Djamel Ferdjellah est un ex-vice président du RCD.
Fidèle à ses pratiques caractérisées par la manipulation, la désinformation et l’esbroufe médiatique, le RCD vient de verser une fois de plus dans l’ignominie en déclarant, toute honte bue, sur son site internet que j’aurais arraché une affiche de la coordination nationale pour le changement et la démocratie (CNCD) appelant à la marche du 12 février.
Fadaises que tout cela comme dirait un célèbre dirigeant du tiers monde. Cette sortie pitoyable n’a d’égal que le désarroi dans lequel baigne cette formation politique, à l’évidence en mal d’imagination.
Dans une tentative digne de la propagande Brejnévienne, ce parti qui considère que je suis, à l’instar de mes camarades, à l’origine de ses déboires organiques, notamment dans la vallée de la Soummam, espère par cette fourberie, se venger en essayant de retourner contre moi l’opinion publique acquise à l’idéal de changement démocratique.
Le RCD qui à perdu l’essentiel de ses cadres dirigeants et sa substance militante ne peut plus leurrer grand monde. N’a-t-il pas érodé son crédit et sa capacité de mobilisation, en échange de ses compromissions récurrentes avec le régime : participation au gouvernement, lettre de Saïd Sadi « à ses amis de la presse », justification de l’état d’urgence qu’il pourfend tardivement, participation aux mascarades présidentielles, sans compter le maintien de son chef à la tête du parti égalant le triste record de longévité des Mugabe, Moubarak, Ben Ali .…
Il est par ailleurs de notoriété publique que le RCD algérien et le RCD tunisien ont toujours entretenu des relations privilégiées qui dépassent la simple complicité sémantique.
Aujourd’hui qu’il est rattrapé par l’Histoire , Sadi n’à pas hésité à se déjuger pour coller à l’air du temps en dénonçant l’état d’urgence, le régime de Ben Ali , en appelant à la dissolution des assemblées élues tout en continuant à y siéger etc…
Lors d’une déclaration accordée à un quotidien arabophone qui me demandait ma réaction au sujet de l’appel du RCD à la marche du 22 Janvier, j’avais répondu textuellement que ce parti avait le droit de marcher et que son initiative ne devait faire l’objet d’un quelconque empêchement par le pouvoir. Cependant j’avais considéré que s’agissant d’un appel partisan, la portée de cette initiative me semblait limitée, eu égard à des enjeux qui relevaient du domaine civique impliquant l’immense majorité de la société algérienne. Il n’en fallait pas plus pour déclencher les foudres de ce parti aux abois, qui n’à pas manqué de provoquer un véritable lynchage médiatique via Internet, m’accusant d’être à la solde de Belkhadem et du FLN.
Aujourd’hui encore il récidive en essayant de me mettre à dos la CNCD.
Grandeur et décadence d’un parti réduit à mentir afin de livrer à la vindicte des militants qui ont fait sa gloire, après les avoirs exclus dans des procès dignes des nuits de Moscou de triste mémoire.
Il y a légitimement de quoi avoir froid dans le dos, que de penser un instant que son leader puisse un jour arriver au pouvoir.
Plus misérable encore est cette propension du RCD à tirer la couverture à soi, en essayant de récupérer les sacrifices des jeunes et parasiter ce formidable élan citoyen porteur d’un véritable changement. Des partis et associations à fort ancrage populaire et à la crédibilité avérée, n’ont t’ils pas claqué la porte de la CNCD, à cause justement des tentations hégémoniques de ce parti.
N’en déplaise à mes détracteurs, le député Djamel Ferdjallah fait partie des initiateurs de la proposition de loi exigeant la levée de l’état d’urgence que les députés du RCD n’ont pas signée.
Djamel Ferdjallah est également un des membres fondateurs, signataire du manifeste pour les droits et libertés qui à souscrit à la marche du 12 Février.
A cet effet, que ces calomnieux détracteurs souffrent de ma présence à la marche du 12 février, non pas pour parasiter, mais pour apporter ma modeste contribution à cet élan citoyen.
J’en profite pour joindre mon appel personnel à toutes les Algériennes et Algériens les invitant à y participer massivement afin de concrétiser les objectifs arrêtés par la coordination.
Quant aux élucubrations m’accusant de connivences avec le régime ou de vouloir rejoindre le FLN qui m’aurait refusé, que mes adversaires sachent que les arcanes du pouvoir me sont complètement étrangers, contrairement à leur zaim, qui à en croire les révélations de Wikilileaks, se gaussait de ses fréquentations avec « l’homme le plus informé du pays ».
S’agissant du prétendu refus du FLN de m’enrôler, je ne crois pas qu’il puisse exister un parti au monde qui se priverait de renforcer ses rangs par l’apport d’un nouveau député. Décidément au RCD, le ridicule ne tue pas.
Par ailleurs l’opinion publique sait que le député que je suis, continue de vivre simplement et en totale symbiose avec ses concitoyens dans sa ville à Bejaia.
Djamel Ferdjallah n’habite pas au milieu de la nomenklatura et ne roule pas en voiture blindée escortée par des hommes de la DGSN au son et à la lumière des gyrophares, car tout le monde sait que ces privilèges ne sont réservés qu’aux fideles collaborateurs du régime.
Par ailleurs les simagrées lancées contre le pouvoir à partir d’un balcon du siège du parti ne trompent personne. Ils peuvent faire illusion un moment, eu égard à l’émotion générale suscitée par les derniers événements, mais en aucun cas ils ne peuvent leurrer d’avantage.
L’avenir prouvera que ces gesticulations étaient destinées non seulement à la consommation des médias étrangers, mais surtout à jouer la partition dont ce parti s’est fait la vocation, à savoir relayer un clan du pouvoir dans une démarche de rééquilibrage et de repêchage du système.
