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Alger et Paris signent un accord de 2,22 milliards d’euros

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  • Alger et Paris signent un accord de 2,22 milliards d’euros

    Un accord de coopération d’un montant de 2,228 milliards d’euros pour développer la filière lait a été signé ce lundi 21 février à Alger entre l’institut technique d’élevage (ITE) et le groupe français « Bretagne international », rapporte l’agence APS.
    Cet accord, qui intervient à l’occasion de la visite de Jean‑Pierre Raffarin, porte notamment sur la formation des intervenants dans le processus de production de lait, en particulier les éleveurs. Étalé sur trois ans, l’accord consiste dans une première phase à former des éleveurs dans trois wilayas (Blida, Relizane et Souk Ahras) sur les techniques d’élevage et de production de lait. Dans une seconde phase, il s’agit de nouer des partenariats entre des entreprises spécialisées françaises et algériennes.

    L'Algérie consomme plus de 3,3 milliards de litres de lait par an et ne produit actuellement que 1,3 milliard de litres. Récemment, l’Algérie a connu une pénurie de lait qui a suscité des mécontentements parmi la population.
    tsa algerie
    And ye shall know the truth and the truth shall make you free.

  • #2
    Un accord de coopération d’un montant de 2,228 milliards d’euros

    l’accord consiste :
    dans une première phase à former des éleveurs dans trois wilayas (Blida, Relizane et Souk Ahras) sur les techniques d’élevage et de production de lait.

    Dans une seconde phase
    , il s’agit de nouer des partenariats entre des entreprises spécialisées françaises et algériennes.
    attendez dites moi que les journalistes se trompent !! c'est pas possible

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    • #3
      Moi aussi j'etais etonné, formation pour 2 milliards de dollars !! et tout ça pour apprendre à faire du L'ben.
      And ye shall know the truth and the truth shall make you free.

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      • #4
        C'est impossible.. ca doit etre en millions d'euro..

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        • #5
          Algérie/France: accord de plus de 2 mds d'euros pour développer la filière lait
          ALGER (Algérie), 21 fév 2011 (AFP) - Le groupe français Bretagne international et l'institut algérien de technique d'élevage ont signé lundi à Alger un accord de coopération de 2,228 milliards d'euros pour développer la filière lait en Algérie, a annoncé l'agence de presse APS.

          L'accord a été signé en présence du ministre algérien de l'Agriculture et du Développement rural Rachid Benaïssa et de l'envoyé spécial français Jean-Pierre Raffarin, en visite en Algérie.

          Cet accord ambitionne de développer tout le processus de la production de lait à travers la formation notamment des éleveurs.

          La première phase de l'accord prévoit de former quelque 1.000 éleveurs établis dans les régions de Blida (45 km au sud d'Alger), Relizane (ouest) et Souk Ahras (est), a précisé la même source.

          Ces formations seront dispensées par des groupes d'appui aux éleveurs composés de techniciens algériens, eux-même formés par des formateurs du groupe Bretagne international.

          La deuxième partie de l'accord consiste à nouer des partenariats entre des entreprises françaises et algériennes dans des activités ayant un lien avec la production de lait et l'élevage de bétail.

          L'Algérie consomme plus de 3,3 milliards de litres de lait par an et ne produit actuellement que 1,3 milliard de litres, selon des professionnels de la filière.

          M. Raffarin, chargé par le président Nicolas Sarkozy de faire avancer la coopération bilatérale, est arrivé dimanche soir pour une seconde mission de travail, la première ayant eu lieu fin novembre.

          Le volume des échanges entre l'Algérie et la France a dépassé en 2010 les 10 milliards de dollars.

          La France est le premier fournisseur de l'Algérie avec plus de 6 milliards de dollars et son 4e client avec plus de 4,5 milliards de dollars, selon les chiffres des Douanes algériennes.


          afp
          attendez la c'est plus du vole , c'est du crime !!!!!!!!!!!!!!

          regardez avec un même pas dixième de ce prix ce que les autres font :18:

