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LA PROTESTA ALGÉRIENNE : Peut-elle se faire par la non-violence?

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  • LA PROTESTA ALGÉRIENNE : Peut-elle se faire par la non-violence?

    Source Alterinfo.

    En cette veillée où chacun fourbit ses armes pour la marche et compte en
    découdre en mettant en première ligne les jeunes qui n’ont aucune protection
    en face des forces du pouvoir, c’est de part et d’autre une spirale
    aventureuse qu’il faut absolument éviter. De quoi s’agit-il? Il s’agit de
    promouvoir une alternative par le changement radical de la politique dans le
    pays. Est-ce un changement dans le système ou est-ce un changement du système?
    Est-ce qu’il s’agit de répondre aux aspirations de liberté, de dignité
    des citoyens et aussi leur assurer des conditions de vie décentes dans
    lesquelles ils peuvent s’épanouir sans être des assistés qui règlent leur
    problème par l’émeute ou est-ce un tsunami qui emporte d’une façon
    brutale le système comme en Tunisie ou en Egypte avec comme possibilité une
    étape plus ou moins longue de chaos? Le mimétisme est ravageur et il n’y a
    pas de similitude entre la révolte tunisienne avec les conséquences que l’on
    sait, ni même avec la révolte égyptienne. Chaque révolte ou révolution a
    ses spécificités. Ceci étant dit, la Révolution de 1988 en Algérie,
    curieusement "non parfumée" par l'Occident, il y a près d'un quart de
    siècle a été vécu uniquement par les Algériens avec les prolongations que
    l'on sait en terme de terreur de morts de deuil. Le seul résultat tangible est
    que le champ médiatique avec une centaine de quotidiens et d'hebdomadaire
    libre de gloser- les journaux ne s'n privent pas- sur le gouvernement est l'un
    des plus ouverts des sociétés du monde. Quand aux médias lourds depuis les
    cinq dernières années avec la galaxie internet on peut communiquer sans
    problème. C'est pour cela que Octobre 1988 peut être vu comme le catalyseur
    d'une cinétique d'émancipation de la société arabe. Les Tunisiens et les
    Egyptiens vivent à leur façon l'euphorie que nous avons connue en 1988. Il
    faut leur souhaiter qu'ils ne passent pas par l'itinéraire sanglant que nous
    avons du emprunter sans mettre un point final à cette libération qui tarde
    encore à se concrétiser malgré les avancées- certes incomplètes sur le plan
    de la liberté d'expression.

    Pour Pierre Haski, «les révolutions de Tunisie et d’Egypte ne sont pas
    nécessairement duplicables par les opposants des autres pays arabes. La Tunisie
    et l’Egypte avaient en commun un dictateur au profil connu, officier
    vieillissant ayant troqué l’uniforme pour le costume-cravate, une armée
    républicaine, une relative homogénéité de leur population, et une classe
    moyenne importante doublée d’un fossé social considérable. (...) Les
    potentats des prochains pays sur la ´´liste´´ commencent à intégrer les
    leçons de ces événements et dans le bras de fer qui les oppose à leur
    peuple, ils fourbissent leurs armes avec d’autant plus de rapidité qu’ils
    savent, au vu des événements récents, que passé un certain seuil, ils
    sortent de l’Histoire. Ces conditions ont permis la rencontre entre une
    jeunesse moderne et connectée aux réseaux sociaux mondiaux, et les
    laissés-pour-compte de la croissance, avec la bienveillance d’une armée qui
    a refusé de tirer sur le peuple ».(1)

