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Elle simule sa propre agression après avoir regardé... Navarro

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  • Elle simule sa propre agression après avoir regardé... Navarro

    L'indécence n'a pas de limite. Tel pourrait être le résumé simple et concis de cette terrible et pathétique affaire révélée par le quotidien La Depeche.

    Une histoire qui s'est déroulée dans la ville de Albi, le samedi 12 février, qui a été révélée ces dernières heures.

    En effet, alors qu'il rentrait à son domcile ce fameux samedi soir, un Albigeois, à eu la terrible surprise de retrouver son épouse âgée de 52 ans, allongée à plat ventre sur le lit conjugal, la culotte baissée jusqu'aux chevilles, un couteau à ses côtés, ainsi qu'une bouteille d'alcool, et une marque rouge importante dans le cou.

    Par ailleurs, aux côtés de la femme inanimée, git sur le sol un papier sur lequel sont inscrit les mots "Je l'ai tuée".

    Ni une, ni deux, le mari secoue son épouse pour la réanimer, ce qu'il réussi à faire. Celle-ci lui déclare alors, qu'elle a reçu un coup à l'arrière du crane, tandis que son compagnon donne l'alerte.

    Les policiers interviennent immédiatement, et mettent en place un plan "scène de crime" afin de pouvoir retrouver des indices sur ce mystérieux agresseur.

    Alors qu'il témoigne aux policiers de ce qu'il s'est passé, le mari de la victime, confit qu'il a des doutes sur le propre fils de la famille, son épouse entretenant des relations plus que difficiles avec ce dernier.Un fils de 28 ans ayant selon les propres termes du père, un penchant pour l'alcool, n'ayant pas d'emploi, et ayant déjà commis quelques délits.

    Un mari qui en réalité est le beau père du jeune homme, et qui ira même confier que son "fils" a enterré un fusil dans le jardin de la propriété, une arme que les policiers retrouveront assez aisément à l'endroit indiqué.

    Les recherches s'organisent alors pour retrouver ce fils agresseur. Des recherches courtes car le jeune Homme sera rapidement interpellé par la BAC, niant les faits qui lui sont reprochés.
    Et pour cause, l'accusé a passé la soirée avec ses amis, s'est servi de son mobile (l'antenne relais le prouvant) et a bien avoué avoir caché le fusil dans le jardin, mais pour que sa mère dépressive (selon lui) ne s'en serve pas. Une dernière information qui était connu par son beau père toujours selon le jeune homme.

    Alors qui croire dans cette affaire?

    Après quelques heures d'interrogatoire, les preuves sont là, le fils de famille est innocent et libéré. Les enquêteurs commencent même à avoir quelques doutes sur la dîtes agression. Et la suite va leur donner raison.

    En effet, la marque rouge présente dans le cou de la victime est en réalité une inflammation dermathologique, et le test de viol effectué s'est avéré négatif. Pire, l'étude graphologique de la lettre trouvée près de la victime, démontre que c'est la victime elle même qui a écrit les lignes.

    Les évidences sont là, la mère de famille, a bien inventée toute cette histoire, une idée qui lui serait venue après avoir regardé un épisode de Navarro selon elle. Une mise en scène qui avait pour but de faire réagir son fils, selon elle. Une femme qui s'est dite fatigué de voir la léthargie de son fils au quotidien et de se faire spolier par ce dernier.

    Une affaire qui malgré tout ce termine bien pénalement pour la mère indélicate, puisque la police a décidé de ne pas la poursuivre pour "délit imaginaire" et s'est contentée d'un rappel à la loi.
    L’auteur


    Sources : La Dépêche
    « Ça m'est égal d'être laide ou belle. Il faut seulement que je plaise aux gens qui m'intéressent. »
    Boris Vian
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