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          • #6
            Coopération tuniso-française en matière d'élevage Programme de développement de la race tarentaise en Tunisie
            Selon l’Union tunisienne d’agriculture et de la pêche, un programme de développement de la race tarentaise en Tunisie est en cours d’étude entre la Tunisie et la France.
            Selon Dr Karim Daoud président du Salon international du machinisme, de l’agriculture et de la pêche –en même temps président du Groupement tunisien des éleveurs de la race tarentaise- les agriculteurs (y compris les éleveurs) ont pris conscience du fait qu’ils ne doivent ou ne peuvent plus continuer à tendre la main à l’Etat, parce qu’ils ont des capacités intrinsèques à même de leur permettre de s’en sortir tant bien que mal, et ce à travers une meilleure organisation des professionnels du secteur.
            Malgré une progression considérable en termes de production et réalisation de l’objectif d’autosuffisance en matière de lait, la production de viande bovine demeure, aujourd’hui, comme un sous-produit de l’élevage laitier et un produit de l’élevage extensif. D’où la raison d’être de la stratégie des viandes rouges bovines, qui vise :
            • l’introduction des races mixtes ;
            • la spécialisation des producteurs et des autres professions dans la filière ;
            • et la formation et l’encadrement des opérateurs.

            L’élevage de la race tarentaise - appréciée surtout pour son adaptation alimentaire et climatique-, il est pratiqué depuis fort longtemps, notamment dans la région du nord-ouest de la Tunisie, par un petit groupe d’éleveurs qui, au fil des ans, ont réussi à importer trois noyaux d’une centaine de têtes des génisses tarentaises.
            Un certain nombre de contraintes techniques entravent, aujourd’hui, le développement de cette race, d’après le Groupement tunisien des éleveurs de la race tarentaise (le GERT), présidé par Dr Karim DAOUD. Parmi ces contraintes, figurent :
            • la substitution de cette race, depuis les années 70, par celle Holstein dans l’idée de produire plus de lait ;
            • une base de sélection très réduite ;
            • la régression génétique des animaux en dehors de circuits de l’insémination à cause de l’utilisation massive de taureaux non testés ou issus de l’élevage même ceux qui engendrent des taux de consanguinité assez élevés au sein du cheptel ;
            • la difficulté d’acquisition de géniteurs confirmés de race pure même pour la production de semence ;
            • la difficulté de s’approvisionner sur le marché local en génisses de race pure (animaux avec pedigree) ;
            • l’absence d’un schéma de conservation et de sélection de la race ;
            • la non valorisation du lait de la de la tarentaise qui présente des qualités très recherchées dans la fabrication fromagère.

            Toutefois, malgré ces contraintes techniques, le GERT ne reste pas bras croisés et se fixe, à travers ce projet, un certain nombre d’objectifs à atteindre, notamment :
            • contribuer au développement de la production de lait et de viande bovine en Tunisie par une large diffusion et l’utilisation de la race mixte tarentaise ;

            • améliorer le revenu des petites et moyennes exploitations ;
            • renforcer la structuration professionnelle des éleveurs tunisiens ;
            • poursuivre le transfert du savoir-faire et les technologies innovantes.

            Le projet de développement de la race tarentaise est constitué de 5 composantes, en l’occurrence :
            • l’élargissement de la diffusion par insémination artificielle de taureaux tarentais ;
            • la valorisation du produit tarentais pour ses qualités d’engraissement et de production laitière à travers la création d’ateliers spécialisés en engraissement et de pépinières de génisses de race tarentaise ;
            • le développement d’une partie de la base de sélection de la race tarentaise ;
            • l’appui au GERT mais aussi un appui technico-économique aux éleveurs ;
            • la création d’une ou de plusieurs pépinières de génisses de race tarentaise en Tunisie.

            Il faudra également mettre en place des moyens humains et matériels, qui se fera dans le cadre de la coopération entre la France et la Tunisie. C’est ainsi qu’un technicien tunisien sera chargé de la coordination du projet auprès du GERT. Il aura pour interlocuteur un expert français qui apportera appui technique et conseils à son homologue du GERT. Deux experts, l’un tunisien et l’autre français assureront des missions ponctuelles et/ou de formation programmées, etc.
            Le budget prévisionnel du projet se monte à

            environ 1,1 million de dinars tunisiens, qui sera
            financé presque à part égale par les parties tunisienne et française, à savoir respectivement 529.000 dinars tunisiens et 571.000 dinars tunisiens. Il servira à l’achat de fournitures, et de services (marchés), et au fonctionnement.
            D’après les auteurs de cette étude, l’impact du projet se situerait à plusieurs niveaux, et qui se mesurera à l’aune de la qualité de l’intervention et de l’intensité de l’encadrement réalisé. De ce point vue, les auteurs estiment que :
            • le GERT pourrait servir de modèle en termes de prise en charge du développement au profit et de ses adhérents ;
            • une spécialisation es éleveurs (engraissement et génisses en particuliers) ;
            • une ouverture sur le marché de l’Union européenne ;
            • une contribution à la production de viande et de lait ;
            • l’exportation de génisses tunisiennes ;
            • et la participation à l’amélioration du niveau des éleveurs.