    « (...) De surcroît, les révolutions tunisienne et égyptienne ont pris
    tout le monde par surprise, à commencer, évidemment, par les dinosaures qui
    gouvernaient ces deux pays, et qui pensaient que leurs moukhabarat (police
    politique) à la main lourde suffisaient à assurer leur sécurité face à une
    population au mieux résignée, au pire terrorisée. Aucun autre dirigeant arabe
    ne peut ignorer aujourd’hui les menaces qui pèsent sur lui. D’abord, parce
    qu’ils ont tous compris que lorsque leurs enfants étaient sur Facebook, ce
    n’était pas seulement pour draguer ou échanger des photos de soirée avec
    leurs amis, mais aussi pour préparer des révolutions. Les moukhabarat sont eux
    aussi sur Facebook. Les experts ou les politiques qui estimaient que le Monde
    arabe était condamné à l’alternative : dictateur plus ou moins éclairé ou
    islamistes, ont été démentis de manière éclatante. Ils n’ont pas vu
    monter une nouvelle génération connectée et désireuse de vivre
    «normalement», sans la censure des dictateurs, ni les fetwas des imams. (...)
    Le pire, pour les régimes autoritaires, serait de considérer que survivre à
    cette vague révolutionnaire leur donnerait un blanc-seing pour poursuivre comme
    si de rien n’était. Ce serait la meilleure recette pour prendre en pleine
    figure l’effet boomerang de leur immobilisme, d’autres révoltes ou
    d’autres révolutions, qui prendraient des formes aussi imprévisibles et
    déconcertantes que celle qui vient de balayer en quelques semaines des régimes
    qui semblaient indéboulonnables». (1)

    Ces révolutions sont-elles endogènes?

    «Et si toutes ces révolutions étaient voulues, encouragées, voire
    dirigées par un chef d’orchestre transcendant? Ce tsunami prévisible était
    inéluctable, la marmite arabe devait exploser à tout moment. Cependant, le
    facteur temps a pris de court ceux qui ne s’y attendaient pas. Cette réaction
    en chaîne est, nous le croyons, parfaitement maîtrisée par les stratèges qui
    savent freiner ou accélérer le flux de neutrons de la protesta par Facebook
    interposé.

    Sur le site Evaresist justement, cette analyse décapante nous permet de
    percevoir la réalité des révolutions parfumées. «Théâtre d’ombres,
    encore et toujours. Les peuples croient se libérer, en fait, les chaînes ne
    font que changer. Il y a eu les Révolutions de couleurs, présentées par les
    Médias laquais du NWO (ou du N.O.M., selon vos préférences) (NOUVEL Ordre
    Mondial) comme une réussite totale : «Dehors les tyrans, et en douceur, s’il
    vous plaît!» Mais en réalité, le ´´tyran´´ au service du peuple a
    laissé la place au ´´démocrate´´ au service de l’Oligarchie. Jolie
    réussite, en effet! Les dindons de la sinistre farce sont les peuples, encore
    et toujours. Avec d’heureux loupés : voici par exemple l’Ukraine qui
    repasse dans l’autre camp, non-aligné, la démocratie des élections libres
    se retournant contre les tenants des démocraties à la sauce occidentale.
    Révolutions de couleurs démasquées par les internautes et par les plus futés
    des citoyens, bref, elles ne font donc plus recette. On change donc le nom, exit
    les révolutions orange et autres. L’Iran tient à sa souveraineté, il refuse
    de se soumettre? Une guerre coûterait trop cher, actuellement? On envoie un
    virus en ´´achetant´´ les meilleurs informaticiens. Et voici les
    installations nucléaires paralysées ». (2)

    « Ça ne suffit pas? Dans la lancée des révolutions arabes, les agitateurs
    professionnels des ambassades de l’Occident, mais aussi des étudiants
    galvanisés par les mirages de la prospérité anglo-saxonne, ou des nervis
    grassement payés, tout ce beau monde est en train de battre le rappel des
    anti-Ahmadinejad autour de l’opposant fantoche, afin de réussir en Iran le
    numéro joué dans les pays arabes.» (2)

  • #2
    Sauce occidentale

    «Sur ordre de l’Oligarchie, les journaleux des Médias braquent maintenant,
    aussi, leurs projecteurs sur la Chine ou sur la Russie. Pour rendre ces pays, ou
    leurs dirigeants, impopulaires. Le NWO finance les opposants, ou en crée au
    moyen d’une subtile manipulation qui touche d’abord, comme toujours, les
    plus jeunes, les plus malléables et les plus modernes.. Les Médias sauront
    habilement mettre en valeur ces opposants au Régime, en donnant l’illusion
    d’un ´´effet foule´´, en braquant leurs caméras là où il y a un peu de
    monde. Enfin, le prix Nobel vint à point nommé récompenser un grand opposant
    à la Chine d’aujourd’hui, pour préparer l’opinion au conditionnement
    contre ce pays si puissant et non-aligné. Quant au frère russe, l’Occident
    joue Medvedev plus malléable, plus ´´occidentalisable´´, et aux racines
    juives - contre l’incorruptible Poutine, énergique et passionnément attaché
    à sa terre, à l’indépendance de son pays. Bref, les ferments de division
    sont instaurés. Bref, d’une façon ou d’une autre, ce sont les Révolutions
    de couleurs que l’on promeut, pour mieux provoquer un changement qui ne
    profitera en définitive qu’à la Mafia de l’Occident.» (2)