Fidèle à ses pratiques caractérisées par la manipulation, la désinformation et l’esbroufe médiatique, le RCD vient de verser une fois de plus dans l’ignominie en déclarant, toute honte bue, sur son site internet que j’aurais arraché une affiche de la coordination nationale pour le changement et la démocratie (CNCD) appelant à la marche du 12 février.
Fadaises que tout cela comme dirait un célèbre dirigeant du tiers monde. Cette sortie pitoyable n’a d’égal que le désarroi dans lequel baigne cette formation politique, à l’évidence en mal d’imagination.
Dans une tentative digne de la propagande Brejnévienne, ce parti qui considère que je suis, à l’instar de mes camarades, à l’origine de ses déboires organiques, notamment dans la vallée de la Soummam, espère par cette fourberie, se venger en essayant de retourner contre moi l’opinion publique acquise à l’idéal de changement démocratique.
Le RCD qui à perdu l’essentiel de ses cadres dirigeants et sa substance militante ne peut plus leurrer grand monde. N’a-t-il pas érodé son crédit et sa capacité de mobilisation, en échange de ses compromissions récurrentes avec le régime : participation au gouvernement, lettre de Saïd Sadi « à ses amis de la presse », justification de l’état d’urgence qu’il pourfend tardivement, participation aux mascarades présidentielles, sans compter le maintien de son chef à la tête du parti égalant le triste record de longévité des Mugabe, Moubarak, Ben Ali .…
Il est par ailleurs de notoriété publique que le RCD algérien et le RCD tunisien ont toujours entretenu des relations privilégiées qui dépassent la simple complicité sémantique.
Aujourd’hui qu’il est rattrapé par l’Histoire , Sadi n’à pas hésité à se déjuger pour coller à l’air du temps en dénonçant l’état d’urgence, le régime de Ben Ali , en appelant à la dissolution des assemblées élues tout en continuant à y siéger etc…
Lors d’une déclaration accordée à un quotidien arabophone qui me demandait ma réaction au sujet de l’appel du RCD à la marche du 22 Janvier, j’avais répondu textuellement que ce parti avait le droit de marcher et que son initiative ne devait faire l’objet d’un quelconque empêchement par le pouvoir. Cependant j’avais considéré que s’agissant d’un appel partisan, la portée de cette initiative me semblait limitée, eu égard à des enjeux qui relevaient du domaine civique impliquant l’immense majorité de la société algérienne. Il n’en fallait pas plus pour déclencher les foudres de ce parti aux abois, qui n’à pas manqué de provoquer un véritable lynchage médiatique via Internet, m’accusant d’être à la solde de Belkhadem et du FLN.
Aujourd’hui encore il récidive en essayant de me mettre à dos la CNCD.
Grandeur et décadence d’un parti réduit à mentir afin de livrer à la vindicte des militants qui ont fait sa gloire, après les avoirs exclus dans des procès dignes des nuits de Moscou de triste mémoire.
Il y a légitimement de quoi avoir froid dans le dos, que de penser un instant que son leader puisse un jour arriver au pouvoir.
Plus misérable encore est cette propension du RCD à tirer la couverture à soi, en essayant de récupérer les sacrifices des jeunes et parasiter ce formidable élan citoyen porteur d’un véritable changement. Des partis et associations à fort ancrage populaire et à la crédibilité avérée, n’ont t’ils pas claqué la porte de la CNCD, à cause justement des tentations hégémoniques de ce parti.
N’en déplaise à mes détracteurs, le député Djamel Ferdjallah fait partie des initiateurs de la proposition de loi exigeant la levée de l’état d’urgence que les députés du RCD n’ont pas signée.
Djamel Ferdjallah est également un des membres fondateurs, signataire du manifeste pour les droits et libertés qui à souscrit à la marche du 12 Février.
A cet effet, que ces calomnieux détracteurs souffrent de ma présence à la marche du 12 février, non pas pour parasiter, mais pour apporter ma modeste contribution à cet élan citoyen.
J’en profite pour joindre mon appel personnel à toutes les Algériennes et Algériens les invitant à y participer massivement afin de concrétiser les objectifs arrêtés par la coordination.
Quant aux élucubrations m’accusant de connivences avec le régime ou de vouloir rejoindre le FLN qui m’aurait refusé, que mes adversaires sachent que les arcanes du pouvoir me sont complètement étrangers, contrairement à leur zaim, qui à en croire les révélations de Wikilileaks, se gaussait de ses fréquentations avec « l’homme le plus informé du pays ».
S’agissant du prétendu refus du FLN de m’enrôler, je ne crois pas qu’il puisse exister un parti au monde qui se priverait de renforcer ses rangs par l’apport d’un nouveau député. Décidément au RCD, le ridicule ne tue pas.
Par ailleurs l’opinion publique sait que le député que je suis, continue de vivre simplement et en totale symbiose avec ses concitoyens dans sa ville à Bejaia.
Djamel Ferdjallah n’habite pas au milieu de la nomenklatura et ne roule pas en voiture blindée escortée par des hommes de la DGSN au son et à la lumière des gyrophares, car tout le monde sait que ces privilèges ne sont réservés qu’aux fideles collaborateurs du régime.
Par ailleurs les simagrées lancées contre le pouvoir à partir d’un balcon du siège du parti ne trompent personne. Ils peuvent faire illusion un moment, eu égard à l’émotion générale suscitée par les derniers événements, mais en aucun cas ils ne peuvent leurrer d’avantage.
L’avenir prouvera que ces gesticulations étaient destinées non seulement à la consommation des médias étrangers, mais surtout à jouer la partition dont ce parti s’est fait la vocation, à savoir relayer un clan du pouvoir dans une démarche de rééquilibrage et de repêchage du système.
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