L'économie turque a progressé de 8% en termes réels l'année dernière et les finances publiques du pays sont saines, a déclaré le ministre des Finances Mehmet Simsek.
"Comme les fondamentaux de l'économie turque sont solides, on a observé une forte reprise en 2010 (...). Il semble que l'économie turque ait progressé de plus de 8%", a-t-il déclaré lors d'une presse à Abu Dhabi.
Le gouvernement avait émis une prévision de croissance de 6,8% pour 2010, après une contraction de 4,7% en 2009.
Les chiffres officiels doivent être publiés le 31 mars.
Le ministre a estimé que le rythme de croissance devrait ralentir en 2011 et s'établir à environ 5%, notamment en raison de la hausse des cours du pétrole.
Le ministre a également affirmé que les finances turques étaient saines.
"Le ratio dette/PIB est au moins de moitié inférieur à celui des pays européens. Il est bien en-dessous des 30% actuellement."
Le ministre de l'Economie turc Ali Babacan avait déclaré en décembre que le ratio dette/PIB en 2010 s'établirait à 41,4%, soit en-dessous des estimations.
Mehmet Simsek a enfin estimé que les notes attribuées par les agences de notation à la Turquie étaient sous-estimées.
Reuters
"Comme les fondamentaux de l'économie turque sont solides, on a observé une forte reprise en 2010 (...). Il semble que l'économie turque ait progressé de plus de 8%", a-t-il déclaré lors d'une presse à Abu Dhabi.
Le gouvernement avait émis une prévision de croissance de 6,8% pour 2010, après une contraction de 4,7% en 2009.
Les chiffres officiels doivent être publiés le 31 mars.
Le ministre a estimé que le rythme de croissance devrait ralentir en 2011 et s'établir à environ 5%, notamment en raison de la hausse des cours du pétrole.
Le ministre a également affirmé que les finances turques étaient saines.
"Le ratio dette/PIB est au moins de moitié inférieur à celui des pays européens. Il est bien en-dessous des 30% actuellement."
Le ministre de l'Economie turc Ali Babacan avait déclaré en décembre que le ratio dette/PIB en 2010 s'établirait à 41,4%, soit en-dessous des estimations.
Mehmet Simsek a enfin estimé que les notes attribuées par les agences de notation à la Turquie étaient sous-estimées.
Reuters