    «L’affaire est entendue. Ben Ali gêne, car au lieu de laisser l’Occident
    piller son pays, il le réserve à son Clan, à sa famille. Exit Ben Ali.
    Moubarak est encombrant, discrédité - et sur le point d’assurer sa
    succession lui-même. Dès le début, les Etats-Unis ont joué la carte de
    l’Armée, fidèle alliée - on ne refuse rien à son mécène. (...) Et on
    veut présenter l’Egypte comme un pays libre? En sachant qu’il constitue une
    pièce maîtresse, docile, pour les tenants du grand Israël ou les financiers
    de Wall-Street et de la City, via le canal de Suez emprunté par toutes les
    grandes Compagnies entendant poursuivre leur juteux commerce. Pas question de
    lâcher le morceau, donc... Cela s’est passé, selon moi, en deux temps : un
    premier, on envoie les Policiers juchés sur leurs chevaux ou sur leurs
    dromadaires terroriser les manifestants. Les manifestants sont restés, ils ont
    désarçonné les sbires, gardé les chevaux, et perdu 300 des leurs. Ils sont
    restés! Obama avait une deuxième carte, jouer le jeu des manifestants plutôt
    que les réprimer. Donc, l’Armée n’a pas bougé, n’a pas tiré. Son
    crédit devait rester intact auprès des Egyptiens. Vous avez dit armée libre?
    Bref, Suleiman a été viré, et il a été remplacé par le Général pâlot,
    suffisamment pâlot pour être téléguidé par Washington, en sous main. (...)
    » (2)

    « La démocratie à la sauce occidentale ne fonctionne que si les dés sont
    truqués, en d’autres termes que si les électeurs votent pour les
    marionnettes choisies par l’Oligarchie : Bush (version stupide) ou Obama
    (version intelligente). (...) Bref, attendons les élections, et voyons le
    résultat. Si les Egyptiens ont le bon goût de laisser leurs Frères musulmans
    faire de la figuration, tout ira bien pour l’Occident. Ils accepteront le
    résultat des élections. Mais... Mais s’ils risquent d’accéder au pouvoir?
    Les médias vont s’acharner à les discréditer, en les présentant comme de
    furieux islamistes terroristes obscurantistes etc., on connaît la chanson. Non,
    ils ressemblent à leurs frères turcs, ils sont modernes, pragmatiques... Mais
    cela ne doit pas se savoir!» (2)

    On le voit, Obama est en train de réussir là où Bush a échoué. Au lieu et
    place de la démocratie aéroportée en Irak et en Afghanistan avec les
    résultats désastreux que l’on sait, Obama poursuit les mêmes objectifs :
    Ceux de l’impérialisme américain de plus en plus agressif au fur et à
    mesure que sa suprématie était battue ; . Bref, là où Bush avait échoué
    avec son Grand Moyen-Orient en termes de méthode, pour avoir écouté les néo-
    conservateurs du Pnac, et, notamment sa secrétaire d’Etat Condoleezza Rice
    avec la méthode du chaos constructeur, Obama poursuit toujours le même but de
    la suprématie planétaire surtout depuis que le peak oil était devenu une
    réalité et que l’illusion des gaz non conventionnels n’a permis qu’un
    faible sursis.

    Obama et ses stratèges mirent au point un scénario imparable, celui de
    «l’implosion contrôlée des Etats» de l’extérieur. Qu’on se souvienne!
    Cela a commencé avec le discours du Caire, le président Obama parla de
    liberté de respect de l’Islam, de démocratie... Cela ne passa pas inaperçu
    dans les pays musulmans et surtout arabes dont les masses harassées par des
    règnes dynastiques qui se chiffrent en dizaines d’années, attendaient le
    Messie Obama. On le sait, l’alternance n’est pas le credo des dirigeants
    arabes.

