Au moins 7 manifestants ont été arrêtés dans la matinée de samedi de 5 mars par la police à Batna, à 435 kms au sud-est d’Alger, avant d’être relâchées, a appris DNA auprès de Rachid Hamatou, journaliste photographe au quotidien Liberté. Ce dernier a été interpellé avant d'être remis en liberté.
« La police a procédé à l’isolement des manifestants par groupes avant d’opérer des arrestations musclés. Les personnes arrêtées ont été ensuite relâchées », raconte le correspondant de Liberté, joint par téléphone.
Sur place, la police a versé dans la provocation des manifestants en leur disant de rentrer dans leur douar, affirme notre interlocuteur.Celui-ci affirme que la dispersion brutale des manifestants s’est faite sous les yeux du maire de la ville de Batna.
Les journalistes venus couvrir la manifestation de la CNCD-Batna ont été priés par la police de quitter les lieux en les mettant en garde contre toute risque de dérapage, selon le journaliste.
La CNCD de Batna a introduit une demande d’autorisation pour une marche populaire le 05 mars auprès des services de la DRAG (direction de la réglementation et de l’administration générale).
Néanmoins, la wilaya de Batna a refusé de délivrer un écrit motivant la décision d’interdiction orale signifiée aux initiateurs de la marche. Ces derniers ont décidé de maintenir leur activité pour appuyer les trois marches d’Alger.
Rachid Hamatou, journaliste-photographe au quotidien francophone Liberté à Batna, a été arrêté brutalement par la police à 11 h avant d’entre relâché deux heures plus tard. La police lui a confisqué appareil photo. Témoignage :
« La police m’a interpellé de manière brutale aux environs de 11H 30. Ils (les forces de l’ordre) voulaient m’arracher de force mon appareil photo. J’ai fait de la résistance. Ils me disaient que je n’avais pas le doit de prendre de photos. Malgré que j’ai présenté mon ordre de mission où il est mentionné clairement ma qualité de journaliste photographe, ils ne voulaient rien entendre. Au commissariat, ils m’ont brutalisé et traité de tous les noms de oiseaux. Ils me disaient d’aller renter dans mon douar. Ils m’ont relâché vers 13, sans établir un PV. Mais ils m'ont confisqué mon appareil photo. La police a agi en toute illégalité. ».
« La police a procédé à l’isolement des manifestants par groupes avant d’opérer des arrestations musclés. Les personnes arrêtées ont été ensuite relâchées », raconte le correspondant de Liberté, joint par téléphone.
Sur place, la police a versé dans la provocation des manifestants en leur disant de rentrer dans leur douar, affirme notre interlocuteur.Celui-ci affirme que la dispersion brutale des manifestants s’est faite sous les yeux du maire de la ville de Batna.
Les journalistes venus couvrir la manifestation de la CNCD-Batna ont été priés par la police de quitter les lieux en les mettant en garde contre toute risque de dérapage, selon le journaliste.
La CNCD de Batna a introduit une demande d’autorisation pour une marche populaire le 05 mars auprès des services de la DRAG (direction de la réglementation et de l’administration générale).
Néanmoins, la wilaya de Batna a refusé de délivrer un écrit motivant la décision d’interdiction orale signifiée aux initiateurs de la marche. Ces derniers ont décidé de maintenir leur activité pour appuyer les trois marches d’Alger.
Rachid Hamatou, journaliste-photographe au quotidien francophone Liberté à Batna, a été arrêté brutalement par la police à 11 h avant d’entre relâché deux heures plus tard. La police lui a confisqué appareil photo. Témoignage :
« La police m’a interpellé de manière brutale aux environs de 11H 30. Ils (les forces de l’ordre) voulaient m’arracher de force mon appareil photo. J’ai fait de la résistance. Ils me disaient que je n’avais pas le doit de prendre de photos. Malgré que j’ai présenté mon ordre de mission où il est mentionné clairement ma qualité de journaliste photographe, ils ne voulaient rien entendre. Au commissariat, ils m’ont brutalisé et traité de tous les noms de oiseaux. Ils me disaient d’aller renter dans mon douar. Ils m’ont relâché vers 13, sans établir un PV. Mais ils m'ont confisqué mon appareil photo. La police a agi en toute illégalité. ».
Batna c'est en Algerie ???
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