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êtes vous satisfait des réformes prononcé par le Roi Mohamed 6 lors de son dérnier discour ?

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  • êtes vous satisfait des réformes prononcé par le Roi Mohamed 6 lors de son dérnier discour ?

    êtes vous satisfait des réformes prononcé par le Roi Mohamed 6 lors de son dérnier discour (historique) ?

    A vous ! maintenant
    47
    Oui trés satisfait !
    72,34%
    34
    Oui , Mais il aurait pu faire plus (réduire les prérogatives du roi)
    4,26%
    2
    Non , Pas du tout satisfait !
    4,26%
    2
    Sans opinion
    19,15%
    9

    Ce sondage a expiré.


  • #2
    OUI

    Biensur

    Tres satisfait , car cette décision ouvrira les portes à d'autres

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    • #3
      Poudre de pinrlimpinPIN
      momo degage
      vive la republique
      The truth is incontrovertible, malice may attack it, ignorance may deride it, but in the end; there it is.” Winston Churchill

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      • #4
        Tres satisfait.

        On verra sur les faits mais j'ai envie d'y croire.
        Everyone thinks of changing the world, but no one thinks of changing himself

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        • #5
          incroyable comment notre chère Roi a retourné la situation. Aujourdhui les marocains étaient très optimistes et calmes. ils ont confiance en lui.

          Vive la monarchie marocaine vive Mohamed VI
          Allah Al Watan Al Malik

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          • #6
            Il a mis la barre très haut à mon avis, surtout par rapport à 3 points:
            1-le premier ministre chef de l'exécutif.
            2-la justice est citée en tant que pouvoir (jusque là, elle était citée en tant qu'appareil)..dans les faits même dans des pays développés comme la France la justice est liée à l'exécutif.
            3-les présidents des régions (élus au suffrage universel) auront un réel pouvoir exécutif (pouvoir qui n'appartiendra plus aux walis et gouverneurs)
            c'est tout simplement énorme...reste à concrétiser tout ca.

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            • #7
              bien sur je dis oui et je vote des deux mains la revolte tranquille comme le journal le monde qualifie cet evenement.

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              • #8
                Je vote oui si ces réformes seront sérieuses.

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                • #9
                  inchaa allah on creera un union north african.

                  il y a deja le free trade maroc tunisie et egypt. la inchaa allah la lybie va rejoindre.

                  ces 10 prochaine annes serons des annes interessante pour l'avenir de notre region.

                  je suis optimiste.

                  Commentaire


                  • #10
                    Bonsoir à tous,

                    Je ne peux être que satisfait du discours du roi car il a posé les jalons de la réforme au delà des attentes permises(délégation de ces pouvoir) due moins avant son discours .(que je n'envisageais que pour un horizon plus lointain)

                    ils ne restent plus qu'aux acteurs de tout horizon(politique,sociale,économique,....) pour saisir cette perche tendue afin

                    de construire l'architecture de notre futur constitution qui soit a la hauteur des aspirations légitimes de l'ensemble du peuple marocain

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                    • #11
                      personnellement je pense qu'il faut que le maroc ait un exécutif à deux têtes: un premier ministre qui est le chef effectif du gouvernement, responsable de la réalisation du programme de la majorité parlementaire et le roi qui garde un pouvoir d'arbitrage.

                      Commentaire


                      • #12
                        oui Rodmaroc je suis d'accord

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                        • #13
                          Maroc, une révolution contrôlée

                          Par MIREILLE DUTEIL
                          Manifestement, Mohammed VI, le roi du Maroc, n'a pas perdu la main. Certains, dans le royaume chérifien, commençaient à s'inquiéter depuis que des jeunes et des associations de la société civile, après des appels lancés, comme partout ailleurs dans le monde arabe, via Facebook et Twitter, avaient commencé à manifester chaque dimanche dans toutes les villes du Maroc. Ils réclamaient des emplois, plus de justice sociale, moins de corruption et de népotisme. Quelques audacieux réclamaient même une monarchie parlementaire.

                          Mais dans ce pays où la révolution n'est pas à l'ordre du jour, et la contestation encore très policée, les partis ne s'étaient pas encore jetés dans la mêlée. Tous, y compris le Parti de la justice et du développement et le Parti islamiste présent au Parlement, se contentaient d'observer et d'attendre ce qu'allait faire le Palais avant de jeter de l'huile sur le feu et de faire descendre leurs troupes dans la rue.

                          Monarchie parlementaire

                          Le roi les a tous pris de court. Le 9 mars, dans un discours télévisé, il annonçait une réforme constitutionnelle en sept points qui permettrait au pays, entre autres, d'avoir un Premier ministre "chef d'un pouvoir exécutif effectif". En clair, Mohammed VI propose, ni plus ni moins, de devenir, à terme, le souverain d'une monarchie parlementaire. Comme en Espagne ? Il est trop tôt pour le dire. Mais cette référence espagnole avait été beaucoup utilisée lorsque Mohammed VI était arrivé au pouvoir en juillet 1999. L'idée en avait, à l'époque, été immédiatement réfutée par les autorités. C'était trop tôt.

                          Il est fort probable qu'il y aura encore bien des étapes entre la monarchie marocaine actuelle (où le souverain est le seul vrai décisionnaire) et une monarchie parlementaire. Mais c'est un premier pas dans cette direction. La Chambre des représentants (députés) devrait être dotée de pouvoirs élargis. Le discours royal a fait l'effet d'une bombe dans le pays. "Personne ne s'y attendait", affirme un homme d'affaires qui, la veille encore, s'inquiétait de l'absence de réformes politiques suffisantes dans le royaume. "Le roi nous propose plus que nous ne demandions", reconnaît-il. Il veut se rassurer : "Ce bouleversement profond mettra du temps avant d'être appliqué."

                          Il est évident que les autorités marocaines, engagées dans une politique de modernisation économique et sociale du royaume, ont préféré prendre les devants plutôt que de se voir obligées de céder aux revendications de la rue. Sans oublier que certains de leurs alliés, en particulier les États-Unis, qui ont fait du royaume un des points forts de leur ancrage en Méditerranée, et soucieux d'éviter d'éventuels troubles, leur ont conseillé d'entreprendre des réformes politiques. Une commission va être chargée de proposer des réformes constitutionnelles d'ici le mois de juin. Elles devront ensuite être approuvées par référendum. D'ici là, partis, associations, société civile, tous seront consultés. Voilà qui augure d'un été politiquement chaud dans le royaume.

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                          • #14
                            personnellement je pense qu'il faut que le maroc ait un exécutif à deux têtes: un premier ministre qui est le chef effectif du gouvernement, responsable de la réalisation du programme de la majorité parlementaire et le roi qui garde un pouvoir d'arbitrage

                            Pour moi,

                            Le Roi devrait être neutre par rapport aux choix politique issue du suffrage mais garderait un rôle de garde fou pour tout ce qui mettrait en péril l'unité et la cohésion de la nation .

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                            • #15
                              oui Bruxelles, c'est exactement ce qu'il faut

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