Les petits anges de la bataille
Impuissant ma vision se laisse absorbée par la peur des siècles
Sur les vastes terres de mes aïeux
Je perçois de loin
Les astres de la colère
Qui se déchainent sur les maisons des pauvres lutins
Aujourd’hui le sombre de la nuit
Sera tranché par la lumière aveuglante de la licorne rouge
Et le reflet des épées rougeâtre de sang et de sueur
Qui pourra sauver les récoltes des âmes blanches
Et mettre à l’abri les enfants de la tanière ensorcelée
Qui pourra guider toutes ces âmes paisibles méfiantes
Dans la forêt des fauves grisâtres invincibles
Qui sera le guide des parchemins invisibles
Sur les sentiers sans limite
A travers les marécages de la brume éternelle
Pauvres fous
Vous n’avez point le loisir d’écouter la somnolence
D’un vieux rabatteur
Sécher vos larmes qui cachent ce regard soudoyant
La vérité est altérée depuis fort longtemps
Les demeures rebâties sur les sables mouvants
Un jour de moins ou plus seront avalées
Et la vérité désaltérée ferra dépoussiéré
Les statues des anges oubliées dans le couffin de l’histoire
Suivez le sentier perdu sans un soupçon de regard en arrière
Pour affronter vos craintes dans les ténèbres de la nuit glaciale
Ou bien demeurez à genoux sous la servitude de la peur et la faim d’une fin sans salut
Prenez de l’avance sur l’espoir
Chers amis !
Impuissant ma vision se laisse absorbée par la peur des siècles
Sur les vastes terres de mes aïeux
Je perçois de loin
Les astres de la colère
Qui se déchainent sur les maisons des pauvres lutins
Aujourd’hui le sombre de la nuit
Sera tranché par la lumière aveuglante de la licorne rouge
Et le reflet des épées rougeâtre de sang et de sueur
Qui pourra sauver les récoltes des âmes blanches
Et mettre à l’abri les enfants de la tanière ensorcelée
Qui pourra guider toutes ces âmes paisibles méfiantes
Dans la forêt des fauves grisâtres invincibles
Qui sera le guide des parchemins invisibles
Sur les sentiers sans limite
A travers les marécages de la brume éternelle
Pauvres fous
Vous n’avez point le loisir d’écouter la somnolence
D’un vieux rabatteur
Sécher vos larmes qui cachent ce regard soudoyant
La vérité est altérée depuis fort longtemps
Les demeures rebâties sur les sables mouvants
Un jour de moins ou plus seront avalées
Et la vérité désaltérée ferra dépoussiéré
Les statues des anges oubliées dans le couffin de l’histoire
Suivez le sentier perdu sans un soupçon de regard en arrière
Pour affronter vos craintes dans les ténèbres de la nuit glaciale
Ou bien demeurez à genoux sous la servitude de la peur et la faim d’une fin sans salut
Prenez de l’avance sur l’espoir
Chers amis !
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