Pensées à voix hautes
Dans un monde de paroles à pensées basses « et bêtes »
Allons les enfants de la révolte, enfile ton kamis ton jogging ou ta salopette. Les temps modernes se numérisent mais vois-tu ; chez nous les panes d’électricité sont banales (Comme El-Banane qui devient banal dans notre souq) Alors achetons des bougies dans le prochain Bazard, de la rue Michelet vers saint La-Zhar ! Des bougies blanches pour faire signe pacifique aux machines bleues qui nous bloquent et qui terrassent les rues de nos quartiers boueux. Ils nous encerclent ici dans la fumée des pneus sous-marque comme les blindés à El-Qouds. Les sauvageries gagnent les rues et les routes cabossés et dans la compagne les jeunes faute de panneaux lumineux, ils abattent les arbres et les sapins jaunes des forets asséchés par les feux de forets des sous-officiers…
Qui désherbent nos espaces verts pour dénuder les barbes des naturistes traditionnalistes qui ne maitrisent que le langage de la bombonne de gaz.
Coure mon ami devant la fuite qui te trahie, oublions le gaz de Sahra et Cheb Khaled. Oublions le noir du pétrole qu’on n’a jamais connu sauf dans l’ancre noir de notre histoire. Rappel toi juste ; que dans le sommeil du juste un poète ne peut pas mourir !
Dans un monde de paroles à pensées basses « et bêtes »
Allons les enfants de la révolte, enfile ton kamis ton jogging ou ta salopette. Les temps modernes se numérisent mais vois-tu ; chez nous les panes d’électricité sont banales (Comme El-Banane qui devient banal dans notre souq) Alors achetons des bougies dans le prochain Bazard, de la rue Michelet vers saint La-Zhar ! Des bougies blanches pour faire signe pacifique aux machines bleues qui nous bloquent et qui terrassent les rues de nos quartiers boueux. Ils nous encerclent ici dans la fumée des pneus sous-marque comme les blindés à El-Qouds. Les sauvageries gagnent les rues et les routes cabossés et dans la compagne les jeunes faute de panneaux lumineux, ils abattent les arbres et les sapins jaunes des forets asséchés par les feux de forets des sous-officiers…
Qui désherbent nos espaces verts pour dénuder les barbes des naturistes traditionnalistes qui ne maitrisent que le langage de la bombonne de gaz.
Coure mon ami devant la fuite qui te trahie, oublions le gaz de Sahra et Cheb Khaled. Oublions le noir du pétrole qu’on n’a jamais connu sauf dans l’ancre noir de notre histoire. Rappel toi juste ; que dans le sommeil du juste un poète ne peut pas mourir !
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