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Apres Khadafi ? A qui le tour ?

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  • Apres Khadafi ? A qui le tour ?

    A qui le tour ?

    Gouvernement Bahreini demissionnaire en son entier cette semaine sur pression de la foule, de l'opposition aupres du monarque constitutionnel ? probable
    vu la tournure actuelle des evenements sur place..( La place centrale de la capitale est réoccupée )


    Famille de l'Emir Al Jaber du Koweit visiblement actuellement stressée qui lâche des millions . .attaquée dans 1 à 2 mois ? .avec risque de guerre civile .et séisme sur le marché du petrole ? c'est un scenario beaucoup moins envisageable ...pour l'heure .....mais dans quelques mois , un an ???

    Revolution populaire souverainiste nationale democratique en gestation de Mossoul aux confins sud de l'Irak et Gouvernement Irakien renversé ? ..( Pas impossible à moyen terme vu les manifs actuelles et l'esprit d'union nationale qui semblent enfin les habiter.)
    ...........selon RFI certains en Irak ( des officines ?) mettent en garde ce soir en évoquant une manipulation du parti Baas derriere les revoltes , manifestations ayant lieu du Kurdistan jusqu'au sud irakien.
    ''Une manipulation du parti Baas '' ( ou ce qu'il en reste) est invoquée .
    (Note de Sioux: histoire de deligitimer les manifs en agitant le chiffon rouge du Baathisme de Saddam Hussein )
    Dernière modification par Sioux foughali, 20 février 2011, 23h36.

  • #2
    Géographiquement parlant !
    c'est le Nord de l'Afrique qui attire le plus d'attention au monde : Tunisie ==) Égypte ==) Libye ==) ......des changements très probables au reste du Maghreb avant qu'ils touchent le moyen orient !
    What the mind does not know, the eyes can not see

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    • #3
      je dirait que le soudan est un parfait candidat avec:
      un bachir qui va battre des records de longévité
      la sécession du sud qui reste quand meme un fait grave et une humiliation pour les soudanais
      une précarité généralisé

      il y a de quoi se révolter quoi

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      • #4
        oui et non khachkhach

        la planete des politiques a aussi les yeux rivés sur Bahrein , Koweit quoi qu'ils en disent
        Dernière modification par Sioux foughali, 20 février 2011, 23h15.

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        • #5
          C'est le monde arabe dans son entier qui est en ébullition, c'était prévisible après l'épisode Egyptien !

          Somalie, Yemen, Bahreïn, Libye, Algérie, Maroc, Tunisie, Iran (il y a quelques jours)...

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          • #6
            Koweït : 2e journée d'affrontements

            Par Europe1.fr avec Reuters


            Pour la deuxième journée consécutive, des affrontements ont opposé samedi dans une localité des environs de la capitale koweïtienne la police et des centaines d'Arabes apatrides réclamant la citoyenneté de cet émirat pétrolier. Quelque 300 sans-papiers se sont heurtés aux forces de l'ordre, qui ont fait usage de grenades lacrymogènes, au village d'As Salbiya. D'après des témoins, il y aurait sept blessés.

            La veille, un millier d'apatrides avaient manifesté à Jahra, au nord-ouest de la ville de Koweït, pour demander la nationalité koweïtienne. Selon Maha al Barjas, vice-président de la Société koweïtienne des droits de l'homme, entre 100 et 140 personnes ont été interpellées à cette occasion avant d'être remises pour la plupart en liberté samedi

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            • #7
              Koweït : La répression de manifestations de Bidouns a fait des dizaines de blessés

              Koweït : La répression de manifestations de Bidouns a fait des dizaines de blessés
              Les forces de sécurité ont également arrêté des dizaines de ces résidents apatrides de l'émirat
              F
              « Les autorités koweïtiennes devraient comprendre en voyant ce qui se passe dans les pays voisins que réprimer violemment des manifestations pacifiques ne fait que mettre le feu au poudres. Le gouvernement devrait respecter le droit des manifestants de s'exprimer et de se réunir librement et pacifiquement. »
              Sarah Leah Whitson, directrice de la division Moyen-Orient et Afrique du Nord à Human Rights Watch

              (New York, le 19 février 2011) - La répression par les forces de sécurité koweïtiennes de manifestations de résidents apatrides dénommés « Bidouns » le 18 février a fait des dizaines de blessés, tandis que des dizaines d'autres manifestants ont été arrêtés, a déclaré Human Rights Watch aujourd'hui. Human Rights Watch a appelé les autorités koweïtiennes à soit libérer les manifestants détenus, soit les inculper formellement d'une infraction pénale afin de les déférer immédiatement devant un juge indépendant.

