Mr le chef de l’Etat
La presse nationale rapporte dans ses éditions de graves agissements de vos supporters. Ces groupes qui s’apparentent de plus en plus à des milices vous apportent un soutien inconditionnel. Ils agissent avec une liberté d’action déconcertante. Leurs actions se développent si ce n’est sous l’instigation des services de polices, du moins sous leur manifeste indulgence et bienveillance. Vos soutiens développent une ligne politique incivique et anti constitutionnelle, et des agissements violents attentatoires à la sécurité des personnes. Une ligne largement relayée par la télévision d’Etat qui, en ouverture de son journal du 12 février passé, avait fait la part belle à des propos séparatistes, régionalistes et antirépublicain.
La proximité de ces milices avec les services de polices, la tolérance politique dont-ils bénéficient, confirment un fait essentiel qui entache l’ensemble de vos mandat à la tête de l’Etat Algérien : La constitution de la république se trouve sans protecteur et sans protection, ses dispositions sont foulées aux pieds par ceux-là même qui sont sensé en tirer leur légitimité. L’escalade dans sa violation atteint ainsi son paroxysme avec la promotion du racisme et de l’exclusion comme centralités de l’action de vos partisans. Ces violations sont fortes de votre silence approbateur. Un silence qui vous engage et vous en fait porter la responsabilité.
La presse nationale rapporte dans ses éditions de graves agissements de vos supporters. Ces groupes qui s’apparentent de plus en plus à des milices vous apportent un soutien inconditionnel. Ils agissent avec une liberté d’action déconcertante. Leurs actions se développent si ce n’est sous l’instigation des services de polices, du moins sous leur manifeste indulgence et bienveillance. Vos soutiens développent une ligne politique incivique et anti constitutionnelle, et des agissements violents attentatoires à la sécurité des personnes. Une ligne largement relayée par la télévision d’Etat qui, en ouverture de son journal du 12 février passé, avait fait la part belle à des propos séparatistes, régionalistes et antirépublicain.
La proximité de ces milices avec les services de polices, la tolérance politique dont-ils bénéficient, confirment un fait essentiel qui entache l’ensemble de vos mandat à la tête de l’Etat Algérien : La constitution de la république se trouve sans protecteur et sans protection, ses dispositions sont foulées aux pieds par ceux-là même qui sont sensé en tirer leur légitimité. L’escalade dans sa violation atteint ainsi son paroxysme avec la promotion du racisme et de l’exclusion comme centralités de l’action de vos partisans. Ces violations sont fortes de votre silence approbateur. Un silence qui vous engage et vous en fait porter la responsabilité.
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