En décembre 2007, les terroristes de l'ex GSPC avaient commis des attentats à la bombe à Alger (contre le siège algérien du Haut Commissariat des Nations unies aux réfugiés, et contre la cour suprême) qui avaient fait 67 morts et 100 blessés.
Au delà du bilan tragique de ces deux attentats, la particularité de ces attentats est qu'ils étaient commis par des terroristes qui avaient été graciés grâce à la charte pour la réconciliation nationale initiée par Bouteflika, mais qui ont rejoint les rangs de l'ex GSPC devenu Al-Qaida au Maghreb Islamique. Ainsi, plus de 250 terroristes graciés par Bouteflika avaient rejoint AQMI et ont probablement activement participé aux attentats qui ont notamment visé les forces de sécurité (militaires, gendarmes, policiers, gardes communaux).
Un câble diplomatique américain révélé par Wikileaks en décembre 2010, indiquait que la stratégie sécuritaire de Bouteflika était "amateuriste" et était décrite comme étant une "blague" (a joke) tellement elle ne permettait pas de maîtriser les problèmes sécuritaires les plus basiques.
Malgré ces graves erreurs qui ont causé la mort de nombreux Algériens, Bouteflika ne s'était pas adressé au peuple algérien en décembre 2007 pour admettre ses erreurs et n'avait pas mis fin à la charte pour la réconcilition.
Au delà du bilan tragique de ces deux attentats, la particularité de ces attentats est qu'ils étaient commis par des terroristes qui avaient été graciés grâce à la charte pour la réconciliation nationale initiée par Bouteflika, mais qui ont rejoint les rangs de l'ex GSPC devenu Al-Qaida au Maghreb Islamique. Ainsi, plus de 250 terroristes graciés par Bouteflika avaient rejoint AQMI et ont probablement activement participé aux attentats qui ont notamment visé les forces de sécurité (militaires, gendarmes, policiers, gardes communaux).
Un câble diplomatique américain révélé par Wikileaks en décembre 2010, indiquait que la stratégie sécuritaire de Bouteflika était "amateuriste" et était décrite comme étant une "blague" (a joke) tellement elle ne permettait pas de maîtriser les problèmes sécuritaires les plus basiques.
Malgré ces graves erreurs qui ont causé la mort de nombreux Algériens, Bouteflika ne s'était pas adressé au peuple algérien en décembre 2007 pour admettre ses erreurs et n'avait pas mis fin à la charte pour la réconcilition.
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