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Spoliée par le makhzen chérifien : La famille Gaouar victime d’un complot

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  • Spoliée par le makhzen chérifien : La famille Gaouar victime d’un complot

    La famille Gaouar, originaire de Tlemcen,* importe, négocie et torréfie du café depuis 1860. Une marque familiale qui a rapidement acquis ses lettres de noblesse. Le malheur s’est abattu sur les Gaouar en 1979, lorsqu ils eurent l’indélicatesse ou la malchance de s’associer au Marocain, Omar Berrada, un homme qui a pignon sur rue au royaume. Enquête réalisée par*: Chahredine Berriah Genèse des faits*: En 1975, M. Mustapha Gaouar *monte la 1ère usine totalement informatisée et automatisée, avec le système de fabrication du café «sous vide*» en avance sur bien des sociétés européennes de l’époque. En 1979, il prend comme associé M. Saad Ketani qui, à son tour, *introduit avec lui M. Omar Berrada. Un an plus tard, le premier cèdera à ce dernier ses actions. En 1982, M. Gaouar se voit contraint de céder la société des cafés ENNASR (fondée en 1956) à M. Berrada, lequel s’engage, en contrepartie, à couvrir tous ses besoins d’approvisionnement en café vert auprès de la famille Gaouar. Un engagement qui ne sera jamais respecté. En 1985, MM. Kamel et Mounir Gaouar (fils de M. Mustapha Gaouar) décident de monter une unité de production de café torréfié pour perpétuer l’activité de torréfaction de café transmise de père en fils. Des préludes à une ascension fulgurante qui ne plaisent apparemment pas à cet associé cupide et jouant sur la nationalité algérienne des propriétaires, les Gaouar, pour les «*éliminer*» du marché prospère du café. Mounir Gaouar, fils de Mustapha explique «*Monsieur Berrada, non content de violer ses engagements, initie alors une plainte pénale en décembre 1985 sous couvert d’une fallacieuse action en contrefaçon, et fait emprisonner pendant une semaine mon père, mon frère Kamel et moi. Un associé au-dessous de tout soupçon Le jugement, qui interviendra quelques jours après notre liberté provisoire, condamnera mon père et Kamel à 2 ans d’emprisonnement ferme et moi à 1 an ferme. Nous avions immédiatement interjeté appel*». Désabusé, l’associé Berrada usera de pressions tant physiques que psychologiques et contraindra Monsieur Mustapha Gaouar à signer le 11 Janvier 1986 une convention par laquelle il lui cède l’intégralité de ses actions, son outil de travail, et renonce à tout jamais, tant à titre personnel qu’au nom de sa descendance, à exercer toute activité de torréfaction. Le 6 juin 1986, la Cour d’appel de Casablanca relaxera la famille Gaouar, parce que ayant constaté l’absence de tout fondement aux accusations formulées contre la famille algérienne. Le plus curieux, dans le cadre de cette procédure et selon des procès verbaux judiciaires, M. Berrada reconnaît expressément son tort quant à l’action qui l’avait amené à faire emprisonner la famille Gaouar. Mais c’en était trop pour cette famille, qui avait compris qu’elle était indésirable parce que sa réussite dérangeait les notables du royaume. Les enfants quittent le Maroc au grand dam du père gravement malade. En 1998, M. Mustapha Gaouar invoque la clause d’arbitrage contenue dans la convention du 11 janvier 1986 et saisit l’arbitre, M. El Khattabi. En effet, la Sentence Arbitrale du 4 août 1998, considère en substance que «Nous déclarons et ordonnons que l’interdiction absolue et définitive sur le sol marocain prévue dans la convention du 11 janvier 1986 est une clause inéquitable et incompatible avec les droits de l'homme, notamment avec le droit qu'a ce dernier à exercer l'activité dans l'environnement dans lequel il a grandi et vécu depuis son enfance (…). Nous considérons en conséquence cette clause n'ayant jamais existé, et ordonnons par conséquent son annulation et autorisons Monsieur Mustapha Gaouar et son groupe à reprendre une activité de torréfaction du café... ». Une réhabilitation somme toute juste, mais il ne fallait pas trop jubiler. C’est que l’associé Berrada, refusant ce sort et toute honte bue, se vengera à sa manière. D’abord, il interjettera appel de cette décision, laquelle sera confirmée par la Cour d’Appel le 22 avril 1999. Ensuite, il se pourvoira en cassation devant la Cour Suprême, laquelle Cour rejettera le pourvoi le 16 janvier 2002 revêtant ainsi la Sentence Arbitrale de l’autorité de la chose jugée et la rend définitive. *L’affaire aurait pu trouver son épilogue à cette époque, sauf que