Côte d'Ivoire: Des enquêteurs de l'ONU visés par des tirs
Mis à jour le 01.03.11 à 16h07
Des forces fidèles à Laurent Gbagbo ont tiré sur des enquêteurs de l'ONU qui tentaient de vérifier un prétendu viol de l'embargo sur les armes, a déclaré ce mardi un porte-parole des Nations unies.
Les enquêteurs ont essuyé des tirs de l'armée ivoirienne alors qu'ils tentaient ce week-end de visiter l'aéroport de la capitale, Yamoussoukro, où se trouveraient les trois hélicoptères de combat envoyés de Biélorussie, a dit le porte-parole de la mission onusienne.
Pas de preuve concluante pour le viol de l’embargo
L'ONU a accusé lundi la Biélorussie d'avoir livré des hélicoptères de combat à Laurent Gbagbo, président sortant de la Côte d'Ivoire qui refuse de céder le pouvoir à Alassane Ouattara, reconnu vainqueur de l'élection présidentielle du 28 novembre par la quasi-totalité de la communauté internationale.
Le gouvernement Gbagbo et la Biélorussie ont démenti avoir violé l'embargo en vigueur depuis 2004. Des émissaires onusiens ont admis que les preuves n'étaient pas concluantes.
Avec Reuters
Mis à jour le 01.03.11 à 16h07
Des forces fidèles à Laurent Gbagbo ont tiré sur des enquêteurs de l'ONU qui tentaient de vérifier un prétendu viol de l'embargo sur les armes, a déclaré ce mardi un porte-parole des Nations unies.
Les enquêteurs ont essuyé des tirs de l'armée ivoirienne alors qu'ils tentaient ce week-end de visiter l'aéroport de la capitale, Yamoussoukro, où se trouveraient les trois hélicoptères de combat envoyés de Biélorussie, a dit le porte-parole de la mission onusienne.
Pas de preuve concluante pour le viol de l’embargo
L'ONU a accusé lundi la Biélorussie d'avoir livré des hélicoptères de combat à Laurent Gbagbo, président sortant de la Côte d'Ivoire qui refuse de céder le pouvoir à Alassane Ouattara, reconnu vainqueur de l'élection présidentielle du 28 novembre par la quasi-totalité de la communauté internationale.
Le gouvernement Gbagbo et la Biélorussie ont démenti avoir violé l'embargo en vigueur depuis 2004. Des émissaires onusiens ont admis que les preuves n'étaient pas concluantes.
Avec Reuters
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