANP, des services de sécurité et de la mobilisation de la population algérienne, libérer les canaux d’information notamment l’ENTV, en autorisant des chaines de télévision indépendantes et les manifestations pacifiques, car vouloir étouffer comme une cocotte minute la société qui a besoin de respirer, l’explosion violente à terme pourrait être inévitable.
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