M. Berrada, ne lâchant pas prise, *s’empressera, alors, de trouver un acquéreur susceptible de reprendre la société des cafés ENNASR. Usant toujours de subterfuges, M. Berrada parviendra en 2002 à la céder pour la somme de 30 millions de dollars américains à la filiale alimentaire de la société PHILIPP MORRIS, la société KRAFT FOODS INTERNATIONAL. Une réhabilitation éphémère Loin de se résigner devant tant de dépassements et d’injustices, la famille Gaouar, forte de tous les jugements définitifs rendus en sa faveur, *assignera la société des cafés ENNASR devenue KRAFT FOODS MAROC et Monsieur Omar Berrada devant le Tribunal de commerce de Casablanca, afin de les voir solidairement condamnés à les indemniser des préjudices subis. * Le 26 juin 2003, le Tribunal de commerce de Casablanca reconnaît la réalité des préjudices subis par la famille GAOUAR en indiquant notamment «*…Désigne aux fins d’expertise MM SIBA et EL KRIMI pour … déterminer l’indemnité correspondant essentiellement à la privation des demandeurs d’exercer leur activité … parallèlement au manque à gagner depuis le 11/01/1986 au 15/01/2002 …*». Et d’ajouter plus loin: «*La société KRAFT FOODS MAROC et Monsieur Omar Berrada n’ayant pas interjeté appel de ce jugement mixte dans les délais légaux, ledit jugement devient définitif et acquiert en conséquence l’autorité de la chose jugée*». Retournement de situation, les deux experts désignés se révèleront d’une partialité inouïe en concluant leurs rapports par ces phrases: « Rienne prouve qu’une quelconque personne interdisait à Monsieur Gaouar d’exercer la torréfaction de café.Il apparaît clairement l’inexistence pour les experts de ce qui aurait été utile à la détermination du préjudice* subi par Messieurs Gaouar…*». Autant dire une hérésie. Et comme il fallait s’y attendre, en violation avec le caractère définitif du jugement rendu le 26 juin 2003, le Tribunal va par jugement en date du 15 avril 2004 (dans une formation différente de celle qui avait rendu le jugement en date du 26 juin 2003) purement et simplement entériner le rapport d’expertise judicaire et conclure à l’absence de tout préjudice subi par la famille Gaouar.* Cette dernière* interjettera appel du rapport d’expertise et de ce jugement. Le 8 juillet 2005, la cour d’appel de Casablanca, pour confirmer le jugement en date du 15 avril 2004, considère que «*le jugement rendu le 26 juin 2003 était un jugement avant dire droit qui n’avait pas statué sur le fond et que la preuve de la responsabilité de Monsieur Omar Berrada n’était pas apportée….*» C’est cette dernière décision qui est actuellement pendante devant la Cour Suprême sur pourvoi de la famille GAOUAR, qui a soulevé les éléments suivants en cassation: - La Cour d’Appel, après confirmation du droit des demandeurs à réclamer des dommages sur la base de la responsabilité de renoncement, a considéré qu’ils n’ont pu prouver que Monsieur Omar Berrada a commis une faute. Alors que d’une part l’article 78 du D.O.C cite que le dédommagement légal peut être réclamé à la personne responsable du préjudice soit par faute et même en cas d’inexistence des conditions de la faute volontaire. D’autre part, la définition juridique de la faute selon le dernier paragraphe de l’article 78 du D.O.C est « l’interdiction de faire ce qu’il fallait faire, ou faire ce qu’il ne fallait pas faire même sans inconsciemment causer un préjudice ». En plus le législateur autorise celui qui a subi un préjudice à cause du fait ou du comportement d’autrui, même de bonne foi et sans causer de mal, à réclamer des dommages parallèles aux gains réalisés par l’autre en conséquence de son comportement selon les articles 66 et 67 du D.O.C. Un avocat qui devient bourreau Enfin, il suffit de revenir à la Sentence Arbitrale pour constater que M. Omar Berrada a imposé à M. Mustapha Gaouar, dans le cadre des conditions de l’établissement de la convention du 11/01/1986, une « clause inéquitable et incompatible avec les droits de l’homme », ce qui constitue une faute selon le sens légal de ce mot et favorise la réclamation de dommages. Mais, c’était compter sans l’abus du pouvoir et l’injustice des nervis du royaume. Aujourd’hui, la famille Gaouar continue sa lutte judiciaire contre son bourreau Berrada, mais aussi contre l’appareil judiciaire lui-même, surtout lorsque l’on sait que l’ancien défenseur des Gaouar… est actuellement le ministre de la justice du Royaume. Une ascension, mais surtout une métamorphose mue par une hostilité inexplicable contre les Gaouar… * * * * * * * * * *