    Ce fut ensuite l’aide inestimable, malgré tout, de WikiLeaks qui mit à
    jour la servilité des pays arabes et enfin la révolution de Facebook qui créa
    un espace virtuel de protestation savamment nourri. N’a- t-on pas vu les
    Etats-Unis demander à Ben Ali et Moubarak de ne pas bloquer Internet et mieux,
    dégager 25 millions de dollars pour les internautes iraniens ?

    En face les rodomontades dans les pays arabes ne trompent plus personne. Il se
    trovue même des « intellectuels organiques » qui en rajoutent en glorifiant
    le pouvoir. Un exemple, entendu à la radio chaine 3 ? la pertinence et la
    performance des systèmes éducatifs illustrée à titre d’exemple par les
    propos scandaleux d’un responsable de la recherche pourtant, ancien professeur
    brillant, qui a annoncé sans se démonter et sans débat contradictoire que
    tout va bien, que le système éducatif algérien est performant que le LMD
    cafouille à cause des vieux enseignants et que la recherche algérienne serait
    du niveau de celle de Harvard! Le ridicule ne tuant plus, je l’invite à lire
    cette information. «A la mi-janvier, le New York Times affirmait que les
    services de renseignements américains et israéliens ont collaboré pour
    développer Stuxnet. Apparu fin 2009, Stuxnet infecte un logiciel Siemens de
    contrôle des automates industriels très utilisés dans les secteurs de
    l’eau, des plate-formes pétrolières et des centrales électriques. Sa
    fonction serait de modifier la gestion de certaines activités pour entraîner
    la destruction physique des installations touchées, selon les experts. Stuxnet
    aurait principalement frappé l’Iran, ce qui a laissé penser qu’il avait
    été conçu pour saboter ses installations nucléaires, mais il semble avoir
    aussi touché l’Inde, l’Indonésie ou le Pakistan. Le virus d’un côté
    sabote le fonctionnement des centrifugeuses et de l’autre ´´fait croire aux
    opérateurs que tout se passe bien même si ce n’est pas le cas´´,
    expliquait à Nouvelobs.com (Nouvelobs.com avec AFP 18 01 2011)». Voilà où en
    est la recherche dans un petit pays qui gouverne le monde scientifique par la
    puissance de sa recherche.

    Automates industriels

    Au risque de me répéter et comme je l’ai écrit, le moment est venu pour
    un changement pacifique. Que doit faire l’Algérie en toute lucidité pour
    faire aboutir les doléances justifiées des jeunes? Nous proposons sans être
    naïfs de mettre graduellement en place la non-violence qui est une philosophie
    qui délégitime la violence, promeut une attitude de respect de l’autre dans
    le conflit et une stratégie d’action politique pour combattre les injustices.
    Comme on le sait elle a été popularisée dès 1921 par Gandhi en Inde, c’est
    l’ahimsâ (du sanskrit a ; «négation» et himsâ ; «violence»). Pour
    Gandhi «la non-violence sous sa forme active consiste en une bienveillance
    envers tout ce qui existe». Pour Martin Luther King :«La non-violence est une
    arme puissante et juste, qui tranche sans blesser et ennoblit l’homme qui la
    manie. C’est une épée qui guérit.» Les militants de la non-violence
    distinguent la violence des situations et les réactions violentes qu’elles
    engendrent. Ils veulent dénoncer les situations de violence pour désamorcer
    les risques de crises violentes. Les moyens utilisés pour dénoncer ces
    situations de violence sont qualifiés de méthode «non-violente» par
    opposition aux méthodes les plus courantes dans l’Histoire, qui recourent à
    la répression, policière et/ou militaire, des réactions violentes aux
    situations de violence. L’action «non-violente» table donc sur des ressorts
    psychologiques humains de l’adversaire qui ne pourrait durablement s’exposer
    à paraître lâche en utilisant la violence armée contre des gens
    désarmés.» (3)

