Si le dollar baisse aucun doute, l'Euro remontera et avec la diversification des réserves de changes des pays du Golfe, les institutions financiéres vont être dans le sens du courant.
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L'euro a atteint hier son plus haut niveau de l'année 2006 à 1,23 dollar alors qu'il oscillait auparavant aux alentours de 1,21 dollar. Le billet vert a aussi perdu du terrain face à la monnaie japonaise et est passé sous la barre des 117,50 yen.
Pour certains économistes, le dollar pourrait s'inscrire sur une tendance baissière avec la perspective de la fin de la remontée des taux. Cela dit, la série de resserement monétaire n'est peut-être pas encore terminée. La Réserve Fédérale serait d'après La Tribune encore divisée sur la poursuite ou non de la remontée des taux certains estimant que "les taux directeurs sont proches de l'équilibre, c'est-à-dire à un niveau qui ne stimule ni ne bride l'économie américaine".
En outre, les tensions avec l'Iran et la flambée des prix du pétrole tirent aussi la monnaie américaine à la baisse. En effet, les marchés craignent que l'envolée de l'or noir et des matières premières en général ne pénalisent l'économie américaine.
Un autre facteur pourrait aussi tirer le dollar vers le bas c'est la diversification des réserves de change des pays jusqu'ici majoritairement détenues en dollars. Les Emirats Arabes Unis, le Koweït et le Qatar ont fait part de leur intention de diversifier leurs réserves
Capital.fr 19/04/2006
Le Figaro
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L'euro a atteint hier son plus haut niveau de l'année 2006 à 1,23 dollar alors qu'il oscillait auparavant aux alentours de 1,21 dollar. Le billet vert a aussi perdu du terrain face à la monnaie japonaise et est passé sous la barre des 117,50 yen.
Pour certains économistes, le dollar pourrait s'inscrire sur une tendance baissière avec la perspective de la fin de la remontée des taux. Cela dit, la série de resserement monétaire n'est peut-être pas encore terminée. La Réserve Fédérale serait d'après La Tribune encore divisée sur la poursuite ou non de la remontée des taux certains estimant que "les taux directeurs sont proches de l'équilibre, c'est-à-dire à un niveau qui ne stimule ni ne bride l'économie américaine".
En outre, les tensions avec l'Iran et la flambée des prix du pétrole tirent aussi la monnaie américaine à la baisse. En effet, les marchés craignent que l'envolée de l'or noir et des matières premières en général ne pénalisent l'économie américaine.
Un autre facteur pourrait aussi tirer le dollar vers le bas c'est la diversification des réserves de change des pays jusqu'ici majoritairement détenues en dollars. Les Emirats Arabes Unis, le Koweït et le Qatar ont fait part de leur intention de diversifier leurs réserves
Capital.fr 19/04/2006
Le Figaro
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