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DES ÉLECTIONS ANTICIPÉES POUR CRÉER LE DÉCLIC: L’APN et les APC dissoutes?

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  • DES ÉLECTIONS ANTICIPÉES POUR CRÉER LE DÉCLIC: L’APN et les APC dissoutes?

    DES ÉLECTIONS ANTICIPÉES POUR CRÉER LE DÉCLIC
    L’APN et les APC dissoutes?



    Selon des sources gouvernementales, le président de la République compte procéder à des élections législatives et locales anticipées.

    Le président de la République compte opérer un véritable déclic au niveau national et local. En plus d’un remaniement ministériel imminent, on a appris de sources gouvernementales que le président de la République appellerait à des élections législatives et locales anticipées.
    Notre source précise que cette éventuelle dissolution de l’APN interviendrait après le remaniement ministériel attendu pour la fin de la semaine en cours. Le président veut, à travers ce chamboulement, donner des gages à la population.
    Ainsi, le gouvernement ne sera pas le seul à connaitre un lifting.
    Afin d’injecter du sang neuf dans l’administration, le chef de l’Etat ne se contentera pas uniquement d’un changement horizontal. Sachant que l’administration est la pierre angulaire de toute démarche, il veut reconfigurer dans sa totalité la carte des institutions au niveau local.
    Le recours à des élections anticipées serait une solution pour dégripper la machine politique. Revendiquée depuis plus d’une année par plusieurs partis politiques, l’hypothèse des élections anticipées fait l’objet de réflexion au niveau des décideurs.
    Cette question aurait-elle fait l’objet d’une rencontre entre le chef de l’Etat et la secrétaire générale du Parti des travailleurs? Rien n’est moins sûr car cette dernière n’a jamais évoqué de rencontre avec le chef de l’Etat, même si la dissolution de l’APN demeure l’une de ses revendications premières.
    En effet, nul n’ignore que Louisa Hanoune a mené une campagne tambour battant pour la dissolution du Parlement et l’organisation d’élections anticipées.
    «La dissolution de l’APN, institution qui a perdu toute crédibilité, est devenue un impératif car elle ne joue plus son rôle», a précisé à plusieurs reprises Mme Hanoune. Pour elle, l’APN est devenue un lobby entre les mains des tenants du pouvoir, et les députés sont dans une mission de validation des instructions. La revendication du PT a été soutenue par plusieurs autres formations.
    Des partisans de l’opposition et même de la coalition gouvernementale partagent ce constat.
    De plus, le RCD estime que la Chambre basse du Parlement n’a plus sa raison d’être. Le RCD considère que l’APN qui est «issue d’une fraude électorale» doit être dissoute pour cesser d’être une chambre de repos, d’enregistrement et de violation de la Constitution. Le Front national algérien (FNA) n’est pas resté indifférent. Son président, Moussa Touati, a demandé également la dissolution de l’APN.
    Quant au MSP de Bouguerra Soltani, constituant la majorité parlementaire avec les deux autres partis de l’Alliance présidentielle sur le plan numérique (51 députés), il était le dernier à émettre une telle proposition. Le vice-président du MSP, Abderrezak Mokri, intervenant sur les ondes de la Radio nationale Chaîne III, dit être «d’accord pour la dissolution du Parlement, de discuter et de débattre cette question, car le Parlement est absent».
    Pour lui, «le Parlement ne joue aucun rôle sur la scène politique, il est en marge de la société, il serait donc logique de le dissoudre». Il y a lieu de rappeler que cette Assemblée a été la plus mal élue depuis 1989.
    Selon des chiffres officiels, seuls 36,5% des Algériens ont, en effet, participé aux législatives du 17 mai 2007. Ce n’est pas tout. Le Parlement est devenu une véritable Chambre d’enregistrement.
    Les derniers événements qui ont secoué le pays ont démontré qu’il est complètement déconnecté de la réalité nationale. Alors que la rue était en ébullition, l’institution, avec ses deux Chambres, n’a pas bougé le petit doigt.
    Pis encore, elle a fait la sourde oreille aux appels de partis politiques réclamant un débat national sur la situation politique et sociale du pays. D’ailleurs, le Parlement a clôturé sa session d’automne laissant la société civile en effervescence.
    L’ouverture demain, de la session parlementaire de printemps intervient dans un climat spécial, marqué par le flou qui entoure l’environnement politique.
    Les observateurs de la scène politique s’interrogent d’ores et déjà sur le rôle et les missions de cette session. Ce retour va-t-il apporter un plus à la société civile? Le Parlement sera-t-il à l’écoute de la société? Cette fois-ci la donne a changé.
    Lors du dernier Conseil des ministres, le chef de l’Etat a interpellé toutes les institutions afin qu’elles s’impliquent dans l’application concrète des mesures.
    L'expression
    Mieux vaut un cauchemar qui finit qu’un rêve inaccessible qui ne finit pas…

  • #2
    Tout le monde dégage sauf moi, quel méprisable orgueilleux, il doit appeler à des élections présidentielles anticipées au lieu de sortir manège après manège.

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    • #3
      Je suis d accord avec toi, mais, s il dissout l assemblee et provoque des élections anticipées, il est possible que le président, si tout se passe normalement et, que l'opposition a la majorite d élus, il devra soit cohabiter avec l'opposition en prenant un 1er ministre de l'opposition comment l avait fait en son temps chirac ou mitterand ou le pire des cas, sa démission et il y aura des élections pour élire un nouveau président.

