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Quatre ans après les parents des victimes du Printemps noir pleurent encore car il n'y a ni procès, ni nouvelle, ni justice rien que du silence et de l'attente. Tel est le cas des parents de Djamel Tounsi dit Djino mort à 26 ans qui n'ont de cesse à le réclamer. Les deux gendarmes, auteurs présumés de ce crime, ont été arrêtés et écroués ils auraient même avoué et pourtant toujours aucun procès ne pointe à l'horizon.
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Parmi les jeunes à qui l’on a fauché la vie à la fleur de l’âge durant les évènements terribles du Printemps noir, l’on compte le jeune Tounsi Djamel dit “Djino”, âgé à l’époque de 26 ans, et qui a été assassiné atrocement lors d’affrontements jours qui ont opposé pendant plusieurs les éléments de la Gendarmerie aux jeunes manifestants.
La mort de Djino, le 1er avril 2002 devant des témoins oculaires, n’a toujours pas été traité par la justice. Pourtant les deux gendarmes, auteurs présumés de ce crime, ont été arrêtés et écroués. Selon les membres de la famille de la victime les deux éléments arrêtés ont avoué et reconnu leur responsabilité dans ce crime.
En parallèle, la famille Tounsi refuse que le procès ait lieu dans un tribunal militaire. Elle demande sa tenue dans un tribunal civil à Tizi Ouzou.
Il y a quelques jours, les parents de la victime par la voix du collectif d’avocats, ont interpellé les instances du tribunal militaire de Blida au sujet du mutisme qui entoure cette affaire et la non-tenue du procès, ainsi que leur ignorance des suites qui lui sont réservées jusqu’à présent.
Quatre ans après la mort de Djino, quatre ans après le déclenchement du Printemps noir, les circonstances dans lesquelles les jeunes sont morts ne sont pas totalement élucidées, et la plupart des procès n’ont pas eu lieu.
Par La dépêche de Kabylie
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Parmi les jeunes à qui l’on a fauché la vie à la fleur de l’âge durant les évènements terribles du Printemps noir, l’on compte le jeune Tounsi Djamel dit “Djino”, âgé à l’époque de 26 ans, et qui a été assassiné atrocement lors d’affrontements jours qui ont opposé pendant plusieurs les éléments de la Gendarmerie aux jeunes manifestants.
La mort de Djino, le 1er avril 2002 devant des témoins oculaires, n’a toujours pas été traité par la justice. Pourtant les deux gendarmes, auteurs présumés de ce crime, ont été arrêtés et écroués. Selon les membres de la famille de la victime les deux éléments arrêtés ont avoué et reconnu leur responsabilité dans ce crime.
En parallèle, la famille Tounsi refuse que le procès ait lieu dans un tribunal militaire. Elle demande sa tenue dans un tribunal civil à Tizi Ouzou.
Il y a quelques jours, les parents de la victime par la voix du collectif d’avocats, ont interpellé les instances du tribunal militaire de Blida au sujet du mutisme qui entoure cette affaire et la non-tenue du procès, ainsi que leur ignorance des suites qui lui sont réservées jusqu’à présent.
Quatre ans après la mort de Djino, quatre ans après le déclenchement du Printemps noir, les circonstances dans lesquelles les jeunes sont morts ne sont pas totalement élucidées, et la plupart des procès n’ont pas eu lieu.
Par La dépêche de Kabylie