L’ombre de la fleur
Rappelles-tu la lumière de ces jours
Avant que tes feuilles se fanent,
Tu as passé devant mes yeux
Comme un éclair qui déchire
Les nuages, enflammant le ciel
Par ses couleurs fluorescentes.
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L es instants souillent tes larmes
Et laissent le temps se couler.
Souviens-tu? Quand le ciel protégea
Ton château de l’ombre de l’amour,
Souviens-tu? Combien de temps
Qu’il me fallait pour fleurir les jardins
De ton royaumes par la lumière
De cœur qui sur le corps de l’amour.
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Regardes-toi ou tu es ?
Eh les larmes ne changent
Pas ton sort.
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Le rêve arrive à sa fin
Quand te réveillera le matin.
Quand le soleil se lèvera la réalité
Présentera ses causes de douleur.
Tes feuilles tomberont après l’orage,
Ton sourire disparaît en tournant
Les pages blanches de ton livre.
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Mes sentiments gemmèrent
Et tombent comme les fleures
D’automne, mais leurs désires
Ne meurent jamais.
Le vent soulève la poussière
Sur la roche il y’a une parole,
Et cette parole est parfois
Elle appartient au muet.
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Je te laisse dire que L’amour
N’est pas éphémère.
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