    El Watan

  • #2
    la famille Gaouar est marocaine car ils ont quitté l'Algérie pour le Maroc et précisément Fès il y'a un siècle et demi. les vielles grandes familles de tlemçen s'identifient beaucoup plus au Maroc qu'a l'Algérie.

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    • #3
      est ce que le mot algerie existait il y a 150 ans?

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      • #4
        Voici un article marocain de 2004 qui relatait déjà les déboires de cette famille.


        Une famille dans le marc
        Nabila Fathi & Adama Sylla
        12 Janvier 2004

        Affaire Gaouar

        Mustapha Gaouar, fondateur des cafés Gaouar s'est éteint vendredi 9 janvier 2004 en France. Celui dont le nom restera lié à cette marque ne verra pas l'épilogue de ce qui est devenu aujourd'hui "l'affaire Gaouar". Mais ce combat n’est pas pour autant terminé.


        L'activité que Mustapha Gaouar a développé a été une réussite unanimement reconnue, puisque le café commercialisé sous la marque Gaouar par sa société, Ennasr, était le plus vendu dans le royaume. Pourtant, ce succès n'a pas apporté que du bonheur à l'homme. Bien au contraire, il n'a pas été sans lui causer de grands ennuis, lui et sa progéniture. Issue d'une famille qui importe, négocie et torréfie du café depuis 1860, il en a mené une branche au Maroc. Ce fut en 1956, date à laquelle il a démarré l'exploitation des Cafés Gaouar. Tout allait bien comme dans un conte de fées jusqu'en 1981 quand le père Gaouar entreprend une ouverture de son capital au profit de Omar Berrada, son ex-expert comptable, et d'un autre associé, Sâad Kettani en l'occurrence. Les rapports entre Berrada et Gaouar iront de mal en pis. Omar Berrada rachète alors les parts du deuxième associé pour se retrouver avec le contrôle de la moitié du capital de la société avant de reprendre en 1983 l'affaire familiale, mais cette fois-ci dans sa totalité. Pour sceller le rachat, une convention fut signée : elle interdisait au fondateur toute activité de torréfaction en échange d'une obligation d'approvisionnement exclusif des Cafés Ennasr auprès de Promocaf, une entreprise de négoce de café vert détenue par la famille Gaouar.

