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L’UGTA ROUVRE SON CENTRE D’ÉCOUTE
Un numéro pour dénoncer le harcèlement sexuel
La commission des femmes syndicalistes de l’Union générale des travailleurs algériens (UGTA) a procédé, hier, à la réouverture du Centre d’écoute et d’aide aux victimes de harcèlement sexuel en milieu professionnel.
Inauguré une première fois en 2003, ce centre a dû refermer ses portes en raison des «ambitions démesurées» et des «jalousies», selon le secrétaire générale de la Centrale syndicale.
Sidi Saïd, qui était présent hier au moment de la réouverture, a souhaité que la question du harcèlement fasse l’objet d’un large débat aussi bien dans les fédérations qu’au niveau des syndicats d’entreprise. Il a promis de doter ledit centre d’internet pour faciliter son accès aux femmes.
Ce centre sera appelé à recevoir les plaintes des travailleuses et à les accompagner dans leurs démarches si elles souhaitent porter plainte. Ce n’est pas la première fois que la commission des femmes travailleuses ouvre le débat sur le harcèlement sexuel.
En 2003, elle avait élaboré un guide syndical bilingue sous le titre «Arrêtez le harcèlement sexuel» qui signait le lancement de la campagne de sensibilisation contre le harcèlement sexuel. Des placards publicitaires sur le sujet avaient été publiés. Ce guide destiné particulièrement aux victimes du harcèlement offrait toutes les explications liées à ce phénomène.
Ses concepteurs y avaient consigné notamment des conseils en matière de droit. Il y est recommandé alors de ne pas choisir le silence face aux assauts des harceleurs.
Il est conseillé d’essayer d’en parler avec des collègues, des amis, l'assistance sociale, le médecin du travail ou la section syndicale de l’entreprise. Le but étant de briser le silence. Les personnes concernées peuvent prendre attache avec le centre d’écoute au 021 66-36-60.
Le soir DZ
Un numéro pour dénoncer le harcèlement sexuel
La commission des femmes syndicalistes de l’Union générale des travailleurs algériens (UGTA) a procédé, hier, à la réouverture du Centre d’écoute et d’aide aux victimes de harcèlement sexuel en milieu professionnel.
Inauguré une première fois en 2003, ce centre a dû refermer ses portes en raison des «ambitions démesurées» et des «jalousies», selon le secrétaire générale de la Centrale syndicale.
Sidi Saïd, qui était présent hier au moment de la réouverture, a souhaité que la question du harcèlement fasse l’objet d’un large débat aussi bien dans les fédérations qu’au niveau des syndicats d’entreprise. Il a promis de doter ledit centre d’internet pour faciliter son accès aux femmes.
Ce centre sera appelé à recevoir les plaintes des travailleuses et à les accompagner dans leurs démarches si elles souhaitent porter plainte. Ce n’est pas la première fois que la commission des femmes travailleuses ouvre le débat sur le harcèlement sexuel.
En 2003, elle avait élaboré un guide syndical bilingue sous le titre «Arrêtez le harcèlement sexuel» qui signait le lancement de la campagne de sensibilisation contre le harcèlement sexuel. Des placards publicitaires sur le sujet avaient été publiés. Ce guide destiné particulièrement aux victimes du harcèlement offrait toutes les explications liées à ce phénomène.
Ses concepteurs y avaient consigné notamment des conseils en matière de droit. Il y est recommandé alors de ne pas choisir le silence face aux assauts des harceleurs.
Il est conseillé d’essayer d’en parler avec des collègues, des amis, l'assistance sociale, le médecin du travail ou la section syndicale de l’entreprise. Le but étant de briser le silence. Les personnes concernées peuvent prendre attache avec le centre d’écoute au 021 66-36-60.
Le soir DZ