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Près de 500 employés de la division de raffinage de la raffinerie de Skikda ont observé, hier aux environs de 12h30, un sit-in au sein du complexe.
Le mot d’ordre a été suivi aussi bien par le personnel administratif que par les agents d’intervention et les agents de sécurité. Une décision a été prise toutefois pour assurer le service minimum, une cinquantaine de travailleurs étant restés à leurs postes respectifs. Brandissant des pancartes sur lesquelles il est exigé le départ immédiat de la section syndicale, les contestataires reprochent à cette dernière d’avoir failli à sa mission de défense des travailleurs. «L’essor de notre société est conditionné par le départ de la section syndicale issue d’élections truquées. C’est simple comme bonjour », nous dira un groupe de travailleurs. Une pression a été exercée sur les syndicalistes, qui ont délégué deux représentants pour s’entretenir de la décision à prendre avec les responsables de l’UGTA, à la cité des Frères Ayachi (la CIA). Le deuxième point à l’ordre du jour des revendications est lié à l’alignement de la raffinerie sur la Sonatrach. Cette contestation coïncide avec le déplacement de Benchouia Abdelkader, vice-président AVAL, à Skikda. Cet ex-directeur de la raffinerie a rencontré, selon des sources concordantes, les responsables du GK1K, au niveau de la DRH. Quatre travailleurs, dont deux femmes, représentant la Somik, qui est à son cinquième jour de débrayage, se sont déplacés pour s’entretenir avec lui. Une grande tension prévaut ces jours-ci dans la zone industrielle de Skikda. Les travailleurs ne comptent pas baisser les bras avant la satisfaction de leurs revendications.
Le Soir d'Algérie
Zaïd Zoheir
Le mot d’ordre a été suivi aussi bien par le personnel administratif que par les agents d’intervention et les agents de sécurité. Une décision a été prise toutefois pour assurer le service minimum, une cinquantaine de travailleurs étant restés à leurs postes respectifs. Brandissant des pancartes sur lesquelles il est exigé le départ immédiat de la section syndicale, les contestataires reprochent à cette dernière d’avoir failli à sa mission de défense des travailleurs. «L’essor de notre société est conditionné par le départ de la section syndicale issue d’élections truquées. C’est simple comme bonjour », nous dira un groupe de travailleurs. Une pression a été exercée sur les syndicalistes, qui ont délégué deux représentants pour s’entretenir de la décision à prendre avec les responsables de l’UGTA, à la cité des Frères Ayachi (la CIA). Le deuxième point à l’ordre du jour des revendications est lié à l’alignement de la raffinerie sur la Sonatrach. Cette contestation coïncide avec le déplacement de Benchouia Abdelkader, vice-président AVAL, à Skikda. Cet ex-directeur de la raffinerie a rencontré, selon des sources concordantes, les responsables du GK1K, au niveau de la DRH. Quatre travailleurs, dont deux femmes, représentant la Somik, qui est à son cinquième jour de débrayage, se sont déplacés pour s’entretenir avec lui. Une grande tension prévaut ces jours-ci dans la zone industrielle de Skikda. Les travailleurs ne comptent pas baisser les bras avant la satisfaction de leurs revendications.
Le Soir d'Algérie
Zaïd Zoheir
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