        Mustapha Gaouar, malade, espérait par cet accord assurer ses gardes. Mais ce ne sera pas pour longtemps : au repreneur qui a annulé ses commandes de café vert auprès du fondateur de Gaour, ce dernier n'hésitera pas à répliquer en réinvestissant le marché de la torréfaction. Bien que chacune des deux parties n'ait pas respecté ses obligations, la justice, sur plainte pénale d'Omar Berrada, enverra en septembre 1985 Mustapha Gaouar et deux de ses fils (Mohamed Kamel et Mounir) en prison pour dit-elle avoir violé
        leur engagement. Ils sont accusés d'escroquerie, d’imitation et concurrence déloyale. La sentence du tribunal de première instance de Casablanca fut lourde. Son jugement prononcé au mois de décembre de la même année condamnait Mutapha et Mohamed Kamel à deux ans de prison ferme et Mounir à une année de prison ferme. De surcroît, elle les assignait à verser des indemnités importantes à la partie adverse. Interjetant appel, ils ont tous été libérés… provisoirement.
        Pendant la période séparant la condamnation en première instance et l'acquittement prononcé en appel, le 11 janvier 1986, en échange du retrait de la plainte de Berrada, la société Promocaf lui fut cédée. En outre, une convention faisant renoncer définitivement la famille Gaouar à l'exercice de toute activité liée au traitement du café fut à nouveau établie. Cet accord prive éternellement le fondateur de Gaouar et sa descendance du droit de torréfier.

        Cet accord ne tiendra la route que 12 ans. Pendant toute cette durée, Mustapha Gaouar, gravement malade, n'a pu que se résigner à voir ses cinq fils quitter le Maroc, leur pays d'adoption pour aller gagner leur vie en France. En effet, en 1998, à la faveur du retour d'un de ses fils au Maroc, Farid en l'occurrence, Mustapha Gaouar invoquait la clause d'arbitrage contenue dans la convention du 11 janvier 1986 et saisissait Saïd El Khattabi, fils du célèbre nationaliste marocain Abdelkrim El Khattabi et dont le nom avait été arrêté d'un commun accord par les parties pour y recourir en cas de litige.
        Par sentence arbitrale en date du 4 août 1998, El Khattabi considéra notamment que "vu les circonstances qui ont prévalu, lors de la signature de la convention du 11 janvier 1986, suite à l'incarcération de Mustapha Gaouar et de ses deux enfants, l'interdiction absolue et définitive sur le sol marocain, prévue dans la convention du 11 janvier, est une clause inéquitable et incompatible avec les droits de l'homme, notamment avec le droit qu'a ce dernier d’exercer l'activité dans l'environnement où il a grandi et vécu depuis son enfance". Et de conclure : "Nous considérons en conséquence cette clause n'ayant jamais existé, et ordonnons par conséquent son annulation et autorisons Mustapha Gaouar et son groupe à reprendre une activité de torréfaction du café…".
        Omar Berrada tente d'obtenir l'annulation de cette sentence. En vain, puisque la Cour d'appel de Casablanca l’a purement et simplement confirmé. En 2001, Berrada trouve un repreneur pour la société Ennasr qu'il cède pour 30 millions de dollars à la société Kraft Foods International, filiale alimentaire de la multinationale Philips Morris.