              Le gouvernement du Koweït a au cours des derniers mois émis de nombreux avertissements proscrivant des rassemblements publics, malgré l'engagement de ce pays, en vertu du droit international, à respecter le droit de réunion pacifique. Ce droit est protégé par l'article 21 du Pacte international relatif aux droits civils et politiques (PIDCP), ratifié par le Koweït en 1996.

              « Les autorités koweïtiennes devraient comprendre en voyant ce qui se passe dans les pays voisins que réprimer violemment des manifestations pacifiques ne fait que mettre le feu au poudres », a commenté Sarah Leah Whitson, directrice de la division Moyen-Orient et Afrique du Nord à Human Rights Watch. « Le gouvernement devrait respecter le droit des manifestants de s'exprimer et de se réunir librement et pacifiquement. »

              Selon des sources locales, entre 300 et 500 Bidouns sont descendues dans la rue le vendredi 18 février dans les régions de Taima'a, de Sulaibiyya et d'Ahmedi pour réclamer la résolution de leur statut d'apatrides et revendiquer le droit à la citoyenneté koweïtienne. Les témoins du principal rassemblement qui a eu lieu à Taima'a ont indiqué à Human Rights Watch que celui-ci a débuté de façon pacifique avant l'intervention des forces de sécurité qui ont utilisé des canons à eau, des gaz lacrymogènes, des bombes fumigènes et des grenades à concussion (bombes sonores) pour disperser la manifestation. Des manifestants ont ensuite riposté en lançant des pierres contre les agents de sécurité,

              Selon des militants bidouns et koweïtiens des droits humains, les autorités ont arrêté au moins 120 personnes vendredi, et près de 30 manifestants ont été blessés.

              Le ministre de l'Intérieur Ahmad al-Hamoud al-Sabah a quant à lui affirmé à Human Rights Watch que ses forces n'avaient arrêté que 42 personnes. Il a ajouté que les manifestations avaient eu lieu sans autorisation préalable. Toutefois une telle autorisation n'aurait manifestement pas été accordée, puisqu'au cours des six derniers mois les autorités koweïtiennes ont rappelé à plusieurs reprises l'interdiction de toute forme de rassemblement public pour des raisons de « sécurité intérieure ».

              Plus de 106 000 Bidouns vivent actuellement au Koweït, qui compte 2,5 millions de résidents dont seulement 1 million de citoyens. Les Bidouns sont des personnes apatrides, essentiellement d'origine bédouine ou nomadique, qui revendiquent la nationalité koweïtienne et les droits liés à cette nationalité. Leur statut apatride est lié au fait que la majorité n'a pas brigué la nationalité koweitienne quand l'émirat, devenu un protectorat britannique en 1914, a accédé à l'indépendance en 1961.


              .
              Dernière modification par Sioux foughali, 21 février 2011, 00h06.

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              • #8
                F1: le Grand Prix de Bahreïn probablement repoussé à une date ultérieure

                Actualité >

                F1: le Grand Prix de Bahreïn pourrait être repoussé à une date ultérieure

                Publié le 20.02.2011, 13h12
                Facebook Twitter Envoyer
                Le patron de la Formule 1 Bernie Ecclestone a affirmé dimanche que le Grand Prix de Bahreïn pourrait être couru à une date ultérieure si les manifestations antigouvernementales dans ce pays devaient contraindre les organisateurs à la repousser.

                Le patron de la Formule 1 Bernie Ecclestone a affirmé dimanche que le Grand Prix de Bahreïn pourrait être couru à une date ultérieure si les manifestations antigouvernementales dans ce pays devaient contraindre les organisateurs à la repousser. | Fred Dufour Zoom

                Le patron de la Formule 1 Bernie Ecclestone a affirmé dimanche que le Grand Prix de Bahreïn pourrait être couru à une date ultérieure si les manifestations antigouvernementales dans ce pays devaient contraindre les organisateurs à la repousser.
                Interrogé dans une émission sportive de la BBC, M. Ecclestone a indiqué que la décision de courir ou non ce Grand Prix, qui doit ouvrir la saison 2011, serait prise "probablement mardi".

