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Depuis quelques temps, des voix s'elevent ici et la pour eleborer les scenarios de la transition. En effet, le principe de transition semble a present acquis, le contenu reste assujetis a toutes les speculations d'appareils politiques, d'analystes et de journalistes de tout bords plus ou moins inspires par des voix plus ou moins audibles, plus ou mins avouables, plus ou moins autonomes.
La question fondamentale qui reste posee est quelle succession pour le president actuel, dans quel contexte, avec quelle legitimite et quelle liberte d'action.
Certaines voix s'elevent pour une succession insufles par des institutions democratiques, et il semble que certaines annonces ou effet d'annonces laissent penser que le choix du president semble etre de mettre en place des institutions democratiques capables de prendre la releve. D'autres voix nous annoncent une succession negociee avec certaines personnalites, telecommandees, comme l'insufle une certaine tradition algerienne depuis 50 ans. Le president ainsi sera libre de ses decisions, mais surveilles par une institution patriotique renouvellee, l'armee, qui pourra etre la garante de la transition democratique. Une troisieme voie existe et appelle a la revolution, considerant qu'elle pourra ainsi mettre en branle les enjeux et equilibres du moment pour permettre la remise a plat des institutions. Il semble que cette troisieme voie ne soit pas celle que previliegient les algeriens, fatigues par le chaos de la decenie noir, et par des aventures qui ont finalement accouche de forces dont le role est le maintien de l'ordre et la sauvegarde des interets et de la stabilite du pays...
Le passe recent et moins recent de l'Algerie est riche en enseignement, quant a la premiere ou deuxieme voie, des enjeux internes et externes vis-a-vis des 2 options, et le proche avenir promet d'etre decisif quant a la direction que prendra ce pays.
La question fondamentale qui reste posee est quelle succession pour le president actuel, dans quel contexte, avec quelle legitimite et quelle liberte d'action.
Certaines voix s'elevent pour une succession insufles par des institutions democratiques, et il semble que certaines annonces ou effet d'annonces laissent penser que le choix du president semble etre de mettre en place des institutions democratiques capables de prendre la releve. D'autres voix nous annoncent une succession negociee avec certaines personnalites, telecommandees, comme l'insufle une certaine tradition algerienne depuis 50 ans. Le president ainsi sera libre de ses decisions, mais surveilles par une institution patriotique renouvellee, l'armee, qui pourra etre la garante de la transition democratique. Une troisieme voie existe et appelle a la revolution, considerant qu'elle pourra ainsi mettre en branle les enjeux et equilibres du moment pour permettre la remise a plat des institutions. Il semble que cette troisieme voie ne soit pas celle que previliegient les algeriens, fatigues par le chaos de la decenie noir, et par des aventures qui ont finalement accouche de forces dont le role est le maintien de l'ordre et la sauvegarde des interets et de la stabilite du pays...
Le passe recent et moins recent de l'Algerie est riche en enseignement, quant a la premiere ou deuxieme voie, des enjeux internes et externes vis-a-vis des 2 options, et le proche avenir promet d'etre decisif quant a la direction que prendra ce pays.