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  • Aucune fleur à la rue depuis le 25 février...

    Aucune fleur déposée depuis le 25 février
    La rue est déserte, personne ne peut le nier;
    Cette rue qui faisait chanter et sourire
    Serait-elle, petit à petit, entrain de mourir ?

    Je ne laisserai point le mois de mars la voir
    Sans un nouveau texte, même petit, à son parloir.
    Un appel de détresse à ceux qui s’y promenaient,
    A ceux et celles qui ne veulent pas la voir fanée.

    Au grand jamais, elle n’est restée plus d’un jour
    Sans que personne ne vienne dans sa cours,
    Même furtivement ou par une visite brève
    Humer ses senteurs, ou y raconter ses rêves.

    Où est ce temps pas si lointain pourtant
    Où les vers et les rimes, chaque instant,
    Venaient embellir de milliers de couleurs
    Cette rue des perles, et apaiser les douleurs.

    À son portillon les poèmes se bousculaient
    Chaque strophe, chaque quatrain voulait parler
    Sans rien cacher de l’état d’âme de l’orateur
    Et transmettre le message dont il était porteur.

    Poètes et poétesses de FA, d’hier et d’aujourd’hui,
    Que votre encre soit de miel ou de gouttes de pluie,
    Venez à la rue, chanter vos peines et vos espoirs
    Rénover la rue est pour chacun de nous, un devoir.
    28/02/2011 - 9h.
    Dernière modification par Zacmako, 28 février 2011, 15h08.
    Mieux vaut un cauchemar qui finit qu’un rêve inaccessible qui ne finit pas…

  • #2
    entierment d'ccord avec toi poéte

    sans ses vers et ss rimes
    Sans ses poèmes, ni ses proses
    La rue n'a pas de rose
    Tout simplement
    Contrairement a la douleur, le bonheur ne s'écrit, pas il se vit... Moi je ne sais qu'écrire

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    • #3
      stranger011
      la rue n'a pas de rose parce que c'est la rue des perles.

      Commentaire


      • #4
        Un appel de détresse à ceux qui s’y promenaient,
        A ceux et celles qui ne veulent pas la voir fanée.
        Du rend fort soldat? mon unité a moi passait par ces chemins, quand elle reçu un appel a l'aide
        je ne peux qu'adhérer mon soutien, a la rue qui nous a tant bercé

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        • #5
          Une rue déserté, mais toujours habité
          Parfois hanté, mais souvent visité
          Par l'encrier décrépi, fatigué de couvrir
          Une vie qui se vit avant de s'écrire

          Une rue, dans un village malsain
          Où tout est a l'affut, sur ses gardes
          Ce monde a constipé mes quatrains
          Et on font de moi un sinistre barde

          Jadis, la naïveté me poussait
          A croire en la conjugaison
          Bien plus que celle des verbes enjolivé
          Mais celle des cris et des passions

          Il faudra plus qu'une histoire d'amour
          Qu'une déchirure a l'aube mordoré
          Pour faire jaillit de nos plumiers
          L'étincelle, l'ultime secours

          Et pourtant...Je vis en ce moment
          Ce qui alimenterais les roses blanches
          Les saisons morne d'Irkousk, en testament
          A cette vie...cette avalanche

          J'y crois encore, Zack, voit tu
          D'un soir de Mars dépeuplé
          Brulé les couleurs, les déployé
          Et les dédier a ces trottoirs nu...


          Dernière modification par Chaarar, 01 mars 2011, 13h44.
          Je n'ai que mes mots pour pleurer...

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          • #6
            Merci à vous tous,
            Merci à ceux et celles qui continuent à embellir la rue avec leurs textes, entre autres, Stranger et Chaarar...
            Mieux vaut un cauchemar qui finit qu’un rêve inaccessible qui ne finit pas…

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            • #7
              M...comme, au petit matin, ce jour...

              …d’un cœur coloré,
              tous ces tales
              blancs et rapprochés,
              se font l’étale
              parmi les blés,
              tout le printemps,
              durant l’été,
              en fleurs des champs,
              aux bois des prés,
              rien ne l’arrête,
              même pas le vent,
              rien ne l’achète,
              éperdument,
              d’un cœur coloré
              à ses soleils,
              le temps sacré
              rend ses merveilles,
              faut-il compter
              pour cet espoir,
              faut-il aimer
              pour le savoir,
              certaines rosées
              sont belles et miels,
              certains métiers
              sont même abeilles
              ou papillons d’égalité,

              …d’un cœur coloré,
              des héritages,
              tout est semé
              des pâturages,
              après des villes
              et des années,
              des feux d’argiles
              de Prométhée,
              encore un peu
              de cet amour,
              ni trop ni mieux
              qu’il fasse toujours,
              encore beaucoup
              de ces présents,
              où rien ni tout,
              comme tout instant,
              à ces beaux jours,
              d’une terre colorée,
              d’un coeur ami,
              enracinés,
              jusque la vie…

              …Salam, merci…
              ...Rester Humain pour le devenir de l'Homme... K.H.R.

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              • #8
                C'est vrai qu elle se fait vide la rue des ptites perles, me concernant je n écris plus trop , le manque d inspiration sans doute

                enfin je tâcherais de faire un effort

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                • #9
                  Merci pour ces vers ZAC,
                  c'est vrai cette rue a besoin de ses plumes, pour rester toujours comme un beau printemps,
                  Moi en dirais ma plume m'a laissé tombé pour le moment!!!,
                  j'ai envie de partager tas de choses avec vous, mais qu'elle saura les interpreter!
                  je vous lis temps en temps ême si je ne laisse pas d'empeinte.

                  Merci à ceux qui grace à eux la rue est toujours belle.
                  une chose n'a pas de valeur parce qu'elle est chère, mais elle est chère parce qu'elle a une valeur!

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