            En Tunisie, le nombre des femelles laitières de race est passé de 105.000 à 205.000 têtes entre 1992 et 2005, ce qui représente, respectivement, 29% et 46% de l’effectif. Pour la même période, la production laitière est passée de 450 millions de litres à 920 millions de litres, couvrant ainsi la demande nationale en lait.
            Quant à la production de viande rouge, elle s’est élevé à près de 107.000 tonnes en 2005 (45% du total des viandes rouges produites) contre 92.000 tonnes en 1994, soit un taux de couverture d’environ 95% de la demande nationale.
            En clair, la stratégie actuelle vise à asseoir un développement durable du secteur de l’élevage en veillant à garantir la collecte et la transformation de toute la production réalisée, à améliorer la qualité des produits tout au long de la filière et à renforcer la compétitivité afin de faire face aux exigences de la concurrence internationale tout en assurant la durabilité et la pérennité du secteur sur le plan intérieur. Pour ce faire, il est question d’accorder une attention particulière à l’organisation des éleveurs mais surtout à la professionnalisation du secteur.
            Dernière modification par kenzy, 22 février 2011, 09h35.

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            • #7
              Peut être derrière les 2.22 milliards, il y a autre chose que la formation.
              Il y a peut être la vente de bombes lacrymogènes, le savoir français en matière de la répression des révoltes populaires, ....

              Bouteflika casses toi et arrêtes de dilapider l'argent des algériens. Y'en a marre...
              "If you can't say anything nice, don't say anything at all."

              Commentaire


              • #8
                on parle plutot de 1,8 millions d 'euros sur un accompagnement sur 3 ans.



                http://www.bretagne-international.co...sion14_mai.pdf
                « Great minds discuss ideas; average minds, events; small minds, people. » Eleanor ROOSEVELT

                Commentaire


                • #9
                  ton article datte du 14mai !!
                  en un ans les choses ont changé
                  tu vas pas contester le serieux afp , par l'expression qui datte d'un ans
                  Dernière modification par kenzy, 22 février 2011, 11h49.

                  Commentaire


                  • #10
                    ben oui

                    il faut le lire c'est le même projet
                    « Great minds discuss ideas; average minds, events; small minds, people. » Eleanor ROOSEVELT

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                    • #11
                      APS a dû confondre peut etre avec le montant global des projets que va signer Rafarin.. Ce montant pour l'elevage tout seul c'est impossible 2,2 millions par eleveur??? je suis sur qu'ils vont corriger le chiffre.

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                      • #12
                        on signe des milliards aux français pour qu'ils forment des éleveurs pour extraire du lait :22:

                        on atteint un pic là ! faut vraiment se réveiller, l'ennemi n'est pas le Maroc, la france ou les sionistes...
                        l'ennemi ce sont ces gens qui font signer ces contrats => un pilage systématique.

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                        • #13
                          wallah ghir j'y comprend plus rien !!!!
                          l'heur est vraiment grave !!!
                          c'est plus de la survalorisation , c'est du hold up

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                          • #14
                            wallah ghir j'y comprend plus rien !!!!
                            l'heur est vraiment grave !!!

                            Etalé sur trois ans, cet accord ambitionne de développer tout le processus de la production de lait à travers la formation de l'ensemble des intervenants, notamment les éleveurs.

                            il y'aura en plus une coopération entre les entreprises algérienne et française

                            avec ça, l'Algérie n'importera plus de lait, et pourra très certainement même en exporter ...

                            je voit pas ou est le vol, on gagne le transfert d'expérience et de technologie et une garantie de ne plus importer de lait a l'avenir et même en exporter peut être

                            c'est gagnant-gagnant
                            veni vidi vici .

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                            • #15
                              2,2 milliards d'euro pour former 1000 éleveurs.. c'est de la folie.. il n'y a même pas le prix des vaches laitières à importer.. je suis sur que c'est une erreur.. ca doit être 2,2 millions d'euro.. c'est pas possible autrement.. sinon ca ferait 2,2 millions d'euro par éleveur, ce qui est une hérésie..

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