                "Je n'ai pas parlé au prince héritier, cheikh Salman Ben Hamad Al-Khalifa, ce matin (dimanche), aussi je ne sais pas ce qui se passe là-bas. Mais si quelqu'un peut dénouer la situation, c'est lui", a ajouté le patron de la F1;
                "Il décidera si nous serons en sécurité là-bas ou non", a-t-il dit. "Attendons mardi pour savoir si le Grand Prix va avoir lieu avant de décider quoi faire. Peut-être nous pourrions repousser Bahreïn ou le courir plus tard dans l'année".
                Bernie Ecclestone a exclu que le GP d'ouverture puisse se dérouler dans un autre pays le 13 mars, expliquant que les délais étaient trop courts pour qu'un autre organisateur puisse s'insérer dans le calendrier. "Espérons que les choses se passeront comme prévu".
                Les courses de la série GP2 (antichambre de la F1), qui devaient se dérouler la semaine dernière sur le circuit de Sakhir à Bahreïn, ont été annulées en raison des protestations antigouvernementales.
                La répression des manifestations a fait six morts et des dizaines de blessés ce petit royaume du Golfe à majorité chiite et gouverné par une dynastie sunnite. Le prince héritier a proposé dimanche d'ouvrir le dialogue avec l'opposition.
                Dernière modification par Sioux foughali, 21 février 2011, 00h10.

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                • #9
                  Irak: les députés refusent de se serrer la ceinture malgré les manifs

                  
                  Irak: les députés refusent de se serrer la ceinture

                  Belga | 20 Février 2011 19h19


                  Les députés irakiens ont refusé dimanche de se serrer la ceinture comme leur demandait le gouvernement et n'ont accepté qu'une petite diminution de leur salaire alors que des manifestations ont lieu quotidiennement pour leur reprocher leur train de vie.
                  Le gouvernement avait proposé de réduire de 38% le salaire mensuel des ministres et députés pour le ramener à 6.780 dollars, mais les parlementaires n'ont consenti qu'à une amputation de 10% dans le budget 2011 adopté dimanche. Le Parlement a également approuvé une diminution de 20% du salaire du Premier ministre, du chef de l'Etat et du président du Parlement, alors que le gouvernement suggérait une réduction de 50%. Nouri al-Maliki a maintenu sa décision de diviser par deux son salaire, mais il n'a pas été possible de savoir si les deux autres dirigeants allaient en faire de même. Selon les calculs de l'AFP, au lieu des 19 millions de dollars escomptés, l'économie ne sera que de 4,9 millions de dollars. En revanche, les députés ont supprimé les frais de réception des trois plus hauts responsables de l'Etat ainsi que des deux vice-présidents du parlement, qui s'élevaient pour chacun à plus d'un million de dollars par an. "Les députés ont vraiment fait preuve d'égoïsme", a estimé un responsable gouvernemental. (GFR)

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                  • #10
                    Apres Khadafi ? A qui le tour ?
                    à un président qui a gouverné plus que 10 ans

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                    • #11
                      Le Soudan ...

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                      • #12
                        à un président qui a gouverné plus que 10 ans
                        Paul Biya, le président camerounais?....ok je sors.

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                        • #13
                          Ouais Soudan probable mais avant le gouvernement Bahreini va ''être integralement demissionné '' je pense ...Le Monarque constitutionnel de Bahrein est en train d'acquiescer aux requêtes de l'opposition

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                          • #14
                            C pas pour faire plaisir a certains FA istes

                            mais je pense que le Maroc et l'Algérie me semblent hors du tournoi
                            .
                            .
                            ''La pauvreté ne sera plus séditieuse, lorsque l'opulence ne sera plus oppressive''
                            Napoléon III

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                            • #15
                              C'est le monde arabe dans son entier qui est en ébullition, c'était prévisible après l'épisode Egyptien !

                              Somalie, Yemen, Bahreïn, Libye, Algérie, Maroc, Tunisie, Iran (il y a quelques jours)..
                              L'Iran n'est pas un pays arabe .C'est important de le signaler

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