        Il n'empêche que Farid Gaouar, au courant de cette même année 2001 et fort de la sentence prononcée, va s'atteler à perpétuer la tradition familiale. Quatrième génération dans la descendance de la famille Gaouar, ce médecin de formation, réinvestit le marché de la torréfaction par le biais d'une nouvelle usine du nom de Gamucaf. Et d'autre part, il n'hésite pas à demander à la justice, au nom de sa famille, de statuer au sujet des dommages et intérêts en réparation des préjudices subis par les Gaouar sur la base du rapport établi par des experts désignés par la Cour. Ainsi, il lance une nouvelle marque "Cléopâtre". C'est pour justement entretenir le lien entre le métier que sa famille a toujours exercé depuis des générations et le mythe de Cléopâtre qu'il appela ainsi sa nouvelle marque. L'investissement dans la nouvelle usine ultra-moderne atteindra les 21 millions de dirhams. Il a été financé à hauteur de 70 % par des crédits bancaires et 30 % par fonds propres.
        Aujourd'hui, Farid se bat sur deux fronts. Obtenir gain de cause dans l'affaire de dédommagement de la famille et faire de son usine un fleuron dans le domaine de la torréfaction au Maroc. Un combat rude contre une partie défenderesse qui invoquait la prescription de l'action pour le motif qu'elle a été introduite après plus de seize ans. Un élément qui n'a pas été pris en considération par la Cour d'appel de commerce qui considéra dans son jugement du 26 juin 2003 l'action recevable en la forme et désigna Mohamed Siba et Mohamed Krimi comme experts tenus d'évaluer le montant de l'indemnité.Mustapha Gaouar ne verra pas l'épilogue de ce qui est devenu aujourd'hui "l'affaire Gaouar" mais ses fils restent déterminés à recouvrer le préjudice matériel car le dommage moral est inestimable.

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        • #5
          Une famille dans le marc
          Nabila Fathi & Adama Sylla
          12 Janvier 2004 slougi


          les article de plus d'un an ,sont interdit,ton info est a revoir... merci

          commente l'article d'el watan ,car c'est de cela qu'il s'agit et non d'un article paru dans les années 1900

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          • #6
            les vielles grandes familles de tlemçen s'identifient beaucoup plus au Maroc qu'a l'Algérie.

            Les Algeriens les plus nationalistes que je connaisse sont de Tlemcen ...
            meme pour blaguer je m'amuserai pas a les appeler "MArocains"
            "Quand le dernier arbre aura été abattu - Quand la dernière rivière aura été empoisonnée - Quand le dernier poisson aura été péché - Alors on saura que l'argent ne se mange pas." Geronimo

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            • #7
              est ce que l'algerie existait il ya 150 ans? MOUNIR






              Cependant le mot Algérie se trouvait déjà dans l'oeuvre de Fontenelle (Entretiens sur la pluralité des mondes, 1686) de même que le mot algérien (Eloges des académiciens, 1708), où M. Maurice Da Costa les a découverts récemment (voir Afrique, février-mars 1954).
              Si Fontenelle, ou un autre avant lui, a forgé le mot Algérie suivant un système de dérivation familier à la langue française, en prenant comme base Alger,

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              • #8
                C'est un fait connu de tous. La presse marocaine a denoncé cette affaire depuis 2004:
                http://www.lagazettedumaroc.com/arti...0&id_artl=3943
                http://www.telquel-online.com/140/eco_sujet_140.shtml

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                • #9
                  La famille Gaouar, originaire de Tlemcen,* importe, négocie et torréfie du café depuis 1860. Une marque familiale qui a rapidement acquis ses lettres de noblesse. Le malheur s’est abattu sur les Gaouar en 1979, lorsqu ils eurent l’indélicatesse ou la malchance de s’associer au Marocain
                  Erreur fatale s'il en est.
                  Ah .. la naiveté légendaire des Algériens
                  "Quand le dernier arbre aura été abattu - Quand la dernière rivière aura été empoisonnée - Quand le dernier poisson aura été péché - Alors on saura que l'argent ne se mange pas." Geronimo

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                  • #10
                    Precision famille gaouar

                    Les GAOUAR sont bien originaires de TLEMCEN (Algérie) et habitent pour la plupart tous dans cette ville.
                    Une seule branche de la famille GAOUAR, en l'occurrence Mustapha a quitté l'Algérie en 1956 pour Oujda puis Casablanca fin des années 50.
                    Pour répondre à une personne sur ce site, la famille GAOUAR n'a jamais habité FES et n'est pas MAROCAINE.
                    Je suis bien placé pour le savoir, car je suis un des fils de Mustapha dont mon prénom apparaît sur plusieurs coupures de presse.

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