Les opérateurs économiques occidentaux s'inquiètent des tensions qui secouent actuellement le monde arabe et le Maghreb.
Depuis le début de l'année et l'embrasement successif de plusieurs pays de la région, les milieux financiers internationaux suivent de près l'évolution de la situation, notamment l'impact sur l'industrie pétrolière et les investissements étrangers. Sur ces deux points, le climat sécuritaire est primordial. Rien qu'en Libye, avec l'arrêt de la production pétrolière, les cours du brut s'envolent en Europe et les violences ont poussé les groupes étrangers à rappatrier leurs salariés dans leurs pays respectifs.
La très sérieuse banque américaine Merrill Lynch, a réalisé une étude pour évaluer le risque d'instabilité des pays du monde arabe. Selon cette étude, rapportée par le quotidien français le Figaro, l'Algérie se classe à la quatrième place des pays les plus susceptibles de basculer dans une révolution, derrière le Yémen, la Syrie et la Libye. Le classement prend en compte de nombreux indicateurs comme le niveau de pauvreté, le chômage des jeunes ou le type de régime politique.
Evidemment, c'est le secteur pétrolier qui intéresse le plus les pays occidentaux, étant donné leur dépendance énergétique. La banque d'investissement Barclays Capital s'interroge ainsi sur la situation en Algérie et sur les capacités du pays à maintenir sa production pétrolière en cas de destabilisation du régime. Selon cette banque, le gouvernement algérien algérien a déjà pris d'importantes mesures de sécurité pour protéger ses infrastructures. « La situation géographique du pays rend des attaques sur les champs pétroliers et gaziers extrêmement difficiles », selon un de ses analystes. « Nous considérons donc que l'industrie hydrocarbure en Algérie est moins menacée par la vague de révolte » que la Libye ou d'autres pays producteurs de pétrole de la région, ajoute-t-il.
Cependant, la situation actuelle rend très méfiants tous les milieux financiers sur la fiabilité des investissements étrangers dans la région, même à long terme. Il est probable que se profile « une baisse importante » des investissements, analyse Barclays capital.
TSA
Depuis le début de l'année et l'embrasement successif de plusieurs pays de la région, les milieux financiers internationaux suivent de près l'évolution de la situation, notamment l'impact sur l'industrie pétrolière et les investissements étrangers. Sur ces deux points, le climat sécuritaire est primordial. Rien qu'en Libye, avec l'arrêt de la production pétrolière, les cours du brut s'envolent en Europe et les violences ont poussé les groupes étrangers à rappatrier leurs salariés dans leurs pays respectifs.
La très sérieuse banque américaine Merrill Lynch, a réalisé une étude pour évaluer le risque d'instabilité des pays du monde arabe. Selon cette étude, rapportée par le quotidien français le Figaro, l'Algérie se classe à la quatrième place des pays les plus susceptibles de basculer dans une révolution, derrière le Yémen, la Syrie et la Libye. Le classement prend en compte de nombreux indicateurs comme le niveau de pauvreté, le chômage des jeunes ou le type de régime politique.
Evidemment, c'est le secteur pétrolier qui intéresse le plus les pays occidentaux, étant donné leur dépendance énergétique. La banque d'investissement Barclays Capital s'interroge ainsi sur la situation en Algérie et sur les capacités du pays à maintenir sa production pétrolière en cas de destabilisation du régime. Selon cette banque, le gouvernement algérien algérien a déjà pris d'importantes mesures de sécurité pour protéger ses infrastructures. « La situation géographique du pays rend des attaques sur les champs pétroliers et gaziers extrêmement difficiles », selon un de ses analystes. « Nous considérons donc que l'industrie hydrocarbure en Algérie est moins menacée par la vague de révolte » que la Libye ou d'autres pays producteurs de pétrole de la région, ajoute-t-il.
Cependant, la situation actuelle rend très méfiants tous les milieux financiers sur la fiabilité des investissements étrangers dans la région, même à long terme. Il est probable que se profile « une baisse importante » des investissements, analyse Barclays capital.
TSA
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