    «Faut-il choisir écrit Sylvie Laurent, entre Gandhi et Lénine pour obtenir
    la libération d’un peuple opprimé? (..) Le père de la nation sud-africaine
    rejoignit en effet, dès sa libération en 1990, le panthéon des saints laïcs
    aux côtés de Gandhi et de Martin Luther King Jr. L’Indien, l’Américain et
    le Sud-Africain sont résolus à sortir les peuples de couleur du bas-côté de
    l’Histoire. Mais à la différence d’Ho Chi Minh ou de Ben Bella, ils sont
    célébrés ici comme des hommes de paix. La parole de Gandhi, sa morale et son
    éthique, furent non seulement initiatrices du combat de Mandela en Afrique du
    Sud mais inspiratrices du combat de Martin Luther King aux États-Unis.
    (...)C’est au philosophe américain Henri David Thoreau que l’on doit la
    première théorisation de la résistance passive, définie dans son ouvrage de
    1849 Civil Disobedience. Seule la responsabilité individuelle peut, selon lui,
    guider le destin des hommes, qui ne doivent en aucun cas se soumettre à
    l’autorité d’un gouvernement civil. La loi n’est alors qu’une forme de
    violence qui se prétend légitime. L’État de droit est un oxymore.(...)»
    (4)

    A voir le spectacle donné par les partis qu’ils soient d’opposition ou du
    pouvoir, il est de mon point de vue tragique de risquer la vie des jeunes dans
    un combat douteux où les arrière-pensées ne sont pas absentes. Et si en
    définitive, on essayait la non-violence pour faire aboutir des revendications
    légitimes, nous montrerons à nos «amis» que l’Algérie a payé sa dette à
    l’Histoire, qu’elle refuse de se faire manipuler et qu’elle est
    résolument tournée vers l’avenir.

    1. Pierre Haski. Et si la théorie des dominos du monde arabe était fausse?
    17/02/2011 Rue89

    2. Eva R-sistons : Le 14 février 2011

    3. http://fr.wikipedia.org/wiki/Non-violence

    4. https://socio13.**************/2010/08/
    14/la-non-violence-est-elle-possible-gandhi-king-mandela-par-sylvie-laurent/ 14
    aôut 2010

    Pr Chems Eddine CHITOUR

    Ecole Polytechniue enp-edu.dz

    Commentaire


    • #3
      Bah, faut revenir à l'histoire de ce bled,
      Des Auress,
      De Beb El-Oued,
      Belcourt
      ...
      Mais jamais de Paris.

      Commentaire


      • #4
        Nous avons été éduqués (es) avec les souvenirs de la violence (guerre de libération) matraquage de l'unique Entv et la hogra de l'appareil de l'état je ne vois comment ferons nous pour ne pas changer une manifestation en casseurs ou cassés (es) par les coups de zarouata....

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        • #5
          salam

          LA PROTESTA ALGÉRIENNE : Peut-elle se faire par la non-violence?
          et pourquoi pas!! ya un commencement a toute chose, la violence n'est pas un destin algérien !!

          on plus on a fait l'expérience , ça n'a rien donner comme résultat, si si 100.000 morts (rabbi yerhamhom)
          Dernière modification par naw08, 20 février 2011, 22h29.

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          • #6
            naw

            J'y crois tellement que cela fait rager certains occidentaux hautains qui pensent que cela est une qualité importée ...alors qu'elle est endogène
            certains indices le montrent bien ... je ne peux pas trop développer ...
            Ils nous appelaient bico, bougnoules ...
            et toutes sortes de nom d'oiseaux ...certains le pensent toujours pourtant nos ancêtres sont cultivés d'une manière innée, notre histoire est plus riche plus étoffée et plus ouverte sur l'autre ... il ne faut pas que les renards rusés ... pensent qu'ils sont arrivés à un degré subtile d'intelligence que les autres ne peuvent atteindre ... l'intelligence n'est pas la ruse et les non-violents ne sont pas des brebis.

            Je ne sais pas si je me suis bien exprimé ... il faut que j'aille dormir ...

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            • #7
              maintenant une majorité devenu baltadjia

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              • #8
                Réponse à la question

                Oui..
                ça va être difficile..mais je pense que oui

                Commentaire

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