      Tout est l'enjeu pour boutef s'il provoque des élections anticipées. Il prend le risque de se faire éjecter s'il ne s'entend pas avec l opposition et si les élections ne sont pas entachées de fraude pour etre élu et ca c'est une autre histoire !!!!

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      • #4
        Le president, comme le decline son entourage sait qu'il ne pourra pas briguer un autre mandat et qu'il lui reste au plus 3 ans a faire. Dans ce sens, il est probablement dans une logique de mise en place des institutions qui pourront gerer la suite au mieux, sans mettre en danger le pays, n'en deplaise aux incendiaires de tout bords... Il faudra esperer que la transition se fasse sur des enjeux democratiques sains en place et lieux des jeux d'appareils, politiques ou para-politiques... La question qui vq se poser, c'est quelle transition va s'operer avec quel modele de gouvernance...
        Othmane BENZAGHOU

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        • #5
          Et hop !

          L'acte deux du fameux scénario : Le rafistolage d'une éventuelle hypothétique postériorité pour l'ignare squatteur d'El Mouradia



          ../..
          “La vérité est rarement enterrée, elle est juste embusquée derrière des voiles de pudeur, de douleur, ou d’indifférence; encore faut-il que l’on désire passionnément écarter ces voiles” Amin Maalouf

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          • #6
            La posteriorite sera dans le coeur ou pas des algeriens, au vu de ce qui a ete accomplis dans le contexte qui prevalait. L'Algerie vaut mieux que la personnalisation des luttes politiques, qui deviennent des luttes d'egos et de rivalites personnelles. L'Algerie a besoin d'une gouvernance qui lui garantisse son developpement et l'epanouissement de sa population. A bon entendeur...
            Othmane BENZAGHOU

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            • #7
              ott

              Excuses moi mais ton poste est vide


              ../..
              “La vérité est rarement enterrée, elle est juste embusquée derrière des voiles de pudeur, de douleur, ou d’indifférence; encore faut-il que l’on désire passionnément écarter ces voiles” Amin Maalouf

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              • #8
                DES ÉLECTIONS ANTICIPÉES POUR CRÉER LE DÉCLIC: L’APN et les APC dissoutes?
                c'est une perte de temps, il faut vite introniser sur les chars l'illuminé sadi le seul capable de diriger le pays...
                There's nothing wrong with being shallow as long as you're insightful about it.

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                • #9
                  Desole, heureusement que le vide est bien comble par la theorie du chaos...
                  Othmane BENZAGHOU

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                  • #10
                    Mehri, Hamroche, Ait Ahmed , savent bien que leurs entrée n'est pas si loin



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                    • #11
                      le meeting de bab el oued est un point d'entrée pour le FFS

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                      • #12
                        Je dirais que les législatives peuvent être une bonne première solution de transition .... donnant le retour de confiance entre le peuple et ses représentants.


                        On verra qui vont participer aux élections ... mais avoir les jeunes comment ont été payé et manipulé avec un billet de 1000 DA pour chanter Vive Bouteflika, Bouteflika machi Mubarek ... je dis qu'on est loin de la solution.

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                        • #13
                          j'ai déjà entendu ces rumeurs, la lettre de Ait AHmed à Mehri, et Mehri à Boutef ne sont pas anodines ..

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                          • #14
                            Aller a des elections groupées legislatives et communales est une urgence vitale pour le pays , dans un delais de six (06) mois , et qui seront suivi par des elections presidentielle anticipées dans un max d'une (01) année . Il est evident qu'elles doivent etre sous supervision des nations unies , USA et UE , sinon pas la peine de fatiguer le peuple et l'etat (ou se qui en reste ), et
                            laisser place au statut quo et au "tag ala man tag" qu'on a deja experimenté pendant une decennie (la rouge-sang , pour ceux qui l'ont oubié ) .
                            Ne le dites surtout a personne ! En Algerie , on refait les meme infrastructures de base ( routes , trottoirs , egouts , abris-bus etc ) a longueur d'année .

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                            • #15
                              @Ott,

                              Le president, comme le decline son entourage sait qu'il ne pourra pas briguer un autre mandat et qu'il lui reste au plus 3 ans a faire. Dans ce sens, il est probablement dans une logique de mise en place des institutions qui pourront gerer la suite au mieux, sans mettre en danger le pays, n'en deplaise aux incendiaires de tout bords... Il faudra esperer que la transition se fasse sur des enjeux democratiques sains en place et lieux des jeux d'appareils, politiques ou para-politiques... La question qui vq se poser, c'est quelle transition va s'operer avec quel modele de gouvernance...

                              Quel crédit peut avoir un traître quand on sait qu'il a tout fait pour transformer une république en sultanat et faire de son frère Said, son successeur.

                              Basta, qu'il dégage et qu'il rende des comptes au peuple souverain.

                              C'est d'une structure de transition dont la mission principale est la mise en place d'une constituante pour une refondation nationale que nous avons besoin.

                              Ces dissolutions dont il est question ne sont que des leurres quand on connait le poids de l'administration et ses capacités de nuisance dans les truquages.

                              P.
                              Dernière modification par Pangeen, 01 mars 2011, 11h18.

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