Le liban probablement adhérent a Agadir

[Ismail2005]

Le liban pourrait adhérer aux accords arabes de libres d'échange d'agadir,lors de la visite du premier ministre libanais au maroc.
pour le pays du cèdre,avoir un marche important a l'export est une nécessite vitale

http://www.**********/Infos/includes...&lmodule=Maroc

Lors d'un entretien, jeudi à Beyrouth, avec l'ambassadeur du royaume au Liban, M. Ali Oumlil, M. Siniora a évoqué la question de sa visite au Maroc ainsi que les relations entre les deux pays dans différents domaines.

M. Oumlil s'est déclaré, à l'issue de cet entretien, convaincu de l'adhésion du Liban à l'Accord d'Agadir, qui réunit actuellement le Maroc, l'Egypte, la Tunisie et la Jordanie. Pour sa part, M. Siniora s'est montré favorable à l'adhésion de son pays à cet Accord qui, a-t-il affirmé, pourrait intervenir au cours de sa prochaine visite au Maroc.

Les relations bilatérales s'appuient sur une série d'accords de coopération.
Un haut Comité Mixte maroco-libanais, qui a été créé en juillet 1997, a tenu sa première et dernière réunion à Beyrouth, en octobre 2001, et devra se réunir au Royaume, au cours de sa prochaine session.

Un Conseil des Hommes d'Affaires dans les deux pays, créé en 1997, a tenu deux réunions, une à Casablanca et l'autre à Beyrouth, rappelle-t-on.
L'entretien entre MM. Siniora et Oumlil a porté également sur la situation au Liban et ses rapports avec les derniers développements aux plans régional et international.

[Pihman]

Qu'est ce qu'attend l'Algérie?

Le Président Bouteflika n'as t il pas demandé à la création d'une zone de libre échange arabe lors du sommet de Khartoum?

ou peut être il s'agit d'une autre deuxième zone de L E.!!!!

[safyo]

C'est bien

Vous savez nous ont est même pas encore entré a l'OMC .

[Pihman]

@ SAFYO

Entrer à l'OMC n'est pas une condition à ma connaissance

je pense que la ZLE arabe est un bon exercice avant d'entammer le marathon de l'OMC

[Ismail2005]

alger n'aurait pas encore donne suite a la proposition tunisienne de zone de libre échange,ce qui aurait selon certaines sources journalistiques suscité pas mal d'irritation chez les tunisiens.

si alger ne fait pas le libre échange avec les pays de l'accord d'agadir je voit mal avec qui elle pourrait le faire d'autre dans le monde arabe

[Ismail2005]

l'orgie libre echangiste continue

le maroc compte faire du libre echange avec l'UEMOA (le Sénégal, le Burkina Faso, le Mali, le Niger, la Côte d'Ivoire, le Togo, le Bénin et la Guinée-Bissau)
par transitivite,ces pays se trouveraient en position de libre echange avec les pays de l'accord d'agadir,la turquie,les etats unis,les emirates

http://www.avmaroc.com/actualite/mar...nt-a22969.html

PARIS (MAP) - Le Maroc est "sur le point" de conclure un accord de libre-échange avec l'Union économique et monétaire Ouest-africaine (UEMOA) qui regroupe le Sénégal, le Burkina Faso, le Mali, le Niger, la Côte d'Ivoire, le Togo, le Bénin et la Guinée-Bissau, a annoncé M. Fathallah Sijilmassi, ambassadeur du Royaume en France.
S'exprimant, vendredi soir à Paris, lors d'une conférence organisée par l'Association "Maroc Entrepreneurs" sous le thème "Le Maroc est-il prêt à faire face au libre-échange", M. Sijilmassi a fait remarquer que cet accord est de nature à conforter la dimension africaine de la structure du commerce national. Après avoir signalé que l'accord d'Agadir qui comprend, outre le Maroc, la Tunisie, l'Egypte et la Jordanie, a été dicté par le souci à la fois de mutualiser les concessions octroyées aux pays de l'Union européenne et de donner une logique et une cohérence à la construction de politiques commerciales des uns et des autres, le diplomate marocain a jugé nécessaire pour un pays tel le Royaume que cette construction géographique de son réseau de partenaires commerciaux englobe les pays africains, notamment ceux de l'Afrique de l'Ouest. Dans les accords de libre-échange (ALE), la dimension économique s'impose d'elle-même, a-t-il dit, faisant observer à cet égard que la démarche initiale du Maroc est une démarche volontariste, stratégique et de choix qui s'intègre dans une vision globale de libéralisation, de modernisation et d'ouverture. Ces accords sont conclus pour des motifs stratégiques et économiques, a ajouté M. Sijilmassi pour qui, un accord de libre-échange n'est pas une politique économique mais plutôt un des instruments de cette politique. Il a, d'autre part, mis en relief le rôle primordial et "extraordinaire" joué par le secteur privé marocain, qui est la locomotive de l'économie nationale, dans les négociations des ALE avec les Etats-Unis et la Turquie. L'ALE avec la Turquie, qui avait signé un accord d'union douanière avec l'UE en 1996, a permis à l'entreprise marocaine de renforcer sa compétitivité et de se doter d'un mécanisme lui permettant de maintenir sa place dans le commerce international, en particulier sur le marché européen, a-t-il précisé. M. Sijilmassi a également fait savoir qu'un accord a été signé avec l'Association européenne de libre-échange (AELE), composée de la Norvège, de la Suisse, de Liechtenstein et de l'Islande, pour parfaire géographiquement "le schéma global" que le Maroc ait avec l'UE. L'UE élargie et l'AELE représentent 70 PC du commerce extérieur national, a-t-il ajouté, soulignant que l'Union européenne est et restera le premier partenaire du Maroc. Evoquant l'ALE avec les Etats-Unis, il a relevé que ledit accord a été signé avec la première puissance économique du monde dans une logique de développement des échanges et des opportunités d'investissement. Et M. Sijilmassi de déplorer enfin que les échanges commerciaux du Royaume avec l'ensemble des pays arabes, pétrole compris, ne dépassent pas 15 PC.