LePost
Un chat a été traîné devant les tribunaux milanais par son maître, qui l'accuse de l'empêcher d'accomplir son devoir conjugal !
Et le devoir conjugal, en Italie, ça ne rigole pas !
Encore faut-il que le chat de la maison ne vienne pas créer le trouble en se plaçant ostensiblement sur la couette !
"C’est la faute de ce maudit chat qui nous épie et me coupe l’inspiration", se plaint le pauvre homme, rapporte Le Matin
Sa femme, elle, est d'un autre avis, et, défendant son matou préféré, parle plutôt de défaillance à répétition de son mari. "La vérité, c’est qu’il n’a plus envie!" l'accuse-t-elle !
Cette scène des plus truculentes s’est jouée devant le Tribunal de l’Aidaa, l’association italienne des droits des animaux et de l’environnement.
Monsieur accuse le pauvre chat de voyeurisme et d'être à l'origine des ses défaillances.
Il parle même de conspiration édifiée par sa femme et le matou pour le faire douter de ses capacités physiques.
"Chassez ce voyeur de notre couche conjugale pour que je puisse accomplir mon devoir", a imploré l’époux.
Finalement le tribunal a condamné le chat à ne plus partager le lit conjugal pendant trois mois, le temps que monsieur prouve à madame que tout fonctionne bien !
Mais attention, en cas de panne prolongée, monsieur devra ceder la place dans le lit au matou !
Un chat a été traîné devant les tribunaux milanais par son maître, qui l'accuse de l'empêcher d'accomplir son devoir conjugal !
Et le devoir conjugal, en Italie, ça ne rigole pas !
Encore faut-il que le chat de la maison ne vienne pas créer le trouble en se plaçant ostensiblement sur la couette !
"C’est la faute de ce maudit chat qui nous épie et me coupe l’inspiration", se plaint le pauvre homme, rapporte Le Matin
Sa femme, elle, est d'un autre avis, et, défendant son matou préféré, parle plutôt de défaillance à répétition de son mari. "La vérité, c’est qu’il n’a plus envie!" l'accuse-t-elle !
Cette scène des plus truculentes s’est jouée devant le Tribunal de l’Aidaa, l’association italienne des droits des animaux et de l’environnement.
Monsieur accuse le pauvre chat de voyeurisme et d'être à l'origine des ses défaillances.
Il parle même de conspiration édifiée par sa femme et le matou pour le faire douter de ses capacités physiques.
"Chassez ce voyeur de notre couche conjugale pour que je puisse accomplir mon devoir", a imploré l’époux.
Finalement le tribunal a condamné le chat à ne plus partager le lit conjugal pendant trois mois, le temps que monsieur prouve à madame que tout fonctionne bien !
Mais attention, en cas de panne prolongée, monsieur devra ceder la place dans le lit au matou !
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